Ce vendredi, le Paris Saint-Germain, leader actuel de la Ligue 1, recevra Rennes, 8e au classement, au Parc des Princes pour la 6e de Ligue 1 : trois joueurs manqueront à l’appel.
L’état de santé de Vitinha (milieu de terrain, 24 ans) et Désiré Doué (milieu offensif/attaquant, 19 ans) inquiète. Les deux joueurs, touchés pendant la trêve internationale, ne se sont toujours pas entraînés ce mardi matin, laissant planer le doute sur leur présence pour ce match important.
« Désiré Doué et Vitinha n’ont pas participé à l’entraînement collectif ce matin. Séance à part pour le Portugais. L’ancien Rennais continue de soigner sa cheville », assure Benjamin Quarez, journaliste pour le Parisien sur X.
Asensio Out, mais Kang In Lee OK Marco Asensio ne sera pas non plus apte. « Ce mercredi, Luis Enrique n’a pas pu compter sur Désiré Doué (cheville), Marco Asensio (cuisse) et Vitinha. Mardi déjà, les trois hommes n’avaient pas pu participer à la séance avec leurs partenaires. La bonne nouvelle vient du côté de Presnel Kimpembe, qui poursuit ses entraînements individuels et dont le retour complet avec le groupe à l’entraînement est espéré en octobre », annonce l’Equipe.
En revanche, tout va bien pour Kang In Lee. Touché lors du match contre Reims, le Sud-Coréen s’entraîne normalement.
Le PSG dispose encore d’un entraînement ce jeudi, avant la rencontre contre le Stade Rennais ce vendredi à 21h.
À l’occasion d’une date symbolique, le 23 septembre, le LOSC a communiqué pour la toute première fois sur ses 80 ans, lançant le compte à rebours.
Il y a 80 ans jour pour jour, l’Olympique Lillois et du Sporting Club Fivois actaient leur fusion à l’issue d’un pèlerinage conjoint jusqu’au monument aux morts de l’Olympique Lillois. Ce n’est que deux mois plus tard, le 25 novembre 1944, que ses statuts furent déposés et que son nom (Lille Olympique Sporting Club) voyait le jour. C’est à cette date symbolique que le LOSC célèbrera ses 80 ans. A son approche, des premières informations ont déjà été divulguées.
Le match anniversaire des 80 ans du LOSC aura lieu le week-end du 24 novembre, avec la réception du Stade Rennais dans le cadre de la 12e journée de Ligue 1 McDonald’s. La formation bretonne, au cours de la saison 202-2024, avait déjà vécu un après-midi de fête à Lille avec l’hommage rendu à Eden Hazard. En plus de cet événement, durant lequel « des surprises » en tout genre ont déjà été promises, la formation nordiste a officialisé la sortie d’un coffret en édition limité imaginé par New Balance. Celui-ci contiendra un kit ”collector” et un « détail encore secret », précise le communiqué publié ce jour par le club. Une collection lifestyle et des sneakers verront également le jour pour rester dans ce domaine, ainsi qu’un livre retraçant la longue et belle histoire des Dogues.
« Octogénaire et déjà légendaire, le LOSC est une grande institution que nous souhaitons tous honorer, ensemble. Joueurs, dirigeants, supporters, partenaires, rassemblons-nous autour de ce bel évènement et rendons le mémorable ! Pour le reste de la programmation et pleins d’autres surprises… A suivre ! », conclut ainsi le LOSC.
Chaque semaine, la Direction de l'arbitrage de la FFF propose désormais une analyse de plusieurs stuations survenues le week-end précédent en Ligue 1, où l'arbitrage a eu recours à l'assistance vidéo. Ce mardi, la structure est revenue sur deux actions litigieuses lors de Brest-Toulouse et sur l'égalisation lensoise face à Rennes.
C'est une nouveauté de cette saison de Ligue 1. Après chaque journée du championnat français, la Direction de l'arbitrage de la FFF revient sur plusieurs situations du week-end pour expliquer les décisions où l'arbitre a eu recours à l'assistance vidéo. Ce mardi, trois cas ont été expliqués.
