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Les joueurs passés par le FC Nantes et le Stade Rennais

Les joueurs passés par le FC Nantes et le Stade Rennais

 

JOUEURPARCOURSPAYS
Mathis Abline Rennes (2021-23), Nantes (2023-...) France
Ludovic Blas Nantes (2019-23), Rennes (2023-...) France
Ermir Lenjani Rennes (2015-17), Nantes (2015-16) Albanie
Ismaël Bangoura Rennes (2009-10), Nantes (2012-2016) Guinée
Sylvain Armand Nantes (2000-04), Rennes (2013-17) France
Christophe Le Roux Nantes (1996-99), Rennes (1999-2002) France
Nicolas Goussé Rennes (1996-99), Nantes (2007-09) France
Olivier Monterrubio Nantes (1995-2001), Rennes (2001-07) France
Tony Heurtebis Rennes (1995-99), Nantes (2005-10) France
Pierre-Yves André Rennes (1993-97), Nantes (2001-03) France
Jocelyn Gourvennec Rennes (1991-95, 2000-02), Nantes (1995-98) France
Stéphane Ziani Nantes (1991-94, 2000-04), Rennes (1995-96) France
Eddy Capron Nantes (1990-97), Rennes (1997-99) France
Serge Le Dizet Rennes (1982-92), Nantes (1992-98) France
Guy Lacombe Nantes (1976-79), Rennes (1985-86) France
Oscar Muller Nantes (1974-84), Rennes (1984-86) France
Patrice Rio Nantes (1970-84), Rennes (1984-87) France
Claude Arribas Nantes (1969-71, 1972-74), Rennes (1976-78) France

Le club réagit à l’interdiction de déplacement de ses supporters à Nantes

Le SRFC a publié un communiqué pour regretter l’arrêté préfectoral interdisant la présence de supporters rennais à la Beaujoire dimanche.

Le club réagit à l’interdiction de déplacement de ses supporters à Nantes

Nous l’avons relayé ce matin sur notre site : comme trop souvent en Ligue 1 ces dernières années, les supporters adverses seront interdits lors d’une grosse affiche. En l’occurrence, ce sont les Rennais qui devront suivre à la maison le derby à la Beaujoire. Une Beaujoire qui n’accueillera pas non plus les ultras nantais puisque ceux-ci ont vu leur tribune fermée après une tentative d’envahissement du terrain lors de la défaite contre Le Havre (0-2) il y a deux jours. Affiche traditionnelle du championnat de France, Nantes-Rennes se jouera donc sans aucun ultra, de quelque bord que ce soit…

Le SRFC avait pourtant prévu un dispositif
Ce mercredi soir, le Stade Rennais a publié un communiqué pour regretter cette énième décision liberticide des autorités : » Les supporters du SRFC seront interdits de déplacement pour le derby. Le club avait pourtant préalablement présenté un dispositif de déplacement collectif et encadré pour 750 Rouge et Noir. Nous déplorons cette décision qui sanctionne injustement l’ensemble de nos supporters ». Il restait encore la possibilité d’un appel de l’association nationale des supporters. La semaine dernière, l’ANS avait réussi à faire retoquer une interdiction de déplacement des Nantais à Paris. Cela s’était produit seulement quelques heures avant le coup d’envoi du match mais, au moins, 200 ultras du FCN avaient pu assister au match nul de leur équipe au Parc des Princes. Les Rennais auront-ils autant de réussite avant le choc de dimanche ?

Histoire que les hommes de Jorge Sampaoli sentent bien la chaleur de leurs supporters, le SRFC a annoncé que le dernier entraînement avant le derby serait ouvert au public. Les ultras devraient se donner rendez-vous à la Piverdière pour craquer quelques fumigènes et entonner des chansons pas très glorieuses envers les Canaris.

Les Rennais interdits de déplacement, le club déplore cette décision

En raison de "l'antagonisme endémique" entre les deux clubs, la préfecture de Loire-Atlantique a pris un arrêté interdisant aux supporters rennais de se rendre au match de la 14e journée de Ligue 1 à la Beaujoire. Le derby aura lieu dimanche 8 décembre à 17 heures

Les Rennais interdits de déplacement

Du samedi soir 18H00 au lundi 8h00, la Préfecture "interdit à toute personne se prévalant de la qualité de supporters de l'équipe du Stade Rennais ou se comportant comme tel, d'accéder au Stade de la Beaujoire à Nantes et de circuler sur la voie publique des 24 communes composant Nantes Métropole", précise l'arrêté.

Outre une série d'incidents plus ou moins graves ces dernières années en marge des rencontres entre les deux clubs, que ce soit à Nantes ou à Rennes, la Préfecture souligne aussi que "les contextes sportif et extra-sportif nantais sont également à prendre en compte".

"Une nouvelle contre-performance de l'équipe nantaise pourrait générer des provocations et des débordements des supporters ultra nantais (...) comme lors du match au Stade de la Beaujoire du 24 novembre dernier contre Le Havre AC", justifie-t-elle.

