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Les Pinault ont 3 bonnes raisons de remplacer Stéphan par Tudor

Alors que le nom d’Igor Tudor a fuité en cas de départ précipité de Julien Stéphan sur le banc du Stade Rennais, voici trois bonnes raisons pour la famille Pinault de miser sur l’ancien coach de l’OM.

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Tudor pour une révolution en profondeur
Après avoir fait ses armes à l’Hajduk Split, Igor Tudor est un coach expérimenté du haut de ses 45 ans. L’ancien défenseur de la Juventus Turin est passé par plusieurs clubs en Turquie, en Italie et en Grèce. Sa méthode de travail rigoureuse et son penchant pour un football intense et physique sont sa marque de fabrique. S’il signe au Stade Rennais, il amènerait une vraie révolution en terme de philosophie au sein d’un club aseptisé.

Massara connait déjà Tudor
Tactiquement, son passage à l’OM (2022-2023) a marqué les esprits avec un style de jeu agressif et tactiquement structuré, privilégiant une défense solide et des transitions rapides. Malgré quelques hauts et bas, Tudor a quitté le club phocéen avec une bonne réputation et il est libre depuis son passage à la Lazio Rome, où il a obtenu des résultats mitigés (6 victoires en 11 matchs). Frédéric Massara, qui a fait sa carrière en Italie, connaît parfaitement son profil et quand on sait que le directeur sportif du Stade Rennais n’a pas validé celui de Julien Stéphan - déjà en poste à son arrivée – l’atout peut être crucial.

Le système embrouillé de Julien Stéphan ne correspond plus à l’ADN du Stade Rennais et on se doute que les supporters seraient plus hypés par le style d’Igor Tudor, adepte d’un système pérenne en 3-4-2-1. Le Croate sait où il va et apporterait du muscle en plus du leadership dans un vestiaire devenu international. Au niveau de l’équipe type, on peut également s’attendre à des changements drastiques avec sans doute une promotion des recrues estivales plus prononcée.

Comme par exemple Albert Gronbaek en meneur de jeu ? "Oui, il peut, répond Florent Gautreau sur RMC Sport. Il ira piocher immédiatement sur le banc avec Gronbaek et Jota titulaires, et peut-être Glen Kamara voire Jordan James et du Colombien qui vient de MLS dont on nous dit le plus grand bien. Je pense que Tudor peut être un coach plus en adéquation avec Massara et les nouvelles recrues."

Les supporters expriment leur colère envers Julien Stéphan

Après le récent match nul entre le Stade Rennais et Brest, la réaction des supporters du SRFC ne s’est pas fait attendre. L’équipe, bien que parvenant à décrocher un point grâce à Jota, n’a pas réussi à convaincre ses fans par sa performance globale.

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Un sondage mené sur internet a révélé un mécontentement notable parmi les supporters. Ils ont été invités à exprimer leur avis sur le maintien du schéma tactique actuel, le 3-4-3, de l’entraîneur Julien Stéphan.

Les résultats du sondage ont montré une écrasante majorité de 95% des participants réclamant un changement de stratégie. Les fans espèrent voir l’équipe adopter une approche différente sur le terrain pour améliorer les performances.

Ce mécontentement survient alors que le Stade Rennais a réussi à égaliser contre Brest en modifiant sa défense pour adopter une formation à quatre joueurs. Cette décision a suscité un débat sur l’efficacité des choix tactiques actuels.

La question qui se pose maintenant est de savoir si Julien Stéphan prendra en compte ces retours de ses fidèles supporters. La pression pour modifier le dispositif tactique se fait de plus en plus pressante.

Pour remplacer Stéphan, deux noms circulent : Vieira et Tudor

Le Stade rennais traverse une période délicate après un début de saison en deçà des attentes.

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À la 12è place de Ligue 1 avec seulement 8 points en 8 rencontres, le club breton montre des signes de faiblesse. Ce samedi, le dernier match nul contre Brest, difficilement arraché grâce à un but tardif de Jota, n’a fait que renforcer les doutes sur l’avenir de Julien Stéphan. Si les supporters ont exprimé leur frustration en demandant sa démission, les dirigeants rennais commenceraient à envisager un changement à la tête de la formation rennaise.

Deux noms se détachent parmi les potentiels successeurs de Stéphan : Igor Tudor, ancien entraîneur de l’Olympique de Marseille (piste évoquée aujourd’hui par le journal L’Equipe), et Patrick Vieira, ex coach de l’OGC Nice et figure emblématique du football français. Ces deux coachs présentent des profils différents, mais chacun pourrait offrir à Rennes un nouvel élan.

Igor Tudor, 45 ans, a déjà une carrière bien remplie. Ancien défenseur central de talent, notamment à la Juventus, Tudor a rapidement bifurqué vers un job d’entraîneur après avoir raccroché les crampons. Il a fait ses armes en Croatie, à l’Hajduk Split, avant de passer par plusieurs clubs en Turquie, en Italie et en Grèce. Sa méthode de travail rigoureuse et son penchant pour un football intense et physique l’ont rendu populaire dans les équipes qu’il a dirigées.

Son passage à l’Olympique de Marseille, lors de la saison 2022-2023, a marqué les esprits. Sous son impulsion, l’OM a adopté un style de jeu agressif et tactiquement structuré, privilégiant une défense solide et des transitions rapides. Malgré quelques hauts et bas, Tudor a quitté le club avec une bonne réputation. Il est libre depuis un courte escale à la Lazio Rome, où il a obtenu des résultats encourageants (6 victoires en 11 matchs).

Deuxième éventualité, Patrick Vieira incarne un tout autre parcours. Ancienne gloire du football français et capitaine des champions du monde 1998, ila a su se forger une carrière d’entraîneur à l’international. Après avoir pris sa retraite, il a intégré le groupe Manchester City, d’abord en tant qu’ambassadeur, puis en dirigeant la réserve. Fort de cette expérience, il s’est ensuite envolé vers la Major League Soccer (MLS), où il a conduit New York City FC avec succès pendant deux ans, emmenant le club régulièrement en playoffs.