Le penalty accordé à Toulouse expliqué, tout comme l'autre penalty toulousain annulé La Direction de l'arbitrage est d'abord revenue sur le penalty accordé à Toulouse ce dimanche. Yann Gboho s'était écroulé dans la surface, après s'être fait marcher sur le pied par Mathias Pereira Lage. L'arbitre a été alerté par l'assistance vidéo et a finalement accordé le penalty, ensuite loupé par Zakaria Aboukhlal.
"Sans avoir préalablement touché le ballon, le défenseur brestois intervient sur le pied de l'attaquant toulousain, avec une semelle claire sur le dessus du pied de l'attaquant", a indiqué le rapport. "Ce geste est commis de façon imprudente. Un visionnage en bord de terrain était bien attendu pour modifier la décision, et reprendre le jeu par un pénalty."
Eric Roy s'est lui emporté auprès du quatrième arbitre, estimant que cette faute ne méritait pas penalty. Le coach du club breton a écopé d'un carton rouge dans la foulée. Son équipe s'est malgré tout imposée (2-0). "Il y a le très haut niveau et puis après il y a la Ligue 1, c'est toujours pareil", a fustigé le technicien, regrettant le niveau de l'arbitrage après celui qu'il a connu en Ligue des champions quelques jours plus tôt.
A la 42e minute, Toulouse pensait obtenir un second penalty mais après avoir consulté l'assistance vidéo, l'arbitre est revenu sur sa décision. "Sans avoir touché ni joué le ballon, l'attaquant de Brest vient délibérément positionner sa jambe gauche devant celle du défenseur toulousain, empêchant ce dernier de jouer le ballon et le faisant trébucher de manière imprudente", a fait savoir la Direction de l'arbitrage. "Un visionnage en bord de terrain était bien attendu pour modifier la décision et annuler le pénalty."
La Direction de l'arbitrage revient sur le but lensois en fin de match Enfin, le troisième cas abordé par la Direction de l'arbitrage concerne une action survenue lors de la rencontre entre Rennes et Lens ce samedi (1-1). Celle-ci a été déterminante puisqu'elle a permis aux Lensois d'égaliser en fin de match (90+6e) grâce à M'Bala Nzola. L'arbitre a consulté l'assistance vidéo pour vérifier que le but était bien valable au vu de la situation un peu confuse, avec cette sortie dans les airs de Steve Mandanda.
"Dos au but, l'attaquant de Lens est en extension et cherche uniquement à jouer le ballon de la tête", a affirmé la Direction de l'arbitrage. "Sans se rendre coupable de la moindre charge imprudente sur le gardien de but rennais, il est alors percuté par ce dernier. L'attaquant ne commet donc aucune faute sur le gardien. Le recours à l'assistance vidéo à l'arbitrage, pour gérer ce contexte exceptionnel de fin de match, était opportun. La décision attendue était effectivement d'accorder le but."
Après son match nul à Reims (1-1), le Paris Saint-Germain, toujours leader de la Ligue 1, se prépare à accueillir le Stade Rennais ce vendredi soir au Parc des Princes (20h45).
Pour cette rencontre, la DNA (Direction Nationale de l'Arbitrage) a désigné Mr Hakim Ben El Hadj comme arbitre principal de ce choc, qui marquera l’ouverture de la 6e journée de Ligue 1, devant les caméras de BeIN Sports.
Arbitre de 46 ans, Mr Ben El Hadj n’est pas un inconnu pour les Parisiens. En effet, il avait déjà croisé leur route la saison dernière lors du Trophée des Champions, qui avait vu le PSG s’imposer 2-0 face à Toulouse. Ce vendredi, il sera chargé de maintenir l’ordre dans ce match crucial pour les hommes de Luis Enrique, qui chercheront à repartir de l’avant après leur partage des points à Reims.
Après la rencontre, samedi, Steve Mandanda a reconnu sa responsabilité sur l’égalisation de Lens face à Rennes en Ligue 1 (1-1) dans les derniers instants du match.
Il aurait pu se cacher derrière une potentielle erreur d’arbitrage, mais après le match nul face à Lens (1-1) Steve Mandanda a assumé sa responsabilité sur le but de l’égalisation lensoise en toute fin de rencontre. « On a fait un match très solide, un match sérieux. On a respecté la consigne. Tout avait été bien préparé par le staff et tout avait été bien fait par les joueurs. Malheureusement sur cette fin de match je viens gâcher tout ça. Je suis déçu pour tout le groupe, pour les supporters. On perd 2 points ce soir et j’en assume la responsabilité », a confié l’ancien gardien des Bleus en zone mixte.