Une décision que regrette le club rennais : "Le Stade Rennais F.C. avait pourtant préalablement présenté un dispositif de déplacement collectif et encadré pour 750 supporters, afin de voyager dans les meilleures conditions de sécurité et limiter les déplacements individuels. Nous déplorons cette décision qui sanctionne injustement l’ensemble de nos supporters." Un entraînement sera spécialement ouvert au public avant ce déplacement crucial en terres nantaises.

Des incidents lors de Nantes - Le Havre
Dans les dernières minutes du match perdu contre Le Havre (2-0), plusieurs dizaines d'individus cagoulés et se réclamant de la Brigade Loire, le principal groupe de supporters nantais, étaient descendus des tribunes pour se placer au bord du terrain, pour faire part de leur mécontentement au sujet des piètres résultats du club.

La commission de discipline de la Ligue de football professionnel (LFP) avait mis le "dossier en instruction" le 28 novembre, tout en prononçant "à titre conservatoire" la fermeture partielle de la tribune Loire pour le match contre Rennes.

Malgré un match nul (1-1) au Parc des Princes contre le Paris SG, samedi dernier, Nantes a glissé dans la zone rouge et pointe à la 17e place, synonyme de relégation en fin de saison, avec 11 points, alors que Rennes est 12e avec 14 points.

Les supporters Rennais interdits dans les rues de Nantes dimanche pour le derby

L’antagonisme entre ultras nantais et rennais pousse les autorités à sévir. En prévision du derby FC Nantes - Stade Rennais ce dimanche 8 décembre à 17 h, un arrêté préfectoral interdit toute présence de supporters rennais à Nantes et ses alentours.
Les supporters Rennais interdits dans les rues de Nantes dimanche pour le derby

Signé par le préfet de Loire-Atlantique, Fabrice Rigoulet-Roze, cet arrêté couvre les 24 communes de Nantes Métropole, du samedi 7 décembre à 18 h au lundi 9 décembre à 8 h. Sont concernées les personnes « se prévalant de la qualité de supporter du Stade Rennais ou se comportant comme tel. » L'accès au stade de La Beaujoire leur est également proscrit.

Des antécédents préoccupants
Les derbys précédents ont été marqués par des tentatives de bagarres entre ultras. Le préfet évoque notamment un incident le 20 avril dernier, où des ultras rennais s’étaient regroupés à Treillières, à la limite du périmètre interdit, pour un potentiel affrontement avec leurs homologues nantais. Des interventions policières avaient permis d’éviter une confrontation.

Un climat tendu
Avec ces antécédents, la sécurité publique prime. L’arrêté vise à prévenir tout débordement dans un derby qui s’annonce, une fois encore, électrique. Les autorités espèrent que cette mesure dissuasive suffira à calmer les esprits.

Le déplacement des supporters rennais à Nantes interdit

La préfecture de Loire-Atlantique a pris, ce mercredi, un arrêté interdisant aux supporters rennais de se rendre au match de la 14e journée de Ligue 1, dimanche, à la Beaujoire, en raison de "l‘antagonisme endémique" entre les deux clubs.

Le déplacement des supporters rennais à Nantes interdit

Du samedi soir 18 h au lundi 8 h, la préfecture "interdit à toute personne se prévalant de la qualité de supporters de l‘ équipe du Stade Rennais ou se comportant comme tel, d’accéder au Stade de la Beaujoire à Nantes et de circuler sur la voie publique des 24 communes composant Nantes Métropole", précise l’arrêté.

Outre une série d‘ incidents plus ou moins graves ces dernières années en marge des rencontres entre les deux clubs, que ce soit à Nantes ou à Rennes, la Préfecture souligne aussi que "les contextes sportif et extra-sportif nantais sont également à prendre en compte".

"Une nouvelle contre-performance de l‘ équipe nantaise pourrait générer des provocations et des débordements des supporters ultra-nantais (…) comme lors du match au Stade de la Beaujoire du 24 novembre dernier contre Le Havre AC", justifie-t-elle.

Dans les dernières minutes du match perdu contre Le Havre (2-0), plusieurs dizaines d‘individus cagoulés et se réclamant de la Brigade Loire, le principal groupe de supporters nantais, étaient descendus des tribunes pour se placer au bord du terrain, pour faire part de leur mécontentement au sujet des piètres résultats du club.

La commission de discipline de la Ligue de football professionnel (LFP) avait mis le "dossier en instruction" le 28 novembre, tout en prononçant "à titre conservatoire" la fermeture partielle de la tribune Loire pour le match contre Rennes.

Malgré un match nul (1-1) au Parc des Princes contre le Paris SG, samedi dernier, Nantes a glissé dans la zone rouge et pointe à la 17e place, synonyme de relégation en fin de saison, avec 11 points, alors que Rennes est 12e avec 14 points.

Le stade de la Beaujoire va sonner très creux

En plus de la fermeture partielle de la tribune Loire, le parcage sera également fermé ce dimanche, pour le derby entre Nantes et Rennes.

