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Après la pluie…

Cinq défaites pour autant de sorties en janvier, et une crise désormais indéniable, tant dans les pieds que dans les têtes rennaises : oui, le mal est profond chez des "Rouge et Noir" au pied du mur en février pour qui une réaction devient cruciale. Barragiste à l’heure de recevoir Strasbourg et de boucler son mercato, le Stade Rennais inquiète, sérieusement.

Après la pluie…

Les symptômes, multiples, ne mentaient pas et le mal ne remonte pas à ce mois de janvier. Non, le Stade Rennais n’est pas tombé malade avec l’hiver, d’un coup, victime d’un virus de défaites faisant d’un prétendant à l’Europe un candidat au maintien. L’accumulation de mauvaises décisions ou de mauvais timing, parfois les deux depuis le printemps 2023, conduisent, deux ans plus tard, à une situation inédite ou presque au 21ème siècle, voyant le Stade Rennais pour le moment à l’avant de la charrette vers la Ligue 2, sur le strapontin de barragiste, souvent bien inconfortable.

Il y eut d’abord le choix de prolonger Bruno Genesio au printemps 2023, alors hésitant à poursuivre puis celui, presqu’un an plus tard jour pour jour, de prolonger un Julien Stéphan alors pas vraiment désiré ni suivi par un vestiaire qui ne goûta pas vraiment au choix des décideurs rennais, avec la fin de saison dernière que l’on sait… Vint ensuite l’arrivée tardive de Frederic Massara l’été qui suivit, un mercato manqué avec trop de départs majeurs et trop de paris dans l’autre sens, puis le renvoi quelques mois plus tard d’Olivier Cloarec.

Une addition de mauvais choix, pas 5.000 solutions…
Ajoutez-y le choix de Jorge Sampaoli, étonnant, pour remplacer Julien Stéphan et voilà un décorum des plus complexes au moment où la seconde partie a déjà (mal) démarré. Seul le mercato semble ainsi être aujourd’hui un levier potentiellement efficace (en plus de l’arrivée de Habib Beye officialisée ce vendredi, ndlr). Il devra même l’être ! Sur les départs, les dirigeants travaillent pour réparer les erreurs de l’été. Exit, déjà, Albert Gronbeak, Jota, Henrik Meister, Amine Gouiri en attendant probablement la même issue pour Glen Kamara et Mikhaïl Faye voire pour Leo Ostigard, de plus en plus contesté et clairement pas au niveau attendu…

Un camouflet incontestable pour le directeur sportif Frederic Massara, annoncé en grand danger à l’issue du mercato. Dans le sens des arrivées, Arnaud Pouille est parvenu à rapatrier deux de ses anciens soldats lensois. Seko Fofana, par ses déclarations et prises de positions et Brice Samba, déjà auteur d’un paquet d’arrêts et porteur d’une autorité naturelle, sont les deux premiers piliers de ce que doit devenir le Stade Rennais version 2.0 de cette saison 2024-2025.

Un voire deux défenseurs, un milieu de terrain et un attaquant de plus, a minima…
L’arrivée de l’international japonais du Celtic Kyogo Furuhashi amène une nouvelle solution en attaque, prometteuse, dans un profil athlétique proche de celui d’Arnaud Kalimuendo. A condition d’être bien utilisé, à son meilleur poste… Ce troisième renfort ne sera pas le dernier et va être suivie d’autres, encore en discussions au moment où nous bouclions ces lignes. Un voire deux défenseurs, un milieu de terrain et un attaquant de plus, a minima…

Une certitude, les renforts sont attendus et le simple retour du jeune Jérémy Jacquet, prêté à Clermont, bien que très intéressant ne suffira pas. Quid, également, de ce 3-4-3 déprimant et surtout inefficace, déjà porté par Julien Stéphan et reconduit par le coach argentin, sans plus de succès ? Le système est-il en cause ou le problème vient-il des hommes choisis pour l’animer ?

Autant de questions auxquelles février répondra en partie. Avec trois réceptions au Roazhon Park, où l’union sacrée sera de mise pour sauver l’essentiel, le Stade Rennais joue gros. D’abord face à Strasbourg, en pleine forme et restant sur huit matchs sans défaite. Un déplacement sans pression pour les coéquipiers de Guéla Doué, capables de vrais coups cette saison loin de leurs bases.

Match de la peur à Geoffroy-Guichard puis retrouvailles tendues avec Bruno Genesio
Les Rennais sont prévenus et devront se faire respecter dans l’attitude, en étant protagonistes plutôt qu’en réaction. Place ensuite à un déplacement de la peur à Geoffroy-Guichard, face à des Verts que les Rennais avaient atomisés en novembre (5-0) mais depuis nettement plus fringants depuis l’arrivée de leur coach norvégien, Eiril Horneland.