Alors que Rennes semblait se diriger vers sa troisième victoire de la saison, l’ancien Marseillais a raté sa sortie aérienne sur un centre de Facundo Medina dans les dernières secondes de la partie. M’Bala Nzola en a profité pour pousser le ballon dans le but vide (90e + 6). Même si le dernier rempart breton a raté sa sortie, il a été légèrement bousculé par Wesley Saïd. Une action litigieuse qui a entraîné l’intervention de la VAR, avant que le but soit validé.
Pour le capitaine rennais, la faute aurait pu se siffler : « C’est une situation que l’arbitre peut siffler comme ne pas siffler parce que le joueur est sous moi et m’empêche d’intervenir correctement. L’arbitre décide de ne pas siffler, c’est de ma faute. (…) Cela fait partie du football. Ce soir cela tombe sur moi, c’est comme ça » a ajouté Mandanda l’air résigné. Après ce résultat, les Rouge et Noir sont huitièmes de Ligue 1, en attendant les rencontres de dimanche.
Le Stade Rennais a concédé le match nul dans les derniers instants contre le Racing Club de Lens (1-1), ce samedi 21 septembre 2024 au Roazhon Park. Une grosse frustration pour les Rennais, à l’image de leur défenseur néerlandais Hans Hateboer qui s’installe parmi les titulaires de Julien Stéphan.
Tout comme le capitaine Steve Mandanda et Baptiste Santamaria, Hans Hateboer s’est arrêté en zone mixte après le match nul (1-1) entre le Stade Rennais et le Racing Club de Lens, ce samedi 21 septembre 2024 au Roazhon Park. Comme ses coéquipiers et comme son entraîneur Julien Stéphan, le défenseur néerlandais retient d’abord la frustration du scénario, avec l’égalisation lensoise à la 96’, plutôt que la prestation globale des Rennais qui a été plutôt convaincante.
Quel sentiment vous anime après ce match nul concédé dans les derniers instants ?
Le sentiment, c’est que l’on perd deux points et que l’on aurait pu l’éviter. Mais sur l’ensemble du match, je trouve que l’on a fait du bon travail. On a bien défendu, on avait un bon état d’esprit. Mais ce que l’on retient au final, c’est la douleur d’avoir perdu ces deux points.
Est-ce un match malgré tout globalement positif dans le contenu ?
Oui, je pense. Il y a beaucoup de choses à améliorer dans notre jeu avec le ballon. Mais sans le ballon, on a remporté la plupart des duels, la plupart des deuxièmes ballons, toute l’équipe s’est bien battue. On a joué contre une bonne équipe et, dans l’ensemble, je trouve que l’on s’est bien comporté. Dans les gros matches, ce sont les détails qui comptent, comme ce but à la dernière minute. On doit apprendre de ça, on doit être plus concentrés jusqu’à la fin.
Comment vous sentez-vous dans ce système instauré depuis deux matches ?
Je me sens bien, j’y suis habitué donc ce n’est pas nouveau pour moi. Les gars s’adaptent vite et je pense que l’on a vu une bonne organisation aujourd’hui. On a mis une grosse pression tout le match, tout le monde y va à fond et sait quoi faire. Mais avec le ballon, on a besoin de temps et dans le football, on n’a pas beaucoup de temps. Mais j’ai confiance.
Le coach avait parlé d’un manque de leadership après les défaites à Strasbourg et Reims. Êtes-vous amené à être un de ces leaders avec votre expérience ?
Oui, peut-être. Je suis l’un des gars les plus âgés et avec le plus de matches. Donc je dois prendre mes responsabilités et je vais le faire. Mais le plus important, c’est de continuer à croire en le système et en nous. On doit le faire tous ensemble.