Le stade de la Beaujoire va sonner très creux

Ce dimanche à 17 heures, la 14ème journée de Ligue 1 va proposer le derby entre le FC Nantes et le Stade Rennais, au stade de la Beaujoire. Deux équipes assez proches au classement (3 points d’écart), même si les Rennais n’auront pas l’occasion de pousser leurs joueurs depuis le parcage. En effet, la préfecture de Loire-Atlantique a pris un arrêté pour interdire la venue des fans rennais.

Un recours encore possible
La rivalité entre les deux clubs et les incidents des rencontres précédentes expliquent cette décision, mais également la grosse tension autour du FCN, qui a vu certains ultras de la Brigade Loire tenter d’envahir le terrain face au Havre (0-2). De ce fait, les supporters du SRFC seront aussi interdits de se montrer dans l’intégralité des 24 communes de la métropole nantaise, à partir de samedi 18 heures, jusque lundi 8 heures.

Cependant, un recours de l’Association nationale des supporters peut encore avoir lieu devant le Conseil d’État, comme c’était le cas avec les supporters nantais, interdits, puis acceptés au Parc des Princes samedi dernier. À noter qu’il y aura également une fermeture partielle de la tribune Loire du stade de La Beaujoire.

Consignes claires, intransigeance, plaisir et Jordan James... pourquoi la première de Sampaoli au Roazhon Park a été une réussite

Battu de peu à Lille (1-0) pour sa première sur le banc breton, Jorge Sampaoli a réussi ses débuts au Roazhon Park avec le Stade Rennais en disposant largement de Saint-Etienne samedi (5-0). Même si il est trop tôt pour parler de greffe réussie, les Rennais sortent de ce match avec beaucoup d'indices positifs alors que le calendrier semble sur le papier dégagé jusqu'à Noël.
Pourquoi la première de Sampaoli au Roazhon Park a été une réussite

Lorsqu'on a délaissé le terrain pour regarder les tribunes, ce sont des scènes oubliées auxquelles on a assisté samedi dernier au Roazhon Park. Arnaud Pouille, le Président et Frederic Massara, le directeur sportif, sourire aux lèvres en loge présidentielle. Des supporters debout pour applaudir. Oui, Rennes a retrouvé des couleurs dans une ambiance que l'on n'avait pas vu depuis la 1ère journée et un 3-0 face à Lyon qui laissait alors espérer une belle saison. Le dernier succès rennais à la maison datait d'il y a un mois, mais ce pénible 1-0 face au Havre du 25 octobre dernier ne ressemblait en rien à une victoire. Pour la première fois, il n'y avait même pas eu l'habituel clapping mais plutôt une bordée de sifflets. Samedi, la traditionnelle communion de fin de match était de retour avec le blessé Alidu Seidu et ses béquilles en chef d'orchestre face au kop.

Comment qualifier cette victoire du Stade Rennais? Réjouissante, c'est certain pour les 27.000 supporteurs présents mais aussi rassurante pour l'ensemble du club et ses dirigeants. Jorge Sampaoli a apprécié ce qu'a montré son équipe: "Je suis évidemment satisfait. L'équipe avait été en progrès défensif contre Lille. Aujourd'hui, elle a été en progrès offensif. On peut travailler dans la sérénité et ce match peut être un point de départ". Bien sûr, personne n'oublie que le large score vient aussi du carton rouge contre Cafaro de la 39e entraînant l'ouverture du score sur pénalty et la supériorité numérique. Mais les Rennais maîtrisaient déjà jusque-là les débats face à des Verts venus sans grandes ambitions apparentes ce qu'a souligné l'Argentin. "Saint-Etienne était devant nous au classement. Je ne les considère pas faible et je donne beaucoup de valeurs au style que l'on a mis en place. On a joué avec beaucoup de plaisir et ce plaisir va nous amener beaucoup".

On sait exactement ce qu'on doit faire
La prestation rennaise du soir donne en tout cas de bons signaux sur l'adaptation des joueurs rennais à leur nouveau coach arrivé en Bretagne il y a maintenant trois semaines. Sampaoli avait fait passer quelques messages forts en conférence de presse d'avant-match. Morceaux choisis: "La situation de chaque joueur est réévaluée si je suis là. Je fais mes choix. Je vois des joueurs pour le moment pas à la hauteur de mon analyse de leurs capacités. Vu l'état de l'équipe, je vais privilégier des joueurs qui sont agressifs et ont beaucoup d'énergie. Si on joue de manière désordonnée contre Saint-Etienne, on va perdre ! On peut s'en sortir en jouant de manière anarchique mais il faut des joueurs qui gagnent le match tout seul et à Rennes je n'en vois pas".