Là-bas, un vrai piège attend les "Rouge et Noir", qui auront ensuite deux réceptions pour enchaîner, face au Lille de Benjamin André, Bruno Genesio et Olivier Létang, pour des retrouvailles tendues, de par le contexte puis en recevant Reims, lui aussi en petite forme. Le Stade Rennais qui n’a battu cette saison, exception faite de Lyon (1ère journée), que des équipes classées derrière lui au moment de les affronter (Le Havre, Montpellier, Saint-Etienne, Angers) doit réagir !

Il n’a surtout pas le choix et ne doit plus calculer pour reprendre rapidement un peu d’air, au moment où Saint-Etienne, Angers et Nantes n’abdiquent pas, tout comme Montpellier, de retour à deux points des Bretons alors qu’en dessous de tout début janvier dernier. Place aux victoires, aux points et plus d’excuse. L’heure du rachat a sonné et le Stade Rennais n’a plus de temps à perdre ! Après la pluie, le beau temps ?

Habib Beye dévoile sa méthode pour sauver le Stade Rennais

Habib Beye a profité de sa présentation à la presse ce vendredi pour dévoiler son plan et sortir le Stade Rennais de la crise.
Habib Beye dévoile sa méthode pour sauver le Stade Rennais

Faut-il y voir un clin d’œil du destin ? C’est face à Strasbourg, club cher à Habib Beye, au même titre que l’OM, que le nouvel entraîneur du Stade Rennais dirigera son tout premier match. C’est bien lui qui sera sur le banc dimanche à 17h15 au Roazhon Park en lieu et place de Jorge Sampaoli, parti d’un accord commun avec le club. L’Argentin aura donc dirigé 10 matchs seulement pour 3 victoires et 7 défaites. Il laisse le club breton 16e de Ligue 1, en position de barragiste. C’est dire l’envergure et la difficulté du défi qui attend Habib Beye, lequel n’a que pour seule expérience une montée en Ligue 2 avec le Red Star. Le pari est risqué.

"Je me suis construit pour aller au très haut niveau, c’est le cas de Rennes. J’ai travaillé dans un club en difficulté. Je dois montrer mes capacités et mes compétences à diriger un club comme le Stade Rennais, j’en suis convaincu, lâche l’ancien consultant star de Canal+, qui était encore au micro pour commenter Stuttgart-PSG mercredi soir en Ligue des Champions. Le rôle de consultant n’a pas d’impact sur ce choix et sur la position où je me trouve (…) Je me suis construit dans l’humilité même si les gens disent que j’ai un ego mais je suis allé en National chez le 15e. J’ai mis les mains dans le cambouis."

Vous voyez une crise, moi, je vois un club structuré, équilibré
Ce contrat court, de six mois, avec une option d’une saison couvre les risques pour chacun. Il faut dire qu’une catastrophe sportive n’est pas à exclure. "Les conditions me vont très bien, assure l’ancien international sénégalais. Il y a de la qualité dans cet effectif, c’est là-dessus que l’on se concentre." Tout au long de ce point presse, il s’est montré optimiste, en homme de la situation. "On est ensemble pour une aventure qui va être exceptionnelle. La situation actuelle est ce qu’elle est, elle est loin d’être dramatique à mon sens. Ce qui me motive, ce sont les défis, les challenges. Je veux chercher la compétence et je la vois."

D’après lui, l’effectif est de qualité, malgré les recrues de l’été déjà parties cet hiver (Jota, Gronbaek) ou sur le point de partir (Kamara). Il s’agirait avant tout de cohérence et d’état d’esprit. "Vous voyez une crise, moi, je vois un club structuré, équilibré. C’est mon seul jugement, je ne juge pas ce qui s’est passé avant mon arrivée. Quand je vois cette énergie autour de moi, je me dis que tout le monde veut avoir des résultats. Pour être honnête, je ne regarde même pas le classement, je veux que cette équipe dégage très vite une identité. Je suis conscient que je serai jugé sur la façon dont l’équipe joue et sur les résultats, et je suis prêt pour cela", envoie celui qui avait déjà été contacté par le club en novembre au moment de l’éviction de Julien Stéphan.

Cela fait deux mois et demi que j’observe le Stade Rennais
Depuis, Beye a longuement observé les matchs du Stade Rennais. "J’ai une idée très précise de ce que l’on fera dimanche. Dans les grandes lignes, il faut que l’on aille très vite dans le vif du sujet. Je n’ai pas d’aussi grandes réserves que vous sur le déséquilibre de l’effectif, je le trouve de grande qualité. On se pose des questions sur la manière de renforcer l’équipe mais on doit aussi regarder les joueurs que l’on a à disposition. Pour être honnête, cela fait deux mois et demi que j’observe le Stade Rennais, depuis que j’avais été contacté. J’arrive avec une évaluation très complète de mon effectif, mais sans être dans le vestiaire." C’est peut-être la mission la plus difficile : remettre les têtes à l’endroit.