Mandanda fait son mea culpa après le match nul de Rennes contre Lens
Steve Mandanda s'est rapidement présenté en zone mixte dix minutes après le coup de sifflet final samedi soir, pour assumer sa responsabilité sur l'égalisation lensoise au bout du temps additionnel (90e + 6) : « On a fait un match très solide, sérieux, on a respecté les consignes, tout avait été bien préparé par le staff et bien fait par les joueurs, et malheureusement, sur cette fin de match, je viens gâcher tout ça. Je suis déçu pour tout le groupe, les supporters, tout le monde, on perd deux points ce soir (samedi) et j'en assume la responsabilité. »
Sur le centre de Facundo Medina dans la boîte, Mandanda est sorti pour boxer le ballon aux poings, Wesley Saïd était aussi sur le point chaud et le capitaine rennais n'a pas pu dégager comme il l'aurait voulu, pas nettement en tout cas. Le ballon est retombé dans les pieds de M'Bala Nzola, à l'affût, qui a conclu dans le but vide pour un point inespéré. Mandanda a réclamé une faute de Saïd sur l'action, mais Jérémy Stinat est allé voir l'écran et a considéré que le Lensois n'avait pas empêché Mandanda de jouer le ballon et de sauter. « C'est une situation que l'arbitre peut siffler et ne pas siffler, car le joueur est sous moi et m'empêche d'intervenir correctement, estime Mandanda. Il décide de ne pas siffler, c'est de ma faute. »
On a raté nos dix premières minutes et nos sept-huit dernières
Julien Stéphan, l'entraîneur de Rennes
Julien Stéphan, lui, a évoqué un « épisode malheureux » sur cette erreur dans une fin de match où Rennes a trop reculé face à des Lensois à dix : « On a eu un réflexe de protection (du 1-0) lié sans doute au peu de vécu commun. On a raté nos dix premières minutes et nos sept-huit dernières. » Son équipe a donc laissé filer deux points alors qu'elle avait été assez intraitable défensivement après le penalty réussi d'Arnaud Kalimuendo (24e). « On a la matière et les ressources pour avancer », retenait-il malgré tout avant de se coltiner le PSG et Monaco d'ici la prochaine trêve.
Le Stade Rennais a concédé sur sa pelouse un match nul (1-1) très frustrant contre le RC Lens, avec une égalisation des Nordistes à la 96e minute. Pourtant en supériorité numérique en fin de match, les Rouge et Noir ont payé leurs dernières minutes où ils ont de plus en plus reculé.
Julien Stéphan, entraîneur du Stade Rennais, après le match nul (1-1) de son équipe face au Racing Club de Lens ce samedi 21 septembre au Roazhon Park : « C’est rageant, parce que l’on a raté nos dix premières minutes, et nos sept ou huit dernières. Pour le reste, je pense que l’on a dominé cette équipe de Lens une bonne partie de la rencontre. En début de match, ils ont réussi à trouver quelques mouvements qui nous ont déstabilisés, par des courses profondes sur notre côté gauche. Après, on a pris l’ascendant en pressant très bien, en avançant sur l’adversaire, en les maintenant bas et en les obligeant à relancer long. Je pense que l’on a ouvert le score assez logiquement. Et puis, on a reculé de manière assez inexplicable alors que l’objectif était de continuer à avancer, et on l’a payé, sans qu’ils aient été véritablement dangereux. Mais on n’est pas à la merci d’un ballon dans la surface avec autant de monde. Ils égalisent sur un épisode malheureux avec très peu de danger créé. »
Des raisons personnelles pour l’absence de Kamara « Qu’ils soient à dix ou onze, on doit continuer à avancer sur le porteur, cette équipe doit se construire dans ce sens-là. C’est ce qui a fait notre force sur une grande partie du match. J’aurais la même analyse même si l’on n’avait pas pris ce but, en disant que nos dernières minutes n’étaient pas en accord avec ce que l’on devait faire dans ce genre de circonstance.
Sur une très grande partie de la rencontre, ce qu’ont produit les joueurs, c’est convaincant, dans l’intensité, la générosité. Bien sûr, on a encore des progrès à faire dans la gestion du ballon, quelques connexions qui devraient nous permettre d’avoir encore plus de maîtrise, mais l’équipe va dans le bon sens. Maintenant, si l’on veut aller en haut, ce sont des matches que l’on doit gagner. »
L’absence de Glen Kamara ? Pour des raisons personnelles. Ce n’est pas du tout disciplinaire. Je ne vais pas gratter trop, mais il y a des choses qui dépassent le cadre du football.
Après s’être rassuré contre une très faible équipe de Montpellier, Rennes entend confirmer contre le RC Lens, samedi (19 heures) à l’occasion de la 5e journée de Ligue 1. Un match qui s’annonce particulièrement relevé selon Julien Stéphan, l’entraîneur du club breton.