L'Argentin veut refaire de Rennes une équipe. L'analyse de ses choix dans le onze amène déjà quelques enseignements. Avec des gagnants (Mandanda, Assignon, Hateboer, Ostigard, Nagida, Matusiwa, Gouiri, Kalimuendo ont enchainé les deux rencontres) et des perdants (Wooh, Santamaria ou Jota par exemple n'ont pas joué pour les deux premiers ou sont seulement entrés en jeu comme le Portugais). Les joueurs rennais interrogés semblent en tout cas adhérer au discours. Ils n'ont de toute façon pas le choix. "Sampaoli demande beaucoup d'énergie tous les jours de la concentration. Ne jamais faire les choses moins bien et être toujours prêt. Il est très clair sur ce qu'il veut. Si tu le fais, tu pourras jouer. Sinon, tu auras des problèmes", lance Leo Ostigard. Une intransigeance nouvelle et une clarté dans le discours tactique bienvenue à en croire le défenseur. "On sait exactement ce qu'on doit faire. Avant, on était trop exposé. On ne savait pas ce qu'on allait faire exactement offensivement et défensivement". Une pierre dans le jardin de Julien Stéphan accréditant le fait que l'ex-entraîneur, malgré sa bonne volonté, avait perdu ses troupes.

Même à 5-0 on voyait qu'on voulait plus
Samedi en après-match, Amine Gouiri relevait aussi: "On travaille à l'entraînement les circuits de passe, l'intensité technique avec le ballon. Il veut qu'on joue tout simplement, qu'on répète les passes, qu'on domine l'adversaire pour avoir le contrôle du match. C'est ce qu'on a fait". Avec à l'origine du pénalty sur le premier but, un corner joué à deux entre Blas et Gouiri sur une combinaison "un travail avec le nouveau staff qu'on repète depuis dix jours".

Sur le banc à Lille ce qui avait surpris, Ludovic Blas "pas content" avouait lui avoir "beaucoup travaillé la semaine pour être titulaire. Le coach vient d'arriver. Je dois montrer que je peux être présent". Il l'a montré dans les grandes largeurs en sortant un gros match avec un but deux passes décisives et un pénalty directement provoqué ce que son entraîneur a souligné. Interrogé sur la patte Sampaoli dans le résultat du soir, Blas décryptait: "Le visage de l'équipe montre ce qu'on est maintenant. Même à 5-0, on voyait qu'on voulait plus. A chaque perte de balle, on courrait pour la récupérer. Il nous répète çà. Quand on perd la balle, être directement concerné. C'est ce qu'il nous a amené dès son arrivée". La consigne n'est pas révolutionnaire en soit mais c'est une preuve que l'état d'esprit et la mentalité des Rennais ont changé.

Un choix de Sampaoli a aussi directement pesé sur le match: la titularisation de Jordan James dans l'entrejeu. Arrivé cet été, le jeune joueur de 20 ans a été la révélation de la rencontre titulaire au côté d'Azor Matusiwa. James n'avait eu le droit qu'à trois entrées en jeu en début de saison avant de disparaître de la circulation n'étant parfois même pas sélectionné dans le groupe. Le Gallois, formé à Birmingham en Championship, international et titulaire avec sa sélection, a enfin pu montrer toutes ses qualités (98 ballons touchés, 93% de passes réussies, sept passes en profondeur, deux passes clés amenant une occasion). Pressing, contre-pressing, justesse technique, jeu vers l'avant, "il a fait un très grand match conforme au joueur que je voyais avec le Pays de Galles. Il a été l'un des meilleurs" l'a félicité Jorge Sampaoli en après-match. Une nouvelle tâche pour le bilan de son prédécesseur Julien Stéphan qui n'a jamais vraiment expliqué pourquoi James n'entrait pas dans ses plans, au contraire de profils plus restrictifs aux cotés de Matusiwa comme Kamara ou Santamaria. James évidemment "très frustré des premiers mois" où il n'a pas eu sa chance, a marqué les esprits.

Nantes, Angers puis le mercato pour s'affirmer
Désormais 12e au classement, le plus important reste maintenant pour Rennes de confirmer. Les Bretons regardent encore derrière. Ils n'ont que deux points d'avance sur le barragiste Le Havre et trois points sur le FC Nantes leur prochain adversaire dans un derby toujours particulier à la Beaujoire dimanche prochain. Suivra derrière la réception d'Angers, 14e. Le calendrier doit permettre aux Rennais et à Jorge Sampaoli de s'affirmer et de prendre leurs aises sur le bas à Noël. Après les 32es de Coupe de France arrivera alors la trêve puis le mercato d'hiver qui s'annonce actif dans les deux sens. Sampaoli aime travailler avec un groupe de 22-23 joueurs.

L'effectif en l'état est trop large. Des choix clairs seront alors faits par l'entraîneur, certains éléments ne répondant pas aux attentes devront trouver une porte de sortie s'ils veulent jouer. D'autant que l'Argentin compte bien demander des renforts. Le sujet a été discuté dans la négociation de sa venue et il a le feu vert de la direction. Il est trop tôt pour savoir combien de joueurs seront visés mais un défenseur suite à la longue blessure de Seidu, un milieu de terrain et un attaquant seraient attendus. Les pistes annoncées par la presse brésilienne, comme celui de Gerson (Flamengo) que Sampaoli a eu à l'OM, Fabricio Bruno (Flamengo) ou Joao Mario (Besiktas), n'ont pas encore été engagées ni par l'entraîneur ni par la direction. Les dirigeants rennais prioriseraient en premier lieu un recrutement en France pour ne pas internationaliser encore plus un vestiaire déjà bien chamboulé l'été dernier.