Et apporter ses méthodes d’entraînement. Sans juger le travail de son prédécesseur, le nouveau technicien souhaite donner bien plus d’énergie dans ses séances et d’ambitions dans le jeu. "Je suis convaincu que vous devez mettre une intensité maximum dans vos entraînements, je ne conçois pas le football sans intensité. Je veux que mon équipe dégage de l’énergie, qu’elle soit impactante." Apôtre du beau jeu, l’ancien latéral marseillais espère pouvoir mettre sa philosophie au service d’une équipe en mal de points et de confiance. L’urgence se situe probablement ici. À lui de trouver les clés pour emmener avec lui un groupe dont le plaisir de jouer a complètement disparu ces derniers mois.

Le bon moment pour tout le monde

Habib Beye a été présenté à la presse ce vendredi comme nouvel entraîneur du Stade Rennais trois mois après avoir échangé avec les dirigeants qui lui avaient préféré Jorge Sampaoli. Le club breton a finalement décidé d’opter pour l’ancien technicien du Red Star qui se satisfait de ce timing.
Le bon moment pour tout le monde

Après Julien Stéphan et Jorge Sampaoli, Habib Beye est devenu jeudi le troisième entraîneur de la saison du Stade Rennais. Il a été présenté ce vendredi face à la presse en compagnie d’Arnaud Pouille, président du club, et Frederic Massara, directeur sportif. Cela aurait pu se produire en novembre quand le club avait déjà discuté avec lui avant de choisir pour Jorge Sampaoli. L’Argentin a été débarqué trois mois plus tard sans parvenir à faire remontre la pente à l’équipe bretonne, désormais barragiste.

Les gens disent que j’ai un ego, mais je suis allé en National chez le 15e
Interrogé sur le choix d’avoir opté pour Sampaoli plutôt que Beye en novembre dernier, Arnaud Pouille a assumé. "A cette époque, on sortait d’une défaite cinglante contre Auxerre (4-0), on avait décidé d’analyser le marché et il nous fallait une solution "plug and play" avec un coach et un staff qui étaient prêts", a-t-il confié. "On avait beaucoup échangé avec Habib qui n'a pas changé de philosophie sur ses idées et approches du jeu. On avait été séduit. L'heure est à aujourd'hui parce qu'il a pris le temps de constituer un staff de qualité", répond Arnaud Pouille.

On a trouvé que c’était l’heure. Il avait un staff bien constitué et on trouvait que c’était le bon timing aujourd’hui.
Beye, libre depuis l’été dernier après avoir fait monter le Red Star de National vers la Ligue 2, ne s’offusque pas d’avoir été écarté de la course au banc rennais il y a quelques mois. Selon lui, le timing est même meilleur aujourd’hui après avoir été courtisé par plusieurs clubs (dont le voisin nantais). "C'est un privilège d'être au Stade rennais, ça montre la reconnaissance du club", s’est-il réjoui.

"Je voudrais remercier la famille Pinault. On s'était rencontré il y a quelques mois et on avait eu un échange extrêmement intéressant, c’était une première prise de contact"
Il poursuit. "Je veux remercier la direction parce qu'on a travaillé conjointement pour qu’on ait un alignement dans le souhait de travailler ensemble. C'est un privilège pour un coach de se sentir désiré, ça a failli arriver il y a quelques mois. C'est maintenant et c'est le bon moment pour tout le monde, pour moi. Qu'on ait parlé de moi sur plusieurs projets, j'ai eu huit mois de vacances pour faire décharger ce que j’avais vécu émotionnellement avec mon club anat, une introspection sur le travail qu'on a fait et à l'adapter tout en étant à l'écoute des opportunités. A un moment, on prend l’opportunité qui arrive et qui est magnifique pour moi."

Débordant d’énergie et très positif sur la qualité de l’effectif, Habib Beye a tenu un discours volontaire face à la presse en insistant sur sa volonté de mettre en place une identité au sein de l’équipe. Il a aussi balayé les questions sur son manque d’expérience et sur l’apport de ses activités de consultant sur Canal+. "Je me suis construit pour aller au très haut niveau, c'est le cas à Rennes", a-t-il déclaré. "J'ai travaillé dans un club en difficulté (Red Star). Pendant ce parcours de trois ans, j’ai eu des opportunités pour des clubs au niveau supérieur. C’était important d’honorer mes engagements et d’aller au bout de ma mission et mes trois ans de contrat. On a rempli les objectifs."

"Je suis au très haut niveau et je dois montrer mes capacités et mes compétences à diriger un club comme le Stade rennais, j'en suis convaincu", a-t-il insisté. "Le rôle de consultant n'a pas d'impact sur ce choix et sur la position où je me trouve. C’est le cheminement que j’ai eu en tant qu’homme après ma carrière de footballeur, ça (son activité de consultant) a été exceptionnel. C’est une base de données exceptionnelles, j’ai commenté des matchs hors norme mais j’ai surtout échangé avec des joueurs et entraineurs de grande qualité, ça permet d’emmagasiner énormément de confiance. En parallèle, j’ai passé les diplômes, j’ai pris le temps de ce cheminement, je n’ai pas brûlé les étapes. Je me suis construit dans l’humilité même si les gens disent que j’ai un ego mais je suis allé en National chez le 15e. On a mis les mains dans le cambouis, on a travaillé en équipe comme on va faire au Stade rennais."