En 2018, Vieira fait son retour en France en prenant les rênes de l’OGC Nice. Durant son séjour sur la Côte d’Azur, il a su façonner une équipe compétitive, malgré des ressources limitées. Son projet de jeu, basé sur la possession et un pressing constant, a séduit pendant un temps, mais les résultats capricieux ont finalement conduit à son départ en 2020 après une série de contre-performances.

Libre depuis son passage à Crystal Palace en 2023, où il a connu des fortunes diverses en Premier League, Vieira reste un candidat de choix pour les clubs français. Son aura de champion et son expérience internationale pourraient apporter une touche différente au Stade rennais, avec une approche plus centrée sur la possession de balle et la formation des jeunes talents. Prochain match des Bretons contre le Havre.

Pleine Lucarne du 21/10/2024

Pleine Lucarne du 21/10/2024

Les Pinault ont une autre priorité que Tudor

Alors que le Stade Rennais réalise un début de saison mitigé, Denis Arnaud, directeur de l’Académie estime que la famille Pinault est loin de mésestimer la force du centre de formation.

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Cœur du projet du Stade Rennais, le centre de formation embellit le quotidien d’un club au début de saison mitigé. Entre plan de jeu hasardeux et résultats mi-figue mi-raison, le SRFC nage en eaux troubles avec un Julien Stéphan qui ne sait pas de quoi son avenir sera fait à moyen terme. Si la famille Pinault reste discrète, ses représentants ne négligent pas la force du centre de formation pour autant. Foi de Denis Arnaud, directeur de l’Académie, qui s’est exprimé en ce sens dans les colonnes d’Ouest-France :

D’ici à un an, des joueurs vont arriver
"En fin de saison dernière, on a eu des réunions avec l’actionnaire. Il y a eu des questionnements avec la direction du club et M. Gréget (représentant de l’actionnaire). J’ai eu la confirmation que le centre de formation restait une priorité, avec la volonté de l’accession des meilleurs vers l’équipe première. Après, il y a aussi des contraintes financières. Même si Messieurs Pinault sont identifiés avec des moyens financiers, le club doit être en autonomie. Quand vous avez des opportunités de marché avec des offres intéressantes, il est difficile de s’opposer. Lorsque le club sera en mesure de jouer la Ligue des champions chaque année, il pourra garder ces jeunes qui partent au Real, au Bayern, au PSG… Même un joueur comme Guela (Doué, parti à Strasbourg) a eu l’opportunité de basculer dans la galaxie de Chelsea. Cela montre que les joueurs formés au Stade Rennais sont valorisés de façon importante. Les droits TV ont aussi bousculé le marché, ont obligé des clubs à devoir s’ajuster. Il y a une année transitoire.

D’ici à un an, des joueurs vont arriver, de différentes générations… Frederic (Massara) découvre le club et les joueurs. Il y a eu beaucoup de travail pour lui, mais depuis la fin du mercato, on a passé beaucoup de temps ensemble pour que je lui présente le projet de l’Académie. Il n’y a pas l’Académie d’un côté, les pros de l’autre. Le classement des centres de formation montre l’équilibre où chacun a sa place. Etre premier deux années de suite de France, c’est un exploit : on ne devrait pas être là par rapport aux moyens financiers du PSG, même par rapport à Lyon ou Monaco. Ça veut dire que l’on n’est pas sur des aspects financiers, mais humains. C’est pour ça que je veux valoriser le travail quotidien de mes équipes."

Autour des Rouge et Noir, un climat trop négatif ?

Le Stade Rennais va se présenter à Brest, samedi 19 octobre (17 h) avec une pression accrue dont on peut ressentir les effets dans les discours. Notamment celui de Julien Stéphan, qui est fragilisé. Avant le derby, le coach a livré quelques-unes de ses perceptions, jugeant assez négative l’atmosphère autour du club depuis son retour il y a un an.

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Jeudi en conférence de presse, Julien Stéphan a parlé Datas, lutte contre la culture de l’instant, ou espoir d’une série qui changerait le paysage pour le rendre moins gris.

Serait-il justement rendu trop gris par ce qu’on appelle "l’environnement" du Stade Rennais ? C’est l’avis du coach. "Est-ce que je trouve que l’atmosphère est lourde autour de moi ? Autour du club, depuis un an, oui je trouve, et cela m’avait déjà marqué, je l’avais dit en revenant ici… C’était assez noir, pessimiste, après il y avait certainement des raisons… Après, autour de moi, cela fait quelques mois que ça dure, je m’en suis accommodé, depuis déjà la fin de saison dernière."

Même s’il avait déclaré l’inverse, difficile pour Stéphan de faire mine d’être hermétique à tout ce qui se dit ou s’écrit. C’est factuel, la mauvaise dynamique de résultats s’étire et l’a fragilisé. Il navigue entre doutes, espoirs, frustration, agacement, sentiment d’injustice parfois, réflexe d’autodéfense face à l’opinion et aux supposées sphères d’influence qu’il considérerait à charge.

Je connais mon métier, les règles, plein de choses !
Sur l’importance du bloc de quatre matches qui arrive, et s’il déterminera son avenir, le coach a répondu ceci : "Si c’est le cas, c’est le cas… Mais je ne vais pas changer d’attitude par rapport à ça. Je connais mon métier, les règles, plein de choses ! On reste axé avec le staff et les joueurs sur le travail, le développement, la compétition et la volonté de progresser dans un groupe qui continue à se découvrir."

Beaucoup de perceptions s’entrechoquent sous la pression et créent du décalage avec l’extérieur, dans ce dérivé du seul contre tous.

Cela dit beaucoup aussi sur l’humain et les méandres du métier d’entraîneur. "Il avait fallu un mois de difficultés la saison passée pour balayer trois mois incroyables (de janvier à mars), que personne ne rappelle jamais, assène-t-il. Ces 11 victoires en 15 matches ne sont jamais considérées, jamais écrites ! C’est une manière de présenter les choses.» Elles remontent déjà à plus de sept mois... "E n interne on avance, on bosse et on reste hyper soudé : dans ces moments, c’est ce qui est nécessaire. Il faut continuer à croire en soi, en ce qu’on fait, croire en ses joueurs, continuer à les pousser."