2 supporters stéphanois ont fini au commissariat de rennes

Le déplacement de l’AS Saint-Étienne au Roazhon Park, samedi 30 novembre 2024, restera comme une soirée à oublier sur tous les plans. Sur le terrain, les Stéphanois ont été balayés par un Stade Rennais en grande forme et se sont lourdement inclinés 5-0. Hors des terrains, des débordements impliquant certains supporters ont également été observés.

2 supporters stéphanois ont fini au commissariat de rennes

La rencontre face à Rennes marquait les débuts de Jorge Sampaoli sur le banc rennais à domicile, en Ligue 1. Face à des Bretons dans une mauvaise passe, rien n’a souri aux Stéphanois. Réduits à dix dès la 37? minute après une main de Mathieu Cafaro dans la surface, sanctionnée d’un carton rouge, les Verts ont été complètement dépassés.

L’ASSE n’avait plus encaissé cinq buts à Rennes depuis 1950, un chiffre qui illustre l’ampleur de la déroute. Le Stade Rennais, qui n'avais pas besoin de jouer à 11 contre 10 pour dépasser les Verts, n’a laissé aucune chance à ses adversaires, préparant idéalement son derby contre Nantes. De leur côté, les Stéphanois devront vite réagir avant la réception de l’Olympique de Marseille, dans un climat où chaque point devient crucial pour éviter une crise plus profonde.

Huit interpellations de supporters en marge de rennes-asse
Si la situation sportive est préoccupante, les événements en tribune n’ont fait qu’ajouter à la déception du week-end. Des incidents ont été relevés en marge de la rencontre, impliquant des supporters stéphanois. Selon les forces de l’ordre, des ultras des Verts ont tenté de contourner les contrôles de sécurité pour introduire des engins pyrotechniques dans le stade comme le rapporte Ouest France.

Ces tentatives ont provoqué un mouvement de foule et une intervention policière. Six supporters ont été interceptés avec du matériel pyrotechnique et ont écopé de verbalisations. Par ailleurs, deux autres ultras ont été interpellés pour outrage et rébellion, avant d’être placés en garde à vue au commissariat de la Tour d’Auvergne.

Il faut dire, sans excuser ces débordements, que l'entrée dans le stade des supporters stéphanois n'aura pas été des plus limpides. Arrivés 1h avant la rencontre devant le stade, ils sont entrés dans le parcage après 15 à 30 minutes de jeu. La faute à des contrôles de billets qui ont trainé en longueur et à l'intervention des forces de l'ordre pour calmer l'un ou l'autre supporter.

Kombouaré a son plan pour le derby

Après le très bon match nul ramené par le FC Nantes de son déplacement au PSG, 1-1, l’entraîneur Antoine Kombouaré s’est tourné vers le derby contre Rennes.

Kombouaré a son plan pour le derby

« Ce n’est qu’un point, mais il représente énormément pour nous » : même si le FC Nantes n’a toujours pas gagné depuis dix matches, Antoine Kombouaré ne faisait pas la fine bouche samedi soir après le match nul de son équipe sur le terrain du PSG (1-1). Le 5-3-2 mis en place par le coach des Canaris a bien fonctionné mais il ne sera pas forcément reconduit contre Rennes le week-end prochain.

Contre Rennes, on ne pourra pas jouer comme ça
« Contre Rennes, on ne pourra pas jouer comme ça, a expliqué le Kanak. Il faudra porter le danger. Mais je signe de suite pour les écraser 1-0. « C’est un point essentiel pour la confiance, même s’il ne nous permet pas d’avancer. Il devra être bonifié contre Rennes », a quant à lui soutenu Pedro Chirivella.

Pour y parvenir, il faudra donc être au rendez-vous dimanche prochain, 17 heures, au stade de la Beaujoire.

Marc Bollengier s'est exprimé sur l'expulsion de Cafaro

Ce samedi, Rennes s'est imposé (5-0) à domicile face à l'ASSE dans un match où les Verts ont reçu un carton rouge en début de rencontre. L'arbitre s'est exprimé sur sa décision.

Marc Bollengier s'est exprimé sur l'expulsion de Cafaro

Un carton rouge qui a coûté très cher. Ce samedi, Rennes s'est imposé (5-0) à domicile lors de la 13e journée de Ligue 1 face à l'ASSE, qui n'a jamais trouvé la solution pour stopper l'hémorragie. D'autant qu'un fait de jeu à la 37e minute n'a pas arrangé la situation. Alors que le score était nul et vierge, l'arbitre de la rencontre, Marc Bollengier, siffle un penalty en faveur de Rennes et exclut le Stéphanois Mathieu Cafaro. Une décision qui a lourdement pénalisé Saint-Étienne, qui a dû subir toute la rencontre face à une équipe rennaise déterminée à s'offrir sa première victoire sous l'ère Sampaoli.