Le Roazhon Celtic Kop appelle les supporters à l'union sacrée en vue de la lutte pour le maintien

Alors que le Stade Rennais vient de changer d'entraîneur et occupe aujourd'hui la 16e place de Ligue 1, le Roazhon Celtic Kop, principal groupe de supporters rennnais, a publié un communiqué ce vendredi pour appeler le public du Roazhon Park à "l'union sacrée" derrière son équipe.

Le Roazhon Celtic Kop appelle les supporters à l'union sacrée en vue de la lutte pour le maintien

Le Stade Rennais vient de connaître une nouvelle semaine animée, qui a conduit ce jeudi au départ de Jorge Sampaoli, remplacé par Habib Beye sur le banc pour la fin de saison. Alors que le club continue de sombrer au classement semaine après semaine, le Roazhon Celtic Kop a tenu à s'exprimer ce vendredi via un communiqué publié sur ses réseaux sociaux. Après avoir signifié sa colère lors du dernier match à domicile contre Marseille en fin de match, le groupe ultra appelle désormais à "l'union sacrée" derrière l'équipe, tout en pointant les échecs des actionnaires et des décisionnaires du club depuis plusieurs mois.

Évoquant le bilan comptable du club et son actuelle 16e place, le RCK s'interroge : "au fond, est-ce réellement une surprise ? Cette position n'est-elle pas la conséquence logique des décisions prises depuis 15 mois suite au départ inattendu de Bruno Genesio en novembre 2023 ?". Le groupe ultra pointe ensuite les choix des décisionnaires, de la famille Pinault et de "son entourage néfaste", avant d'assurer que ses membres "ne lâcheront rien" pour tenter de pousser l'équipe à se dépasser. "L'heure est venue d'appeler à l'union sacrée pour le maintien du club en Ligue 1" dit encore le Roazhon Celtic Kop, qui invite aussi le public présent dans les trois autres tribunes du Roazhon Park à le suivre : "ce n'est pas un appel seulement pour la Mordelles, mais bien pour l'ensemble des supporters rennais".

Le Roazhon Celtic Kop appelle à l’union sacrée avant le match contre Strasbourg

Avant la réception très importante de Strasbourg, ce dimanche 2 février (17 h 15) au Roazhon Park, le Roazhon Celtic Kop, principal groupe de supporters du Stade Rennais, a publié un communiqué sur les réseaux sociaux ce vendredi. Le RCK appelle à "l’union sacrée" autour du club, deux semaines après le match tendu en tribunes contre le Stade Brestois.

Le Roazhon Celtic Kop appelle à l’union sacrée avant le match contre Strasbourg

Le Stade Rennais reçoit le Racing Club de Strasbourg, ce dimanche 2 février 2025 (17 h 15) au Roazhon Park, dans un contexte très particulier. Les Rouge et Noir sont désormais 16es de Ligue 1 et barragistes, avec 17 points en 19 journées, et viennent de changer d’entraîneur, Habib Beye succédant à Jorge Sampaoli.

Le SRFC va également retrouver son public, deux semaines après un derby contre le Stade Brestois qui avait été tendu en tribunes le 18 janvier. Le RCK avait déployé plusieurs banderoles en début de match avec des messages de contestation, et quelques supporters avaient tenté d’envahir la pelouse après le coup de sifflet final. Mardi 21 janvier, une réunion avait été organisée entre les dirigeants du Stade Rennais et plusieurs groupes de supporters pour renouer le dialogue.

Rendez-vous dès 16 h 45
À deux jours du match contre Strasbourg, le RCK a publié ce vendredi un communiqué sur les réseaux sociaux en appelant à "l’union sacrée" : "Les joueurs et le staff sont peut-être de passage, mais nous, supporters du Stade Rennais, sommes là pour rester, lance le RCK dans son communiqué. Une relégation serait tout simplement inacceptable et elle est pour nous totalement inenvisageable.

C’est pourquoi l’heure est venue d’appeler à l’union sacrée pour le maintien du club en Ligue 1. Ensemble, nous devons pousser notre équipe à relever la tête et à se battre jusqu’au bout. Nous devons tout donner pour leur insuffler la force de lutter, car nous avons aussi notre rôle de 12e homme à jouer."

Le RCK donne ainsi rendez-vous en tribune à 16 h 45, à une demi-heure du coup d’envoi, pour "pousser nos joueurs dès l’échauffement".

Labrune viré pour faire revenir Canal+?