Qu’en pensent les joueurs, justement ? Hans Hateboer appuie : "J’ai pu sentir un peu de négativité autour du club. Pour moi, c’est nouveau : j’ai longtemps été dans le même club (Atalanta Bergame) et je n’ai jamais eu ce type de pression. Mais si vous regardez les derniers matches, il n’y a pas un seul joueur qui ne donne pas tout. Et dans le stade, on ne sent pas d’atmosphère négative. C ’est peut-être plus ce que vous créez !"

Mardi, Jota nous avait confié ceci : "On est tous au courant de ce qu’est le club, ses objectifs, et pour moi c’est une pression positive…"

Il se sent aussi mieux, plus libéré

Arrivé fin août après une saison morcelée à Al-Ittihad, l'ailier portugais Jota, qui suscite beaucoup d'espoirs, n'est pas encore à 100 % mais peut être un gros atout en sortie de banc.
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Rennes n'a pas encore vraiment vu Jota, si ce n'est sur deux bouts de match contre Montpellier (3-0, le 15 septembre) et Monaco avant la trêve (1-2). Après Montpellier, « un petit pépin à l'ischio l'a empêché de pouvoir enchaîner, il a été arrêté entre quinze jours et trois semaines », rappelait jeudi Julien Stéphan.

Recrue phare du mercato rennais, l'ailier portugais de 25 ans, formé à Benfica, est arrivé fin août après une saison sans saveur et morcelée à Al-Ittihad, sans véritable préparation. Mais il a amené un plus en fin de match contre Monaco et même s'il ne démarre pas à Brest, il n'est pas loin. « Il avait un quart d'heure-vingt minutes maxi contre Monaco, donc passer à 60-70 en dix jours, c'est une question, mais il avance dans sa préparation, il se sent aussi mieux, plus libéré, poursuivait Stéphan. On a besoin d'avoir un Jota prêt à pouvoir enchaîner, et quand on a eu une saison aussi particulière que la sienne, c'est essayer de l'amener au bon moment pour qu'il puisse enchaîner sans risque de rechute. Là, il a pu réamorcer une préparation, jouer un quart d'heure, et ses qualités, on les connaît. Maintenant, il faut de la constance, de la durée. Dès le début d'un match, ce sera la prochaine étape. »

Amine Gouiri postule à un retour dans le onze
Ce sera peut-être contre Le Havre, le week-end prochain, plutôt qu'à Brest, mais il redevient une option importante alors que Rennes a besoin de se réhabiliter dans le Finistère, sans Leo Ostigard (cuisse) ni Lorenz Assignon (suspendu), de se régler offensivement et défensivement, de se transformer. Le club breton n'a connu que l'échec à l'extérieur cette saison, à Strasbourg (1-3, le 25 août), à Reims (1-2, le 1er septembre) et à Paris (1-3, le 27). Il est vraiment temps que ça change pour Julien Stéphan et ses hommes, qui restent aussi sur un revers contre Monaco (1-2, le 5 octobre), marqué par le seul éclair de Ludovic Blas.

Et puis le camouflet du printemps, quand Brest avait envoyé Rennes dans le fossé (5-4 au Roazhon Park) sur la route de l'Europe, ne s'oublie pas. C'est un test de personnalité et un gros défi à relever pour Stéphan, qui pourrait donc maintenir son 3-4-3 avec un trio offensif Ludovic Blas-Arnaud Kalimuendo-Amine Gouiri ou Albert Gronbaek au départ. À moins qu'il fasse reculer Blas dans le double pivot du milieu.

Une marque inconnue présente des maillots de fou pour le Cambodge

Direction le Cambodge où la marque Varaman a dévoilé de magnifiques maillots pour sa sélection.

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La trêve internationale a au moins le mérite de nous faire découvrir des maillots qui sortent du lot.

Actuellement classé au 180e rang du classement FIFA, le Cambodge qui galère pour se faire une place sur le continent asiatique, se retrouve au coude à coude avec des nations comme le Vanuatu, Andorre ou la Dominique.

Sur le terrain, c’est compliqué mais la sélection cambodgienne a quand même la chance d’avoir de jolis maillots. C’est un bon début…

À la conception, on retrouve Varaman, une marque implantée à Phnom Penh, la capitale du pays.

Et pour cette fin d’année, la griffe locale a réalisé un travail monstrueux sur ses maillots pour mettre en valeur la fleur de lune, le symbole de la culture khmer.

Comment Rennes s’est imposé comme le meilleur centre de formation français ?

Au mois de juin, le Stade Rennais a été sacré meilleur centre de formation français par la FFF, et ce, pour la deuxième année consécutive. La récompense d’un travail au long cours.
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Longtemps identifié comme le meilleur laboratoire à talents français, l’Olympique Lyonnais a vu le Stade Rennais lui griller la politesse. En réalité, cette valorisation des centres de formation ne répond à aucun barème universel, si ce n’est à l’étude annuelle publiée par la Fédération française de football. Et cela fait maintenant deux ans que le club breton truste le top de ce classement, déterminé par cinq critères majeurs : la professionnalisation, le temps de jeu en équipe première, les sélections nationales, la scolarité, et la représentation européenne. Avec un résultat de 4,750 étoiles sur 5, Rennes a donc de la marge sur le reste du monde (Lyon est à 4,2 quand Paris ne dépasse pas les 4). Mais alors comment décrypter cette prééminence ?

Le podium est composé, comme souvent, du Stade Rennais, de l'OL et du PSG.

A noter que l'OM souvent dernier, remonte un peu, malgré son zéro pointé sur le temps de jeu des jeunes en pro !

« Lorsque Rennes a développé son centre de formation, c’est-à-dire au début des années 90, une figure emblématique en est rapidement sortie : Sylvain Wiltord. Tout part un peu de là, ça a donné une forme d’assise au club, de légitimité. Au début des années 2010, les meilleurs jeunes de région parisienne signaient souvent à Rennes, rappelle François Rauzy, journaliste pour France Bleu Armorique et suiveur du Stade Rennais de la première heure. Il y avait aussi quelqu’un de très compétent, Patrick Rampillon, emblématique directeur du centre de formation. Il a fait 38 ans au club avant de partir en 2018. Il a tout structuré en recrutant aussi de très bons éducateurs et recruteurs.» Parmi eux, Pierre-Emmanuel Bourdeau, Romain Ferrier, Jérôme Hiaumet ou encore le responsable recrutement historique, Philippe Barraud, parti à Nice l’été dernier.