L'arbitre de la rencontre a appliqué les lois du jeu
Interrogé à la fin du match par le diffuseur BeIN Sports, Marc Bollengier a expliqué sa décision de sanctionner coup sur coup les Stéphanois avec un penalty suivi d'un carton rouge : "Tout simplement, au regard de la situation qui s'est présentée, vous avez une augmentation artificielle de la surface corporelle, ce qui entraîne cette décision du penalty. Je vois immédiatement le caractère sanctionnable de la main. Sur le terrain, j'ai un doute sur le contact entre le ballon et le bras. Je laisse mon collègue de l'assistance vidéo travailler. Il est factuel avec moi en m'indiquant qu'il y a bien un contact entre le bras et le ballon. Je suis invité à venir voir l'image. Une fois devant l'écran, je vois le contact entre le bras et le ballon. À partir de ce moment-là, la décision technique est un penalty et, après cela, je demande à mon collègue de l'assistance vidéo de me donner plusieurs angles pour analyser le côté disciplinaire, c'est-à-dire une exclusion potentielle. Vous avez un geste délibéré qui entraîne ce contact du bras sur le ballon et une frappe qui part en direction du but, raison pour laquelle la sanction disciplinaire, dans la continuité du penalty, est donc l'exclusion", a-t-il confié.

Rennes s'amuse contre Saint-Etienne

Bien aidés par l'exclusion précoce de Mathieu Cafaro, les Rennais ont offert un après-midi de fête au public du Roazhon Park ce samedi après-midi face à l'ASSE (5-0), lors de la 13e journée de championnat. Le trio d'attaque Blas-Gouiri-Kalimuendo s'est refait une santé ; le dernier cité a même inscrit un triplé, dont 2 pénalties. Les Bretons remontent provisoirement à la 11e place.
Rennes s'amuse contre Saint-Etienne

Rennes s'est amusé. Ce samedi après-midi, les Rennais ont aisément battu Saint-Étienne (5-0), lors de la treizième journée de Ligue 1. Au Roazhon Park, Arnaud Kalimuendo s'est illustré en réussissant son premier triplé chez les professionnels (39e sp, 61e, 67e sp). A ses côtés, ses partenaires en attaque, Ludovic Blas (45e+6) et Amine Gouiri (53e), ont également marqué. Au classement du championnat de France, les Bretons gagnent quatre places et se retrouvent onzièmes. De son côté, l'ASSE en perd une et occupe désormais la quatorzième position.

Rennes attendait cela depuis le 25 octobre dernier. Ce jour-là, les Bretons avaient remporté leur ultime match de Ligue 1. Surtout, la formation désormais entraînée par l'Argentin Jorge Sampaoli avait inscrit son tout dernier but. Cette disette a donc enfin pris fin, après trois défaites et sept buts encaissés. Comme un symbole, ce sont Arnaud Kalimuendo et Ludovic Blas, co-meilleurs buteurs du club, cette saison, dans l'élite, avec trois réalisations chacun, qui ont sonné la révolte. Le premier à s'être illustré a été Kalimuendo. L'attaquant n'a pas tremblé au moment de tromper Gautier Larsonneur, pris à contre-pied, sur penalty (39e, 1-0). Après l'heure de jeu, l'avant-centre a réussi un second penalty (67e, 5-0), après son doublé, marqué cette fois dans le jeu (61e, 4-0), bien servi par Blas.

L'exclusion de cafaro, le tournant du match
Son compère en attaque a réussi un doublé de passes décisives, après avoir également trouvé Amine Gouiri (53e, 3-0), qui n'avait plus marqué dans l'élite depuis le 18 août. Juste avant la pause, Ludovic Blas avait aussi profité d'un contre favorable pour faire parler sa puissance et permettre aux siens de respirer enfin un peu mieux (45e+6, 2-0). Une autre de ses tentatives a été parfaitement bien repoussée par le portier adverse (32e). Larsonneur s'est ensuite également montré vigilant face à Jordan James (47e), puis Adrien Truffert (77e) et Kalimuendo, en quête du quadruplé (79e). De son côté, Albert Gronbaek a trouvé la barre transversale (77e).

Rennes était parfaitement bien entré dans cette rencontre, en monopolisant le ballon (72% de possession). En face, Saint-Étienne le rendait trop vite et s'est ensuite encore plus compliqué la tâche lorsque l'arbitre, après avoir lui-même vérifié les images, a directement expulsé Mathieu Cafaro, coupable d'une faute de main ayant amené le penalty de l'ouverture du score (37e). Une bien mauvaise nouvelle à plus d'un titre pour les Verts, car il s'agissait du Stéphanois le plus en vue dans ce début de rencontre. Cafaro s'était procuré la première occasion, mais sa puissante frappe avait heurté le poteau gauche de Steve Mandanda (17e).