Suite à une soirée de folie avec le multiplex de la dernière journée de la Ligue des Champions mercredi, Canal Plus a prouvé à tout le monde que le football intéresse encore un public assez large en France. De quoi faire naître une idée à Daniel Riolo.

Labrune viré pour faire revenir Canal+?

Non, le football n’est pas mort et dispose encore d’un bel avenir ! Alors qu’un sport comme le rugby a pris des parts de marché au foot au cours des derniers mois, en raison du manque de visibilité de la Ligue 1 sur DAZN, une grande partie du public français laissait entendre que l’intérêt pour le foot était sur le déclin. Canal Plus a prouvé le contraire mercredi soir. À l’occasion du tant attendu multiplex de la dernière journée de la Ligue des Champions, l’ensemble des chaînes de Canal ont atteint une audience globale de 2,28 millions de téléspectateurs, avec un pic à 2,62 millions. Une audience qui représente un record pour du foot cette saison.

Daniel Riolo veut revoir la L1 sur Canal+

De quoi faire germer une idée dans la tête de Daniel Riolo, celle de pousser Canal Plus à revenir vers la Ligue 1. « Le public foot est sur Canal ! Alors on change le patron de la LFP et on deal à nouveau avec Canal pour le bien de notre foot… C’est quand même pas compliqué ! », a balancé le journaliste de RMC sur les réseaux sociaux. Une volonté partagée par tous les suiveurs du foot français, qui aimeraient bien revoir les matchs de championnat sur la chaine cryptée. Diffuseur historique de la L1 depuis les années 1980, Canal ne propose plus aucun match de championnat cette saison, sachant que DAZN et beIN Sports ont récupéré les droits TV jusqu’en 2029. Mais d’ici là, et sachant que DAZN, qui a plus fait grimper le piratage que son nombre d’abonnés cette saison, pourrait jeter l’éponge en cours de bail, Canal pourrait revenir en force. Enfin, si Vincent Labrune, le président de la LFP, et Maxime Saada, le boss de Canal, arrivent à faire la paix pour servir l’intérêt du football français.

Le message de Canal+ à Habib Beye

Nous vous le révélions ce matin. Cette fois c’est la bonne pour Habib Beye. Après plusieurs tentatives pour prendre en main une équipe de Ligue 1, l’ancien latéral a convaincu le Stade Rennais de l’embaucher pour la fin de saison. Canal+ confirme son départ.

Le message de Canal+ à Habib Beye

"Bonne chance à toi Habib Beye dans tes nouvelles fonctions d’entraîneur du Stade Rennais. Canal+ sera toujours ta maison et on suivra ton parcours avec fierté" publie la chaîne cryptée sur son compte X. Le coach de 47 ans sera sur le banc contre Strasbourg dimanche.

Sampaoli notamment viré à cause de Fofana ?

Plusieurs choix de Jorge Sampaoli ont fait grincer des dents chez les dirigeants du Stade Rennais. Notamment la façon dont il a utilisé la recrue Seko Fofana.

Sampaoli notamment viré à cause de Fofana ?

Après huit petits matches, Jorge Sampaoli a de grandes chances de quitter son poste au Stade Rennais. L’Argentin paye évidemment ses mauvais résultats, lui dont l’équipe reste sur cinq défaites toutes compétitions confondues et est désormais barragiste. Une hérésie quand on se souvient qu’elle visait une qualification européenne en début de saison. Mais il n’y a pas que ça. Sampaoli a été incapable d’imprimer un style de jeu au SRFC. Lui qui avait fait de l’OM une équipe offensive et monopolisant le ballon en 2021-22 a pensé qu’il valait mieux redonner confiance à ses joueurs en jouant la défense (à cinq) pour commencer. Ce qui n’a pas vraiment fonctionné.

Le positionnement de Fofana a fait grincer des dents
Et ce n’est pas tout ! L’Equipe explique dans son édition du jour que plusieurs choix de Sampoli ont fait grincer les dents de sa direction. A commencer par le positionnement de Seko Fofana, confiné au couloir gauche lors de ses premiers matches sous le maillot rouge. L’Ivoirien, recrue phare du mercato hivernal pour le moment, a été recentré à Monaco (2-3) samedi dernier et il a tout de suite été beaucoup plus influent sur le jeu de son équipe. Ce genre d’erreur aurait fini de convaincre la direction rennaise que Jorge Sampaoli n’est pas l’homme de la situation.

Rennes ne descendra pas en Ligue 2 selon l'oracle

16es de Ligue 1, coincé entre Montpellier et ses 15 points (17e) et le duo Nantes – Saint-Étienne (14e et 15e avec 18 points), les Rouge et Noir entendent l’orage de la descente gronder au loin. Alors, dans un dernier élan de foi, les druides bretons ont consulté l’Oracle. Les anges (et démons) des commentaires So Foot ont parlé. Verdict : 64% disent non, Rennes ne descendra pas.