Un réel savoir-faire dans la détection de talents
Trouver les bons mots, la bonne formule, et les bons arguments pour persuader les familles de remettre leur enfant à un club, plutôt qu’à un autre (généralement Monaco, l’OL ou le PSG), traduit aussi un certain savoir-faire. Mais en termes de communication, Rennes a toujours su tirer sur la corde sensible pour convaincre, souvent par la voix de Philippe Barraud. La méthode était assez simple auprès des entourages : «à Rennes, on joue relativement tôt en pro lorsque l’on est un très bon jeune joueur. Et le temps de jeu, on en trouve sûrement plus qu’ailleurs, qui plus est dans un club qui se bat pour les places européennes. Le cadre scolaire est aussi excellent, avec près de 100% de réussite au BAC chaque année », résume François Rauzy. Un argument de poids auprès des familles, conscientes que l’ascenseur du football prévoit peu de place pour beaucoup candidats, et que de nombreux rêveurs seront laissés sur le bord de la route. Depuis trois ans, Rennes peut donc s’enorgueillir d’enregistrer 100% de taux de réussite au BAC, ce qui n’est pas le cas de tous les clubs, où on est parfois en dessous des 50%.

Mais avant d’attirer un Eduardo Camavinga, un Mathys Tel, ou encore un Désiré Doué, c’est un processus au long cours que met le club en place. Un ancien recruteur du Stade Rennais, à l’origine des arrivées de plusieurs talents évoluant aujourd’hui dans des écuries du gratin européen, explique : «quand on recrute un joueur à 13/14 ans, on se projette en essayant d’imaginer s’il sera capable de fouler la pelouse du Roazhon Park à 18/19 ans. C’est ce qu’il y a de plus dur car un tas de paramètres entre en jeu : son physique, sa morphologie, sa mentalité, son entourage, tout ça va compter dans son développement. Les observations peuvent ainsi durer plusieurs mois, plusieurs années, avec bien sûr, la menace d’être devancé par d’autres clubs, mais c’est le jeu.» C’est de cette façon que des joueurs comme Kylian Mbappé, Odsonne Edouard, Youssouf Fofana, Moussa Diaby, Jean-Philippe Mateta ou Jeff Reine-Adélaïde, se sont envolés vers d’autres cieux après avoir participé à plusieurs entraînements, stages, voire même tournois avec Rennes, mais qui n’engageaient en rien. Ces dernières années, le choix de prendre un virage plus local porte aussi ses fruits à Rennes. Camavinga est par exemple originaire de Fougères, Désiré Doué d’Angers, Sofiane Diop de Tours, et Georginio Rutter de Vannes.

La génération 2000, un grand cru
À chaque recruteur ses approches et ses méthodes, mais notre ancien scout de Rennes, qui écume les terrains franciliens depuis plus de 20 ans, a les siennes, et elles ont fait la bonne fortune du club breton : «en banlieue parisienne, on peut facilement se rendre d’un point A à un point B. En général, je peux regarder une mi-temps, parfois même 20 minutes, ce qui fait que je peux me rendre à 4 matches un samedi. Quand je supervise, je m’appuie sur 4 points fondamentaux que j’ai identifiés comme «les 4P», détaille-t-il. Tu pars d’un potentiel, tu as ensuite la projection : est-ce que tu vois loin avec ce joueur ? Tu as ensuite la performance, qui compte forcément, peu importe l’âge, et qui te permet de réaliser si ce joueur a quelque chose en plus. Puis la personnalité, pour tout ce qui a trait à l’aspect mental, l’entourage, sa mentalité de travail. À Rennes, le critère technique est aussi plus important que les caractéristiques athlétiques. C’est ce qui fera la différence au haut-niveau». Arnaud Abbas, ancien coéquipier de Sacha Boey, Sofiane Diop ou encore Adrien Truffert, a ressenti cette volonté de mettre l’accent sur l’aspect technique, parfois même dès l’école de foot.

«Didier Le Bras, aujourd’hui décédé, a été l’un des grands initiateurs de ce genre de séances à Rennes. Vous pouvez demander à tous les plus de 20 ans formés au club, ils seront unanimes, insiste l’attaquant de 24 ans, aujourd’hui aux États-Unis. Il nous prenait cas par cas, nous faisait bosser la technique et rien d’autre. On avait 12 ans et en début d’entraînement, on faisait 15 minutes de semelles, de petites touches de balles, on répétait nos gammes. Même en l’ayant eu qu’un an, ça a suffi.» Un travail acharné aux effets salutaires pour la génération 2000 bretonne, devenue la mine d’or de la Piverdière. Si on dit généralement qu’un, deux, voire exceptionnellement trois joueurs d’une catégorie d’âge, ont des chances de passer le cap du monde pro, cette génération a fait voler cette thèse en éclats. Ils sont en effet plus de 10 à avoir goûté au football professionnel, à Rennes ou ailleurs. Et la plupart d’entre eux rythment aujourd’hui nos week-end foot : Sacha Boey, aujourd’hui au Bayern Munich, Warmed Omari, prêté par Rennes à l’OL, Sofiane Diop, passé par Monaco et Nice, Lorenz Assignon, toujours à Rennes, mais aussi Arnaud Abbas, devenu international centrafricain après avoir bifurqué vers le PFC, Mathis Picouleau, Adrien Trouillet, Wilson Isidor, Léo Leroy ou encore Alan Kerouedan. Par ailleurs, Rennes peut se targuer d’être l’un des principaux fournisseurs des équipes de France de jeunes, et ce, depuis plus de 10 ans.