Cette rencontre avait été interrompue pendant six minutes, entre les 3e et 9e, en raison de fumigènes. Les ultras rennais étaient, quant à eux, également en grève d'encouragements. Par la suite, les supporters ont eu de quoi se faire à nouveau entendre, cette fois par la voix. Saint-Étienne confirme ses énormes difficultés à l'extérieur et n'a pris qu'un point sur 21 possibles, avec une moyenne de plus de trois buts encaissés par match. De son côté, en panne offensive mais également en manque de confiance, Rennes aurait tout intérêt à s'appuyer sur cette belle performance collective pour essayer de débuter une série positive. Quoi qu'il arrive, l'ère Sampaoli est lancée et il faudra confirmer à Nantes, autre équipe en manque de points, le dimanche 8 décembre à 17h00.

Cafaro expulsé, l'arbitre avait parfaitement raison

Alors que l'ASSE tenait le choc à Rennes, les Verts ont craqué sur un penalty consécutif à une main de Cafaro dans la surface, lequel a en plus été expulsé. Certains se sont offusqués. A tort.

Cafaro expulsé, l'arbitre avait parfaitement raison

Une fois qu'il a visionné les images de la VAR, Monsieur Bollengier a rapidement indiqué le point de penalty, mais également brandi un carton rouge sous le nez de Mathieu Cafaro, le milieu de terrain de l'AS Saint-Etienne. Auteur d'une main, ce dernier a détourné le ballon qui semblait filer vers les filets de Larsonneur (37e). Résultat, non seulement les Verts se sont retrouvés menés au score, mais en plus, ils ont joué à dix, ce qui a abouti au résultat que l'on connait. Sur X, certains se sont offusqués de ce qu'ils ont assimilé à une double peine. Pierre Ménès a notamment confié son étonnement, avant de retirer son message, tandis que sur Beinsports l'heure était aussi à l'incompréhension. Cependant, le ton a rapidement changé, car très vite il a été précisé que l'arbitre était dans son bon droit en expulsant Cafaro et en accordant penalty pour Rennes. En effet, les règles prévoient précisément ce cas de figure dans sa loi 12.

« Si un joueur empêche l'équipe adverse de marquer ou annihile une occasion de but manifeste en commettant une main délibérée, le joueur doit être exclu quel que soit l'endroit de la faute (excepté le gardien de but dans sa propre surface de réparation) », précisent les règles. Autrement dit, Monsieur Bollengier n'avait d'autre choix que d'expulser le joueur stéphanois, furieux de cette décision et qui a été calmé par Larsonneur, gardien de but et capitaine de l'AS Saint-Etienne. Un rouge et un penalty qui ont un prix terrible pour les Verts, qui ont encore sombré loin de Geoffroy-Guichard.

Sampaoli sonne les cloches d’une attaque en hibernation

Muette depuis trois matches, l’attaque du Stade Rennais n’est pas aidée par le reste de l’équipe, mais elle est attendue au virage contre Saint-Etienne, samedi 30 novembre (17 h) au Roazhon Park. Quelle sera la formule choisie par le coach Jorge Sampaoli, qui ne s’est pas privé cette semaine de bousculer un peu les ego de ses joueurs offensifs ?

Sampaoli sonne les cloches d’une attaque en hibernation

306 minutes sans marquer ni se créer beaucoup d’occasions. Gouiri muet depuis la 1re journée contre Lyon, Kalimuendo incapable de marquer dans le jeu depuis la 4e journée contre Montpellier, et les autres guères plus brillants...

C’est déjà trop pour ce Stade Rennais qui ne peut pas se fier à grand-monde pour sortir de l’ornière. Apparemment, c’est ce que pense aussi Jorge Sampaoli, qui avait gardé son bonnet sur la tête mais enlevé ses gants vendredi en conférence de presse, à l’heure de décrire ce qu’il pense du rendement de ses joueurs.

Niveau de diagnostic global après quasiment trois semaines de travail ? "Certains ne sont pas à la hauteur de mon analyse faite avant d’arriver ici. Cela peut être lié au contexte, à la situation psychologique, ce qui fait que tout est plus complexe à présent…"

Prendre plus de risques sur le plan offensif ? "La priorité, c’est d’ordonner cette équipe, de la stabiliser. C’est uni et bien organisé qu’on réussira. On peut s’en sortir de manière anarchique, mais il nous faut des joueurs qui font la différence, gagnent des matchs tout seuls. Et à Rennes, je ne vois pas ce genre de joueur…"

Sur le billard à plusieurs bandes auquel joue Jorge Sampaoli, il y a sûrement une boule pour justifier l’ode au collectif qu’il récite depuis son arrivée. Mais aussi une boule pour préparer le mercato d’hiver, et une boule pour chatouiller l’ego d’une escouade offensive dont le rendement est à mille lieues de son coût financier pour le club...