Rennes ne descendra pas en Ligue 2 selon l'oracle

Mais quel est le fil d’Ariane qui va sauver Rennes alors que Sampaoli continue de tirer sur la corde ? Brice Samba qui est là pour mettre le couvercle sur la jarre des Danaïdes ? Bon, quand ton meilleur joueur du mois est un gardien qui vient de descendre de son Flixbus, il faut quand même se poser des questions.

Titans, Delphes et dieux du capitalisme
Sined69 mise tout sur le chaos et l’intervention divine : "Ça dépend si l’OL sauve ou pas sa peau devant la DNCG…" À moins qu’ils y échappent, les Gones risquent juste de finir dans le ventre de Cronos et de perdre un an en Ligue 2 (et Cherki).

Cockney, lui, nous rappelle pourquoi il est le meilleur entraîneur français avec sa vision de jeu, mais aussi pourquoi il est officiellement l’Oracle de Delphes : "S’ils finissent à l’une des deux dernières places, c’est certain." Le destin a parlé, personne ne peut y échapper.

Grunaldo lui invoque un duel qui dépasserait les mortels, les dieux du capitalisme, les milliardaires s’affronteraient dans les bas-fonds de la Ligue 1 McDonald’s : "C’est une manœuvre de Pinault pour jouer les barrages et empêcher Arnault de monter en L1." Pendant que Zuckerberg et Musk préparent leur combat MMA, en France, on déploie des Chevaux de Troie.

Jean-Marc Bosse Mal porte mal son pseudo puisqu’il file clé en main le plan pour sortir du labyrinthe : "Virer Sampaoli, acheter un attaquant, revendre Gouiri, prendre un 6 pour remplacer Santamaria (qui faisait le taf), choper un DC de métier et réveiller Blas." Quelqu’un peut lui filer un CDD de directeur technique ?

RoqueSantaChibre, lui, a des vraies priorités comme l’indique son nom : "Moi, tout ce qui m’intéresse, c’est que Salma Hayek ne soit pas triste." Nous aussi, mec.

sielleestdedanscestpareil invoque la sentence karmique : "Oui. Pour la peine de ne pas avoir prêté le Roazhon Park au Stade brestois, QUI, LUI, joue l’Europe." Rennes a trahi le foot, l’univers trahit Rennes.

Enfin, Wagneau a déjà booké le plan de sauvetage : "Non. Parce qu’ils vont engager Pierre Sage pour une fin de saison en boulet de canon." Après tout, ça a bien marché ailleurs.

Reste plus qu’à voir si les dieux du foot ont le même avis que l’Oracle.

Seko Fofana explique pourquoi c’est la crise totale à Rennes

Le Stade Rennais est plongé dans une crise sans précédent, et Seko Fofana a même pris la parole pour s’en prendre aux choix de Jorge Sampaoli.
Seko Fofana explique pourquoi c’est la crise totale à Rennes

Seko Fofana se lâche
Et en interne, ça semble aussi chauffer. Après la rencontre, Seko Fofana a pris la parole et a notamment tenu des propos assez durs sur les choix de son coach Jorge Sampaoli. "C’est sûr que si j’avais été coach, il y a certains choix qui auraient peut-être été différents. Mais le coach a des idées et fait aussi avec les joueurs qu’il a. On a essayé des choses cette semaine, certaines ont marché, d’autres moins. Quand on entame le match, on a confiance, on fait en sorte que les choses se passent bien. On suit les consignes du coach. Tout n’est pas parfait non plus, mais il faut s’appuyer sur nos qualités parce qu’à trop vouloir s’adapter à certaines situations, malheureusement on le paie cash. La meilleure défense, c’est l’attaque. Il faut qu’on joue sur nos points forts sans attendre qu’on prenne des buts pour faire les choses normalement", a expliqué le milieu de terrain ivoirien, arrivé à Rennes cet hiver.

De son côté, le tacticien argentin se veut plutôt confiant et rassurant sur sa capacité à sortir Rennes de la crise. "On se sent toujours menacé, mais je sens également que j’ai la capacité de faire quelque chose pour ce club, pour le sortir d’une situation difficile", a-t-il déclaré à Monaco. La solution passera-t-elle par le mercato ? Les Bretons s’apprêtent notamment à accueillir l’attaquant international japonais du Celtic Kyogo Furuhashi. Sera-t-il suffisant pour relancer une machine très oxydée ? On le saura bientôt…

Un problème médical plane sur Kyogo Furuhashi

Rennes mise beaucoup sur sa dernière recrue pour sauver sa peau en Ligue 1. Attention toutefois, le Japonais a un problème qui va nécessiter une intervention.