La quête de l’optimisation
En échangeant avec plusieurs intimes du Stade Rennais, revient aussi souvent l’idée d’éducateurs malléables, toujours soucieux de maximaliser le talent de leurs jeunes en leur apportant un suivi personnalisé. François Rauzy, journaliste de France Bleu, développe : «à Rennes, on offre aux jeunes un cadre collectif, mais aussi individuel. Tout est méthodique, on s’adapte à chaque profil. Les jeunes identifiés à 14/15/16 ans, réussissent souvent, et ont une continuité linéaire qui les emmène jusqu’en équipe de première. Les déceptions sont très rares ces dernières années», note-t-il. Même d’autres qui n’étaient pas nécessairement programmés au départ, parviennent à creuser leur sillon. C’est notamment le cas de Lorenz Assignon, encore très chétif lors de son entrée au centre de formation, et même à la cave à une certaine période, ou encore de Guela Doué, deux ans de moins, injustement soupçonné d’être «pistonné» en raison de son lien familial avec le phénomène du centre, Désiré. Mais la réussite de profils sensiblement proches, comme Assignon et Doué, pas évidents à détecter au départ, vient aussi renforcer l’idée d’un club qui accompagne, et reste conscient qu’une éclosion tardive peut toujours se produire.

Sur deux générations, Rennes a ainsi propulsé quatre latéraux droits en professionnel : Sacha Boey (2000), Lorenz Assignon (2000), Brandon Soppy (2002), parfois utilisé dans l’axe, et Guela Doué (2002). Plus ou moins en concurrence à un certain moment de leur formation, les quatre en sont sortis grandis. «Même si certaines trajectoires ont pris plus de temps à se dessiner que d’autres, ils avaient tous des prédispositions physiques ou techniques, rappelle tout de même François Rauzy. Mais c’est clairement l’optimisation des joueurs, on arrive à les porter au maximum de leur potentiel. » Ce que confirme Clément Gavard, rédacteur en chef de SoFoot, et suiveur alerte du Stade Rennais : «à Rennes, il y a une sorte de base éducative. Même ceux qui sont peut-être en retard en jeunes, s’entrainent avec les meilleurs, sont bien accompagnés, ont un terreau un peu fertile. Tout cela fait qu’ils vont sûrement plus progresser que dans un club moins structuré, et moins réputé pour sa formation. Il y a un an, pas grand monde n’aurait misé sur Guela Doué.»

Le surclassement et la stimulation de l’esprit dès le plus jeune âge
Dans cette quête perpétuelle de l’optimisation d’un potentiel, Rennes a aussi souvent recours au surclassement. Une pratique largement répandue aujourd’hui dans les centres de formation français, mais étrennée par le Stade Rennais. Depuis une dizaine d’années, il est fréquent de voir des joueurs évoluer une, voire deux catégories d’âge au-dessus de la leur. François Rauzy explique le phénomène : «ce surclassement systématique remonte à plus de dix ans. Avant, on voyait des joueurs arriver en pro, mais pas préparés physiquement. Aujourd’hui, Rennes apprête ses joueurs, et ils sont parfois amenés à jouer en réserve, contre des adultes, à 16/17 ans. Quand Camavinga arrive en pro à 17 ans, il n’a pas cette peur. » Un parti pris assumé, en partie à l’origine des résultats fluctuants de la formation rennaise, des fois relégués au second plan. Ces dernières années, elle a connu quelques jolies parenthèses, comme le titre de champion de France U17 en 2018, ou celui d’U19 en 2019, mais il faut par exemple remonter à 2008 pour trouver trace de Rennes dans une finale de Gambardella.

Un ancien membre du département recrutement de Rennes explique cette inclination : «le surclassement est une caractéristique du centre. Laisser un joueur surperformer dans sa catégorie d’âge, c’est un frein à sa progression. Il faut le confronter à des difficultés pour qu’il puisse trouver les clés. Sur la génération 2000/2001, il y a eu énormément de réussites. Sacha Boey, lorsqu’il est arrivé à Rennes, il s’est par exemple cassé la jambe. Il a failli partir et est finalement revenu plus fort. Tout ça découle aussi du ciblage au départ. Sans sa personnalité et sa mentalité, on n’aurait pas eu le Boey d’aujourd’hui.» À Rennes, on veut donc des têtes bien faites, mais aussi des esprits curieux, pas enfermés dans des carcans. Dans cette optique, les éducateurs bretons s’échinent à travailler l’adaptabilité de leurs joueurs à différents contextes. Une autre force du club breton, capable d’aller gratter en profondeur pour tirer le meilleur d’eux : «j’ai pu échanger avec plusieurs joueurs passés par le centre, et on me parle souvent des qualités des éducateurs pour façonner les jeunes. L’un d’eux, qui joue aujourd’hui la Ligue des Champions, a compris qu’il y avait un réel savoir-faire à Rennes, une fois qu’il avait quitté le club. Ici, de nombreux formateurs ont par exemple bougé les joueurs de poste pendant leur formation pour les mettre en difficulté et élargir un peu leur palette. Beaucoup ont pris en maturité très tôt », remarque Clément Gavard.

Parmi eux : Mathys Tel, au départ défenseur puis milieu de terrain, ou encore Désiré Doué, autre membre de la génération 2005 comme Belocian et Tel, qui a certainement gagné en rigueur en étant repositionné derrière. Arnaud Abbas, dans une certaine mesure, en a aussi fait les frais : «plus jeune, j’étais ailier gauche, mais très rapidement, Julien Stéphan m’a dit que j’avais plus de potentiel et de chances de réussir dans l’axe. Quelques semaines plus tard, il m’a fait jouer en pointe en N2. Il y a un cadre à respecter, mais aussi une grande place pour laisser exprimer ses qualités.» Même si tous n’arboreront pas les couleurs rouge et noire au Roazhon Park, ils pourront au moins s’appuyer sur une base solide garantie par le club, pour construire leur carrière. «Ca m’arrive de retrouver des joueurs perdus de vue en regardant des matches », sourit Clément Gavard. Ces derniers mois, plusieurs talents ont trouvé un coin de ciel bleu, loin de la Bretagne, à l’image de Georginio Rutter, transféré de Leeds à Brighton pour près de 50 millions d’euros cet été, Loum Tchaouna, titulaire à la Lazio Rome, Andy Diouf, devenu international espoir français et aujourd’hui à Lens, Lucas Da Cunha, joueur de rotation dans le Côme de Fabregas, ou encore Yann Gboho, éclaircie du début de saison toulousain.