Le point groupe "Andres Gomez a repris l’entraînement individuel, mais pas encore l’entraînement collectif. La reprise du terrain et de l’activité nous permettra de savoir. On n’en est pas encore là. Jota risque d’être trop juste pour ce week-end, en raison d’une alerte musculaire", annonce Julien Stephan. A l’inverse, le Stade Rennais va récupérer Leo Ostigard, qui était suspendu contre Montpellier la semaine dernière.
Un match déjà important ? "A la cinquième journée, je ne peux pas me dire que le match contre Lens est déjà un test. Pareil, le triptyque Lens-PSG-Monaco qui nous attend ne va déterminer notre saison. Par contre, c’est une étape importante. Lens a des joueurs qui se connaissent par coeur depuis quatre ans, un système qui n’a pas bougé. Hormis Elye Wahi, on va rencontrer l’équipe qui a battu Arsenal en Ligue des Champions l’année dernière. C’est une équipe forte, généreuse, dynamique et engagée, donc un très bon adversaire.
Notre système ? Ce n’est pas parce qu’on a gagné que j’estime qu’il est fantastique, idéal.
J’imagine un match avec beaucoup d’intensité, après c’est comment on trouve des supériorités numériques pour le déséquilibrer. Si on avait perdu contre Montpellier, qu’on n’avait pas fait un bon match, cela n’aurait pas remis en cause le système. Ce n’est pas parce qu’on a gagné que j’estime qu’il est fantastique, idéal. On ne réfléchit pas comme ça, on a pris une direction et c’est important de la suivre."
Rennes en quête de confiance ? "Il n’y a pas de questionnement particulier par rapport aux matches à venir. De toute manière, il faut jouer tout le monde. Si on les joue maintenant, ça veut dire qu’on n’aura pas à les rejouer avant un certain temps. Il y a une volonté, match après match, de bien développer cette équipe semaine après semaine. On va jouer trois grosses équipes, le calendrier nous a offert ça. C’est très challengeant. On va jouer trois équipes qui sont invaincues aussi. Si on parle de Lens, c’est deux victoires, deux matches nuls et un seul but encaissé. Cela montre la qualité de cet effectif et de leurs résultats depuis le début de saison. Aujourd’hui, je pense qu’on est challenger face au RC Lens, en raison de leur vécu commun. Maintenant, le challenger peut avoir les dents très longues."
Stade Rennais - Stade Brestois sera le seul derby breton de la saison, après la descente du FC Lorient en Ligue 2 l’an passé. On connaît la date et l’heure du premier épisode entre les deux équipes, qui aura lieu à Brest, au stade Francis-Le Blé : il aura lieu le samedi 19 octobre à 17 h.
Découvrez les arbitres qui officieront lors de la 5ème journée de Ligue 1
Stade Rennais FC - RC Lens (samedi, 19h00) Arbitre principal : Jérémy STINAT Arbitres assistants : François BOUDIKIAN et Nicolas DANOS 4e arbitre : Pierre LEGAT Arbitres assistants vidéo : Bruno COUE et Maxime APRUZZESE
Une semaine après un timide match nul contre l’OL, le RC Lens va tenter de renouer avec la victoire face à Rennes, samedi (19 heures). Découvrez les chiffres à connaître avant ce match comptant pour la 5e journée de Ligue 1.
0 : Rennes n’a remporté aucun de ses 8 derniers matches contre Lens en Ligue 1 depuis la remontée du club artésien en 2020 (4 nuls, 4 défaites), affichant sa plus faible moyenne de points par match contre un adversaire sur la période (0.5).
1 : Rennes n’a fait qu’un seul match nul lors de ses 13 dernières rencontres en Ligue 1 (5 victoires, 7 défaites), c’était à domicile contre Lens (1-1 le 12 mai).
0 : Lens n’a perdu aucun de ses 7 derniers matches de Ligue 1 (3 victoires, 4 nuls), plus longue série en cours en compagnie de Monaco.
3 : Rennes a débuté sa saison en Ligue 1 à domicile par 2 succès sur le score de 3-0 (v Lyon et Montpellier), mais le club breton n’a plus remporté ses 3 premières réceptions d’un même exercice depuis 2016/17 (4).