Andres Gomez, vraie option en piston droit
C’est peu de dire que le réveil de l’attaque est attendu face aux Verts, 17e défense de l’élite, 25 buts encaissés en 12 matches. Cela passera aussi par des milieux plus inspirés pour créer la connexion, des pistons plus impactants, puisqu’on a compris que ni Vinicius ni Gyokeres ne jouent à Rennes. Et par des choix de Sampaoli, avec lequel personne n’est à l’abri d’aller faire un tour sur le banc.

On a interrogé le coach argentin sur l’opportunité de succomber à l’une de ses vieilles habitudes, à savoir l’utilisation d’un faux numéro 9 façon Luis Enrique : à Marseille, il avait offert une seconde jeunesse à Payet dans ce rôle que Gouiri pourrait éventuellement tenir. "Payet s’y était habitué très vite parce qu’il avait compris l’utilisation des espaces, et si on évolue avec ce genre de joueur, il faut que les autres s’y adaptent, avec des ailiers jouant dans la profondeur", a répondu Sampaoli.

Ils ne sont pas légion dans l’esprit du coach, lequel voit Blas et Jota comme des joueurs aimant repiquer à l’intérieur du jeu. Sampaoli pourrait-il du coup reconduire le trio Gronbaek - Kalimuendo - Gouiri ? L’option Andres Gomez piston droit, elle, est dans les cartons : "c’est un joueur que je connais depuis l’Amérique du Sud. J’aime ses capacités, il peut nous amener de la rapidité, de la profondeur..."

Il est question aussi de responsabilités à assumer bien davantage, chez ceux censés hausser le niveau de l’équipe. Notamment Gouiri, encore lui. « Aujourd’hui, il n’est pas un leader d’attaque, sans doute pour de multiples facteurs que je n’ai pas encore terminé d’analyser, assène Sampaoli. Avec Marseille, j’avais énormément souffert ici. Rennes était rapide avec et sans ballon. Ça, Rennes l’a perdu. Pour qu’il y ait un leadership, il faut que je retrouve ces joueurs qui soient déséquilibrants… »

Ce que redoute Olivier Dall’Oglio à Rennes

Demain, à compter de 17 heures, l’ASSE se déplace sur la pelouse du Stade Rennais, mal en point au classement de Ligue 1. L’entraîneur des Verts, Olivier Dall’Oglio, sait que le début du match risque fort d’être animé.

Ce que redoute Olivier Dall’Oglio à Rennes

Un test, un de plus pour l’ASSE cette saison. Qui va donc tenter de prendre un ou trois points supplémentaires en terrain adverse, à Rennes en l’occurrence. Pas vraiment du luxe pour les Verts qui, rappelons-le, n’ont ramené qu’un seul point de leurs différents déplacements lors du match à Nantes. Le reste n’est guère brillant avec des déroutes, notamment, à Nice, à Brest mais également à Angers.

Ils vont nous attaquer tout de suite
Demain, c’est face à un Stade Rennais malade que les joueurs d’Olivier Dall’Oglio évolueront. Une bonne chose ? Pas forcément. Le technicien stéphanois redoute en effet les premières minutes de la rencontre. « Le collectif rennais n’est pas encore rodé, un nouveau coach vient d’arriver, mais les individualités font peur. Il faut garder notre mental de fer, ils vont nous attaquer tout de suite, le public attend ça. On connaît Sampaoli et son caractère, il va amener sa grinta. On est prévenu, il faudra être résistant, montrer quelque chose de solide et cohérent techniquement pour les gêner, conserver le ballon. »

Au sujet de Sampaoli, battu le week-end dernier sur le terrain de Lille (0-1), ce sera sa première sur le banc de touche rennais au Roazhon Park.

Une énorme surprise signée Sampaoli à Rennes ?

Si Olivier Dall’Oglio devrait rester fidèle à sa dernière composition à l’AS Saint-Étienne, Jorge Sampaoli pourrait surprendre dans le onze du Stade Rennais (17h).

Une énorme surprise signée Sampaoli à Rennes ?

Le Roazhon Park devra sortir le grand jeu cet après-midi (17h) pour redonner vie à une équipe du Stade Rennais qui en manque cruellement depuis le début de la saison. Pour ce faire, L’Équipe affirme que Jorge Sampaoli devrait poursuivre en 3-4-3 contre l’ASSE, mais avec Jordan James en découverte au milieu et un ailier (Andrés Gomez) en piston droit dans le onze de départ pour faire bouger les lignes. Déjà aligné dans le Nord, le trio offensif Gronbaek- Kalimuendo-Gouiri serait à nouveau parti pour débuter, au détriment de Jota et Blas.

Abdelhamid demande confirmation
Du côté des Verts, Olivier Dall’Oglio devrait rester fidèle à sa dernière composition victorieuse contre le Montpellier HSC à Geoffroy-Guichard (1-0). Le quotidien sportif précise que Mathieu Cafaro debuterait à droite et Zuriko Davitashvili à gauche. En défense centrale, Yunis Abdelhamid doit confirmer son redressement.

S.G.S.B.

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