Trop miser sur les jeunes a aussi ses limites
Si la feuille de route du Stade Rennais implique d’accorder du temps de jeu aux jeunes du centre de formation, cette politique peut aussi parfois s’apparenter à un frein. Structuré pour être un club du TOP 5 français, le club dirigé par la famille Pinault se heurte à son plafond de verre, à savoir être européen chaque saison. Pour François Rauzy, cette situation s’explique en partie par le manque d’expérience de l’effectif, presque tous les ans : «c’est une fierté de développer le centre de formation, mais si tu te limites à la 4e place - hormis la 3e en 2020 lors de la saison stoppée par le COVID - c’est lié à ça. Paradoxalement, quand ton équipe remporte la Coupe de France en 2019, et fait le beau parcours en Europa League (1/8e de finale, éliminé par Arsenal), c’est l’une des rares saisons depuis 20 ans sans aucun jeune du centre titulaire dans le onze. Revenir en étant mené 2-0 par Paris en finale de Coupe de France (Rennes s’était imposé aux tirs au but en 2019), je ne pense pas qu’on l’aurait fait avec autant de jeunes que l’an passé par exemple.»

Cette saison néanmoins, Rennes a prévu de revoir sa copie, et il faudra attendre quelques mois avant de tirer des conclusions. Aujourd’hui, Adrien Truffert est le seul représentant de la Piverdière dans le onze de Julien Stéphan. Peut-être aussi parce que les 2006, 2007 ou 2008 sont encore trop verts pour postuler en Ligue 1, même s’il faudra tout de même surveiller les trajectoires de l’ailier guinéen Amadou Diallo (18 ans) et du très prometteur Kelvin Dongopandji (17 ans), car on ne ferme jamais la porte à une éclosion. Un équilibre entre ambition sportive et incorporation de jeunes joueurs, c’est ce que cherche aujourd’hui le Stade Rennais. Car il est évidemment inconcevable de tirer un trait sur la formation, poumon économique du club, qui n’a jamais présenté les recettes de merchandising d’un OM ou d’un PSG.

15 euros par mois, DAZN baisse encore son prix

Victime d’un boycott, DAZN va encore revoir son prix à la baisse. En plus de la prolongation de la précédente promotion, le principal diffuseur de la Ligue 1 proposera un abonnement avec deux écrans simultanés, avec la possibilité de diviser la facture par deux.

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La rumeur était fausse. D’après son directeur général en France Brice Daumin, DAZN n’a pas seulement attiré 100 000 abonnés. « Ce n'est pas notre volonté de commenter des chiffres, hormis celui de 100 000 qui est une bêtise, a démenti le dirigeant contacté par L’Equipe. C'est mal connaître l'engouement des fans de la Ligue 1 que de penser qu'il n'y a que 100 000 personnes capables de s'abonner. » D’après le quotidien sportif, le principal diffuseur du championnat français a plutôt réuni aux alentours de 500 000 clients. C’est mieux, mais on reste loin de l’objectif fixé à 1,5 million d’abonnés.

Un traitement spécial pour OM-PSG
Rappelons d’ailleurs que s’il ne parvient pas à atteindre ce chiffre d’ici décembre 2025, DAZN, tout comme la Ligue de Football Professionnel, pourra rompre le contrat grâce à une clause de sortie. Ce n’est évidemment pas le plan de la plateforme de streaming qui croit toujours en ses chances. DAZN compte tout d’abord sur le Classique du dimanche 27 octobre pour attirer du monde. « Quatre heures d'antenne avec, pour la première fois, nos deux consultants réunis, Patrick Vieira et Benoît Cheyrou, a annoncé Brice Daumin. Et des artistes nous accompagneront dans la couverture du match, notamment de l'univers de Warner Music qui fait partie du même groupe que DAZN.

Quant aux tarifs tant critiqués, la plateforme prévoit de prolonger la précédente promotion. Et de proposer une nouvelle version de sa formule. « Dès la semaine prochaine et jusqu'au Classique, nous relançons celle à 19,99 euros par mois avec une connexion et une autre à 29,99 euros (avec engagement d’un an) pour deux connexions en simultané », a indiqué le directeur général. Deux personnes pourront donc partager un abonnement et payer près de 15 euros par mois chacune.

Les Pinault envoient leur bras droit

Si la famille Pinault a pris la décision de trancher dans le vif dans l'organigramme du Stade Rennais, hors de question pour eux d'assumer face aux micros.

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Si la famille Pinault a décidé de trancher dans le vif en faisant payer à Olivier Cloarec (président délégué) les mauvais résultats du Stade Rennais, l’actionnaire majoritaire du club breton ne s’est pas présenté à la presse pour la nomination d’Arnaud Pouille, qui a récupéré le poste.

L’autonomie d’Arnaud Pouille est pleine et entière
En effet, c’est Alban Gréget, président du Conseil d’administration rennais et bras droit de François-Henri Pinault, qui a fait les présentations… Justifiant, de manière lunaire, devant les micros l’absence du grand patron :

« Les Pinault sont très engagés mais ne veulent pas prendre la parole à la place des dirigeants. Dans le groupe, nous avons une conception de dirigeants qui dirigent. L’autonomie d’Arnaud (Pouille) est pleine et entière. Il viendra évidemment voir ses actionnaires pour des arbitrages quand il en aura besoin, mais il va diriger ».

Nul doute que du côté des supporters, on aurait préféré voir François Pinault assumer ses décisions et les expliquer…

Comment Amazon améliore l'efficacité des clubs de foot et l'expérience des fans grâce à la technologie

Amazon Web Services fait des stades de vrais hubs technologiques, en améliorant l'expérience des fans et l'efficacité opérationnelle des clubs et enceintes. De la billetterie intelligente aux achats, découvrez comment le Cloud computing redéfinit le sport.

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Avec la livraison de votre sandwich jusqu’à votre place, en achetant votre billet pour votre prochain match de foot, vous n’avez peut-être pas pleinement pris conscience que l'ère des stades intelligents est arrivée, en partie propulsée par les innovations d'Amazon Web Services (AWS). Face à la concurrence des outils dont chacun dispose à la maison, les stades et clubs se tournent vers des technologies de pointe pour captiver les fans et optimiser leurs opérations, faisant d’une pierre deux coups.