2 : Lens n’a remporté que 2 de ses 10 derniers déplacements toutes compétitions confondues (3 nuls, 5 défaites), c’était à Lyon en mars (3-0) et Angers en août (1-0).
137 : Rennes est l’équipe qui a le plus longtemps mené au score à domicile en Ligue 1 cette saison (137 minutes). La dernière équipe à avoir mené au score contre les Bretons au Roazhon Park en L1 est… Lens (lors du nul 1-1 le 12 mai dernier).
15 : Lens est l’équipe qui a le plus souvent trouvé les montants adverses en Ligue 1 en 2024 (15 fois), c’est au moins 5 fois de plus que toute autre équipe sur la période.
6 : Amine Gouiri avait marqué ses 2 premiers buts en Ligue 1 lors de sa toute première titularisation dans l’élite en août 2020 avec Nice contre Lens. L’attaquant aujourd’hui à Rennes n’a cependant pas trouvé le chemin des filets lors des 6 rencontres suivantes face aux Sang et Or.
53 : Florian Sotoca est l’un des 3 joueurs ayant tenté au moins 50 tirs en Ligue 1 en 2024 (53 – derrière Pierre-Emerick Aubameyang à 72 et Georges Mikautadze à 58), mais l’attaquant de Lens affiche le 2e delta négatif le plus important entre ses buts et ses Expected Goals sur la période (-3.8 – 4 buts pour 7.8 xG) derrière Folarin Balogun (-4.8).
100 : David Pereira da Costa pourrait disputer son 100e match en Ligue 1 (tous avec Lens). 48 de ses 99 apparitions dans l’élite étaient en tant que remplaçant, seuls Patrick Barul (50) et Philippe Brunel (65) sont plus souvent entrés en cours de jeu avec les Sang et Or dans l’élite.
Le Stade Rennais reçoit le Racing Club de Lens ce samedi 21 septembre (19 h) au Roazhon Park, pour le compte de la 5e journée de Ligue 1. Julien Stéphan pourra compter sur un groupe quasiment au complet pour le choc contre les Nordistes.
Après sa victoire contre Montpellier dimanche 15 septembre (3-0), le Stade Rennais enchaîne un deuxième match consécutif au Roazhon Park ce samedi 21 septembre (19 h) face au Racing Club de Lens, comptant pour la cinquième journée de Ligue 1.
Julien Stéphan devrait déplorer deux absents contre les Nordistes : d’abord l’ailier colombien Carlos Andres Gomez, qui souffre d’une périostite. "Il a repris l’entraînement individuel mais pas collectif", a précisé son entraîneur ce jeudi en conférence de presse. Le SRFC devrait aussi se passer de Jota, qui a joué ses premières minutes sous ses nouvelles couleurs contre Montpellier. Le Portugais souffre d’une gêne musculaire selon Julien Stéphan, et devrait être trop juste face à Lens samedi.
Leo Ostigard de retour Suspendu contre Montpellier il y a une semaine pour une accumulation de cartons jaunes, Leo Ostigard sera à nouveau disponible. Le défenseur central norvégien devrait faire son retour dans le onze de départ contre Lens.
Will Still, l'entraîneur du RC Lens, a fait le point ce jeudi sur l'état de ses troupes avant le déplacement à Rennes, samedi (19 heures), dans le cadre de la 5e journée de L1.
Le RC Lens sera privé de Kevin Danso, qui poursuit les séances d'entraînement, et de Jimmy Cabot (genou) pour son déplacement à Rennes ce samedi (19 heures, 5e journée). "Kevin continue les rendez-vous avec les médecins qu'il doit voir, les tests (cardiologie) qu'il doit faire, explique Will Still. Comme je l'ai déjà dit, il ne sera pas dans le groupe cette semaine. On prendra le temps qu'il faudra pour apprécier son retour et s'il est apte à jouer."
L'entraîneur belge est par ailleurs confronté à trois autres incertitudes. Elles concernant le piston gauche Deiver Machado. "Il a un ischio-jambier qui siffle un peu", indique le coach. Quant à Martin Satriano, l'attaquant a une douleur "à un mollet". Enfin, Adrien Thomasson n'était pas présent à l'entraînement ce jeudi. Son épouse attend un heureux événement. "On verra s'il peut nous rejoindre demain (vendredi)", a poursuivi Still.