Un problème médical plane sur Kyogo Furuhashi

Le Stade Rennais a pris son temps, mais a fini par officialiser l’arrivée de Kyogo Furuhashi en provenance du Celtic Glasgow. Un nouveau gros investissement pour le club breton, qui fait tout pour redresser la situation alors que les défaites s’enchainent et que la lutte contre la relégation devient bien réelle. Autant dire que l’attaquant japonais va devoir avoir un tout autre impact que les autres recrues de l’hiver que sont Seko Fofana, brouillon et à cours de forme, et un Brice Samba loin d’être au niveau d’il y a deux ans. Et pourtant, si la visite médicale et la validation de sa signature ont pris un peu de temps, c’est qu’il y a un problème avec l’ancien attaquant du club écossais.

Kyogo va serrer les dents avec Rennes

C’est ce que révèle Sky Sports ce mardi, en expliquant que Kyogo Furuhashi doit se faire opérer prochainement de l’épaule, et devra manquer « une longue période de compétition » pour s’en remettre. Une blessure que le staff médical rennais n’a pas pu ignorer bien évidemment. Mais selon le journaliste britannique Dharmesh Sheth, les « Rouge et Noir » ont certainement demandé au Japonais d’attendre la fin de la saison pour effectuer cette opération, et ainsi provoquer une absence moins préjudiciable. Pour Sky Sports, il n’y a toutefois pas de doute que cette opération doit avoir lieu, car ce problème gêne de façon récurrente le Japonais de 30 ans, qui va donc certainement serrer les dents pour les prochains mois afin d’aider son nouveau club dans son opération maintien en Ligue 1.

Sampaoli et ses joueurs plongent le club breton dans un chaos total

Le Stade Rennais se prépare à un match crucial face au Racing Club de Strasbourg. Cette rencontre, prévue dimanche à domicile, pourrait être déterminante pour sortir de la zone de relégation en Ligue 1. Une victoire permettrait de redonner confiance avant un déplacement important à Geoffroy-Guichard contre les Verts.

Sampaoli et ses joueurs plongent le club breton dans un chaos total

Jorge Sampaoli et ses joueurs doivent se concentrer sur l’entraînement pour corriger les erreurs récurrentes. Le mercato hivernal pourrait offrir des renforts supplémentaires après les arrivées déjà enregistrées de Brice Samba et Seko Fofana, offrant ainsi de nouvelles options à l’équipe.

L’entraîneur argentin Jorge Sampaoli connaît des débuts difficiles. En effet, il faut remonter à 1987 avec Patrick Rampillon pour retrouver un entraîneur qui a subi six défaites lors de ses huit premiers matchs. Ce début de saison rappelle également les difficultés rencontrées lors de la saison 1983-1984.

Le Stade Rennais a enregistré douze défaites en dix-neuf matchs, une performance que le club n’avait pas connue depuis plusieurs décennies. Cette série de mauvais résultats met en lumière l’urgence de redresser la situation pour éviter une saison catastrophique.

Trois raisons de croire au rebond du moribond

Puisque broyer du noir et se morfondre sur la mécanique infernale qui a précipité la chute du Stade Rennais finissent à la longue par nous user, Ouest-France a voulu imaginer comment la vie des Rouge et Noir pourrait redevenir (un peu) plus rose dans un proche avenir. Voici trois raisons d’espérer un rebond du SRFC, devenu barragiste de Ligue 1 à l’issue de la 19e journée de championnat.

Trois raisons de croire au rebond du moribond

Le Stade Rennais dans la zone rouge de la L1 à ce stade d’une saison, c’est du quasi inédit au XXIe siècle. Du jamais vu depuis 2002. En regardant évoluer actuellement cette équipe, et ce coach, il faut se forcer pour ne pas être inquiet.

Tout est gris, venteux, inondé sur Rennes : cela fait déjà trois raisons suffisantes pour se donner le courage d’aller chercher le soleil là où il pourrait encore apparaître, et de croire encore en l’avenir. Un effort de lecture à consommer sans modération par les temps qui courent.

Parce qu’il reste quinze matches
Sur 34 journées, ça fait beaucoup d’occasions, quand même, pour s’éloigner un peu du ridicule. Rennes vient de suffoquer à des altitudes trop élevées en janvier (Nice, Marseille, Monaco, passons sur Brest).

Mais février arrive avec Strasbourg, dimanche 2 (certes, pas du tout un cadeau en ce moment) au Roazhon Park, avant Saint-Etienne (ce sera chaud), puis Lille, Reims et Montpellier le 2 mars… On saura alors si Rennes est condamné à rester parmi les cancres, ou s’il peut encore vivre un printemps exaltant dans le ventre mou de la Ligue 1.

Parce que le mercato
Le Stade Rennais a de l’argent, et on a vu à quel point il l’avait gaspillé l’été dernier, au cours d’un mercato catastrophique qui pourrait précipiter le départ anticipé du directeur sportif Frederic Massara.

Le Stade Rennais a toujours de l’argent, et un peu paniqué par sa situation sportive, essaye maintenant de corriger ce qui peut encore l’être, pressé aussi par Jorge Sampaoli.