Des jumeaux numériques aux solutions de paiement révolutionnaires, Amazon et sa division AWS offrent un arsenal d'outils transformant chaque aspect de l'expérience du jour de match. On vous fait embarquer dans l'univers où le Cloud, l’IA, la 5G et le edge computing rencontrent le sport, pour offrir des moments inoubliables aux spectateurs, et repousser les limites de l'efficacité pour les gestionnaires de stades.

Des technologies qui redéfinissent l’expérience, bien en amont du stade
La question qui se pose ici est, avant un événement sportif, comment on peut aider les enceintes et les clubs à proposer une meilleure expérience sportive aux fans. Ici, les technologies d’Amazon Web Services peuvent aider à gérer la billetterie, le trafic et la fiabilité de cette dernière. Elles peuvent intervenir également dans la gestion des abonnements, pour notamment absorber, grâce aux infrastructures AWS, le surplus de trafic lorsque de nombreuses personnes se connectent en même temps, en cas de derby par exemple, ou de concert.

Il est aussi question de yield management. Amazon Web Services travaille avec l’Olympique de Marseille et l’aide, comme pour d’autres clubs, à bien gérer ses revenus. Ici, la technologie permet de faire fluctuer les prix en fonction d’une affiche (un OM-PSG présente des caractéristiques bien différentes qu’un OM-Le Havre), de l’offre et de la demande. Optimiser ses revenus dans le cas des clubs sportifs et du yield management, cela permet, d’abord, d’améliorer l'affluence en termes de spectateurs et donc d’optimiser le remplissage des infrastructures, et aide à piloter la billetterie pour maximiser le profit.

Afin de pouvoir proposer des prix adaptés et variables toute la saison, plusieurs critères sont prédéfinis par les équipes sportives, et ensuite analysés et suivis en temps réel via un algorithme qui effectue ce travail d’analyse. On parle ici d'étudier l’historique des réservations d’une année sur l’autre, mais aussi des événements extérieurs comme la météo, la période de l’année, l'affiche sportive, le classement ou résultat des équipes à l'affiche, donc tout ce qui peut influer sur le remplissage du stade.

"Grâce à l'IA et ses algorithmes, on est donc en capacité de déterminer comment vendre le billet au bon prix en fonction de l’événement, pour maximiser le remplissage du stade", résume Armel Negret, responsable des sujets sportech pour AWS France.

Aide les enceintes sportives dans la gestion des sites au quotidien
Accompagner les stades dans la gestion au quotidien des installations passe, pour AWS, par un jumeau numérique, un modèle virtuel qui reflète fidèlement un objet physique. "En l’occurrence, on crée un jumeau numérique du stade, on consolide l’ensemble des données du site, et on permet au gestionnaire d’avoir des informations en temps réel sur l’enceinte", explique Armel Negret.

De façon plus concrète, il peut aussi s’agir d’optimiser la consommation d’énergie ou la consommation d’eau du stade, le suivi de la foule, etc. "En résumé, on crée le jumeau numérique, on capte l’ensemble des données puis on optimise et on prend les décisions en fonction des informations remontées".

Cas d’usage XXL, celui du Climate Pledge Arena de Seattle, qui accueille la franchise de hockey de la ville hôte historique d’Amazon, entre autres combats de boxe et concerts. Cobrandé avec Amazon, le stade poursuit le but d'être le premier stade neutre en carbone, pour fournir les besoins énergétiques du site. Des panneaux solaires sont installés sur le toit, toit qui permet de récupérer les eaux de pluie, grâce à un tracking en temps réel. L’enceinte fait aussi le suivi de métriques clés. "On travaille directement avec les équipes du stade", ajoute notre expert AWS France.

Autre exemple : John Holland, le "Bouygues australien", a récemment rénové le Sydney Football Stadium ou Allianz Stadium, qui a notamment accueilli des rencontres de la dernière Coupe du monde de football féminin, en 2023. Ici aussi, AWS a collaboré avec le promoteur pour développer un jumeau numérique. Sur ce chantier, il existait des contraintes réglementaires qui nécessitaient l’installation de capteurs de bruit et de température. Aujourd’hui, l’enceinte est en capacité de pratiquer du tracking en temps réel, pour agir en conséquence et respecter ces contraintes.

Proposer une expérience personnalisée aux fans en fonction de leurs comportements
Comment améliorer et surtout personnaliser l’expérience des supporters, au cœur des enceintes ? Armel Negret a sa petite idée : "Dans le stade, à partir du moment où vous disposez d’une base de données de l’historique des fans, vous pouvez concevoir et proposer diverses expériences. On peut notamment penser à la livraison de repas jusqu’à sa place".

D’un point de vue plus "data", l’amélioration de l’expérience du supporter dans une enceinte sportive, c’est aussi se poser la question de comment stocker, traiter et analyser les données, pour ensuite proposer ces fameuses expériences. "Ça peut être des expériences sur le chemin du stade, comment on s’y rend, comment on en sort, quelle entrée il faut emprunter, en fonction de sa place, donc la personnalisation en fonction de son ticket pour optimiser le chemin".

Le plus intéressant se passe et se passera à l’intérieur du stade. On pense spontanément à la technologie Just Walk Out, qui alimente les magasins Amazon Go, qui permettent de faire ses quelques courses "sans contact", sans avoir à passer en caisse. Cela aide à améliorer l’expérience des spectateurs au stade, leur permettant de revenir le plus rapidement possible au match, sans perdre x minutes précieuses dans la queue pour une boisson ou de la nourriture. "Qui n'a jamais fait une queue interminable dans un stade pour une bière ou un snack", s’amuse Armel.

La technologie est déjà éprouvée aux États-Unis, en Australie et au Canada dans les stades. Elle commence à arriver au Royaume-Uni et finira par arriver en Europe, il y a peu de place au doute.

Cette dernière technologie peut être complétée par Amazon One, qui permet d’accéder au lieu visité en scannant la paume de la main (reconnaissance palmaire). "Elle est déjà activée dans plusieurs stades, comme le Climate Pledge Arena de Seattle, dont nous parlions".

Réalité augmentée, réalité virtuelle, 5G et edge computing : une pluie de technologies pour réinventer l’expérience des fans
Le renouvellement de l’expérience des spectateurs dans les enceintes sportives passe par les nouvelles technologies, tout le monde l’a bien compris. Mais qu’entend-on par là ? Trois start-up françaises , qui travaillent en partenariat avec Amazon Web Services, attirent notre attention.

Immersiv, une jeune entreprise incubée à Paris, du côté de Station F, parvient à positionner des informations juste au-dessus des joueurs, sur un terrain, que l’on voit grâce à son téléphone, pour rendre plus immersive, ça ne s’invente pas, l’expérience dans les gradins. En ce qui concerne la technologie employée, les informations sont traitées "en local", pourrait-on dire, grâce au edge computing, qui opère le calcul au plus proche de l’événement sportif et permet de traiter les données avec la plus faible latence possible, inférieure à 10 ms.

Touch2See, start-up née à Toulouse, propose de nouvelles expériences au public non-voyant. L’entreprise permet d’améliorer l’expérience des personnes malvoyantes au stade, grâce à une tablette innovante en braille. Les spectateurs ont alors une compréhension spatiale, grâce à l’audiodescription avec le casque, et des données captées dans le stade en temps réel. "Il faut bien comprendre que tout cela serait impossible sans la 5G et l’edge computing", note Armel. "Cette expérience a pu être testée, avec succès, lors du dernier Mondial de rugby, sur le Tour de France mais aussi à l’Orange Vélodrome à Marseille, en collaboration avec Orange".

Pour les médias, enfin, la start-up Moments Lab opère un filtrage en temps réel des sportifs sur le terrain, pour pousser directement auprès des médias des photos, des vidéos en lien avec tel ou tel joueur. Et encore une fois, cela se fait grâce à la 5G et au edge computing.

Je sais qu'il n'y a pas de résultats et que c'est frustrant

Arrivé vendredi dernier, le nouveau président exécutif de Rennes, Arnaud Pouille, s’est présenté à la presse ce jeudi après-midi en exprimant son souhait de s’inscrire dans la continuité du travail entrepris au club depuis plusieurs années.

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Nouveau président, nouveau départ pour le Stade Rennais. Après deux défaites frustrantes en Ligue 1 face au PSG (3-1) et à Monaco (1-2), les joueurs de Julien Stéphan ont découvert leur nouveau président, Arnaud Pouille, vendredi dernier, suite au départ d’Olivier Cloarec. Une nouveauté positive pour le club qui pourrait apporter un nouveau souffle. En conférence de presse ce jeudi après-midi, Arnaud Pouille s’est exprimé sur ses premières missions en tant que nouveau président exécutif de Rennes : "Si on ne parle pas de performance durable, il y a deux sujets ancrés au sein du club. Le premier est la formation, et mes premières actions ont été de mieux la comprendre, de faire en sorte que le Stade Rennais reste en haut et qu'il s'appuie sur ce qu'il a construit ces dernières années. Le deuxième est d'être le fer de lance de la Bretagne, de rendre heureux les gens qui vont au Roazhon".

Julien Stéphan pas menacé
Malgré plusieurs systèmes de jeu sans succès pour l'entraîneur rennais depuis le début de la saison, l'ancien directeur général de Lens a souhaité conserver Julien Stéphan. Le nouveau président du Stade Rennais s'est montré confiant en conférence de presse : "Ce n'est pas évident de changer de système en cours de saison. Moi, je suis arrivé vendredi dernier. J'ai regardé Rennes-Lens, PSG-Rennes et le match de samedi (contre Monaco, 1-2)... Je sais qu'il n'y a pas de résultats et que c'est frustrant. Vous savez que pour limiter les biais dans les jugements, il suffit de regarder les données sur le match de samedi, qui montrent que le groupe a fourni énormément d'efforts, mais qu'il n'a pas été récompensé. Maintenant, il faut se projeter sur le moyen et le long terme, à commencer par le match de Brest dans huit jours. Julien sait que la situation n'est pas facile en termes de résultats, mais je peux vous garantir que ça travaille dur." Pour rappel, Rennes, après 7 journées de championnat, se trouve à la 12e place au classement, avec seulement 7 points.

Stéphan sur la sellette, le vestiaire prend une position radicale

Julien Stéphan, déjà sous pression au Stade Rennais, n’aurait pas perdu le soutien de ses joueurs, ce qui pourrait jouer en sa faveur pour rester à son poste.
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Actuellement 12e en Ligue 1 après sept matchs, le club breton traverse un début de saison compliqué. Le coach français a déjà testé trois systèmes de jeu différents et n’a pas encore su tirer le meilleur parti de ses nombreuses recrues estivales.

Selon L’Équipe, malgré les rumeurs de limogeage qui circulent, le vestiaire reste soudé autour de lui : « Ses joueurs ne l’ont pas lâché, mais son équipe reste en quête d’identité, ce qui demande du temps. En aura-t-il suffisamment ? », interroge le quotidien sportif. Le prochain match, prévu le 19 octobre contre le Stade Brestois, s’annonce crucial pour l’avenir de Julien Stéphan.

Un premier verdict est tombé pour la blessure de Gronbaek

Albert Gronbaek, joueur du Stade Rennais, a quitté le terrain prématurément lors du match face à l’AS Monaco, qui s’est conclu par une défaite de 1-2. L’attaquant danois, arrivé récemment en Bretagne, a été victime d’une blessure à la cheville.

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L’entraîneur de l’équipe, Julien Stéphan, a évoqué la situation de Gronbaek lors de la conférence de presse après le match. Il a déclaré : « C’est la cheville, je n’ai pas de détail pour le moment ». Ces paroles témoignent de l’incertitude qui entoure la condition du joueur.

Pour déterminer l’étendue de sa blessure, il devra subir des examens médicaux dans les prochaines heures. Ces analyses permettront de clarifier la gravité de sa blessure à la cheville ainsi que la durée de son indisponibilité.

Depuis son arrivée à Rennes en provenance de Bodo/Glimt, Gronbaek avait fait une impression favorable en début de saison. Cependant, ses performances semblaient stagner légèrement lors des derniers matchs avant cet incident regrettable.

La situation de Gronbaek est suivie de près par le club et ses supporters, qui espèrent un retour rapide sur le terrain. Les résultats des examens à venir seront déterminants pour établir le calendrier de sa récupération.

S.G.S.B.

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