Le SRFC a embauché Fofana, qui, même à 70 %, est déjà meilleur que la plupart, un bon gardien même si son démarrage est difficile, et on verra pour Furuhashi, profil d’attaquant de rupture que l’équipe n’avait pas.

Si la direction se montre un peu inspirée sur les trois ou quatre dernières recrues (surtout derrière) qu’elle attend d’ici la fin du mercato d’hiver lundi 3 février, le rendement de l’équipe va forcément s’améliorer. Même si, malgré l’urgence, il faudra probablement encore un temps d’adaptation…

Changer énormément et tout le temps a un prix qui peut se payer très cher, le club le constate depuis un an. Mais là, il n’a plus le choix de toute façon.

Parce que Fofana est sorti du gué
Samedi dernier à Monaco, la sortie médiatique sans concession de l’ancien capitaine de Lens, qui devrait l’être aussi à Rennes, a secoué les ego des uns et des autres, du coach aux coéquipiers.

On peut voir le discours de Seko Fofana comme un désaveu pour un Jorge Sampaoli fragilisé, susceptible de faire monter les flammes, avec le staff et dans un vestiaire qui n’était déjà pas bien costaud.

Mais là, on a surtout envie de se dire que ce coup de pied sera salutaire pour réveiller des âmes endormies, pour se dire enfin les choses entre joueurs et avec le staff. Ces choses qui pourraient aider à susciter les changements indispensables dans l’attitude comme dans l’approche stratégique sur le terrain.

On ne veut pas considérer la sortie de Fofana comme un acte égoïste qui fracture. On veut le voir comme un appel à la conscience de chacun, qui mobilise.

Rennes a besoin d’être bousculé, entraîné, et surtout de joueurs concernés, qui le font sentir par les mots comme par les actes. Le président Arnaud Pouille avait tenté ce message avant Brest, mais ce n’est pas un acteur direct. Fofana a peut-être envoyé le signal. En tout cas, il faut l’espérer.

Le Roazhon Park a les pieds dans l’eau

La crue exceptionnelle de plusieurs rivières autour de Rennes, dont la Vilaine, peut-elle entraîner l’annulation du match de Ligue 1 entre le Stade Rennais et le RC Strasbourg dimanche 2 février (17 h 15) ? Non en l’état, mais les autorités surveillent la situation, dans la mesure où l’eau est proche des entrées du stade et que le pic n’a pas encore été atteint.

Le Roazhon Park a les pieds dans l’eau

Il est 14 h 30 ce lundi après-midi. Un piéton veut longer le Roazhon Park, sur le chemin qui sépare la Vilaine du stade. Devant les dix centimètres d’eau qui lui font face, il fait demi-tour. Un vélo tente le coup quelques minutes plus tard, avec plus de succès. En raison des pluies abondantes qui sont tombées ces dernières heures sur le département, plusieurs rivières sont sorties de leur lit. Dont la Vilaine, voisine de palier du Roazhon Park habituellement plutôt calme.

L’eau est encore bien loin de la pelouse, mais cette crue exceptionnelle a immédiatement amené un questionnement sur la tenue du match face à Strasbourg, prévu dimanche prochain à 17 h 15. Il y a encore six jours, nous direz-vous. Mais "pour l’instant, nous ne savons pas quand le pic va être atteint surtout que mercredi, on attend de nouvelles pluies qui pourraient faire que cela reparte à la hausse", indique Anne Morantin, qui dirige le service de prévision des crues en Bretagne.

Le terrain carrément inondé en 1966
Au club, on nous indique qu’une annulation du match n’est pas à l’ordre du jour, mais que l’on suit avec attention la situation. La légère inquiétude ne concerne pas directement le terrain, puisqu’il devrait pouvoir accueillir sans problème un match de football. C’est plutôt l’accès à l’enceinte pour le public et les possibilités pour les secours d’intervenir en cas de problème qui pourraient être au cœur du dossier.

Un précédent avait déjà eu lieu le 23 janvier 1995, lors d’une crue de la Vilaine. Le match Rennes - Sochaux avait été annulé une heure avant le coup d’envoi, "afin de ne pas gêner le déroulement d’un éventuel plan de secours", pouvait-on lire dans nos colonnes. À l’époque, le maire de Rennes avait pris la décision. Si l’on remonte à une période encore plus ancienne, ce qui s’appelait alors le parc des sports avait été submergé par les eaux le 27 octobre 1966.

"La Vilaine, dans son débordement, n’a évidemment pas épargné le parc des sports de la route de Lorient, recouvert sur un quart de sa surface, le long de la tribune principale, ainsi que le constate avec désolation M. Pierre Roulin, qui prodigue à longueur de saison ses soins attentifs à la pelouse et se demande dans quel état il la retrouvera", écrivions-nous à l’époque. En 2025, le Roazhon Park n’est toujours pas à l’abri de l’eau, même s’il est urgent d’attendre que la semaine passe avant toute prise de décision.

S.G.S.B.

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