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Le Stade Rennais regrette amèrement le départ de Doku

En difficulté en Ligue 1 cette saison, le Stade Rennais manque d’efficacité offensive. Pour Julien Stéphan, le départ de Jérémy Doku n’a pas été vraiment mesuré.
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Peut-être que tout le monde n’a pas suffisamment mesuré son influence dans le sprint final. Il avait pris un peu la succession de Martin (Terrier) dans l’aspect décisif, par le dribble ou la percussion.

Je suis absolument convaincu que pour une équipe qui a pour vocation d’être dominante, qui va se retrouver régulièrement en attaque placée, avec des objectifs élevés, c’est un profil indispensable pour performer, a commenté le Julien Stephan dans L’Equipe.

Manchester City pulvérise Bournemouth avec l'aide de Jérémy Doku

La promenade de Manchester City. Les hommes de Pep Guardiola ont infligé une correction à Bournemouth (6-1), samedi soir, lors de la 11e journée de Premier League et pris provisoirement les commandes du championnat à Tottenham. Deux hommes ont brillé à l'Etihad Stadium : Bernardo Silva et Jérémy Doku. Le Portugais a marqué un doublé (33e, 83e).
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Manchester City taille patron. Les Citizens ont balayé Bournemouth (6-1) à l’Etihad Stadium ce samedi et ont pris provisoirement la tête de la Premier League. Portés par un Jérémy Doku buteur (30e) et auteur de quatre passes décisives, les hommes de Pep Guardiola ont étouffé les Cherries. Bernardo Silva avec un doublé (33e, 83e), Manuel Akanji (37e), Phil Foden (64e) et Nathan Aké (88e) ont participé à la fête. Luis Sinisterra (74e) a sauvé l’honneur pour les visiteurs, sur leur seul tir cadré.

Et une troisième victoire consécutive pour les Sky Blues, dont la machine était encore en mode inarrêtable. Grâce à ce succès, les champions d’Angleterre en titre (1er, 27 points) passent juste devant Tottenham (2e, 26 points) et Arsenal (3e, 24 points) avant le match des Gunners ce samedi et celui des Spurs lundi en fermeture de cette 11e journée.

Doku a assommé Bournemouth en 7 minutes
Il n’y a pas eu photo sur la pelouse de l'Etihad. Dominés collectivement, techniquement, tactiquement, les Cherries ont souffert sous les assauts adverses dès le coup d’envoi. Domination concrétisée par Jérémy Doku (30e), à la conclusion d’une superbe combinaison avec Rodri. Trois minutes plus tard, le Belge devenait passeur pour Bernardo Silva (33e). Puis, l’ancien Rennais assommait définitivement les visiteurs (37e) sur une frappe contrée par le dos de Manuel Akanji. Un but et les deux premières de ses quatre passes décisives pour l’homme du match.

Electrisant, dribbleur intenable… Les adjectifs ne manquent pas pour qualifier la performance de la recrue estivale de l’été pour City. Comme si ce n’était pas suffisant, Doku venait même glisser deux nouvelles offrandes pour Phil Foden (64e), puis une somptueuse ouverture vers Bernardo Silva (83e) dans une seconde période pourtant moins maîtrisée par City mais diablement efficace (6 buts sur 8 tirs cadrés).

L’inquiétude Haaland ?
Les Cherries ont eu quinze minutes, à la sortie des vestiaires, où ils ont un peu arrêté de subir. Et ils ont finalement été récompensé sur leur premier tir cadré et un centre conclu par Luis Sinisterra (74e), pendant que les Citizens géraient très tranquillement le second acte.

Gestionnaires mais capables d'accélérer, les hommes de Pep Guardiola sont revenus des vestiaires en pensant à mardi et la Ligue des champions… Mais sans Erling Haaland. L’attaquant norvégien, qui avait eu quelques occasions en première période, l’a terminé en boitant. Et il n’est pas revenu sur la pelouse, sans doute pour ne pas prendre de risque. Les Sky Blues ont rendez-vous mardi face aux Young Boys de Berne, pour poursuivre sur leur série d’invincibilité en Europe.

Pourquoi Pep Guardiola est fou de Jérémy Doku

Pep Guardiola s'est trouvé un nouveau petit chouchou. L'entraîneur de Manchester City s'attache à ne pas essouffler Jérémy Doku, dont il connaît les limites physiques, tant il apprécie ses qualités hors normes. Fait rare : le technicien espagnol s'est résolu à faire du Belge un générateur de chaos, plutôt qu'une pièce parfaite de plus dans son très complexe puzzle.

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En Ligue 1, ils étaient bien peu à s'étonner que Manchester City pioche à Rennes un joueur ayant manqué plus de 40 matches en trois saisons. Ils n'étaient pas beaucoup plus nombreux à se stupéfier du fait que le club breton récupère près de 2,5 fois sa mise, avec un transfert à 60 millions d'euros. Jérémy Doku s'en est allé pour un montant record parce que Pep Guardiola le voulait, justement, à tout prix. Et quand Guardiola veut - vraiment - un joueur, c'est qu'il a une bonne raison.

L'été dernier, le club mancunien s'est retrouvé confronté à un drôle de problème de riche ou plutôt, d'invincible : comment améliorer une équipe déjà proche de la perfection ? Pour y répondre, l'entraîneur espagnol a accepté de revoir quelque peu certains de ses principes et de s'offrir un ailier dribbleur. Un vrai. Alors qu'il n'avait jamais vraiment retenu tous ceux qu'il avait eus jusqu'ici (Leroy Sané, Riyad Mahrez...).

Doku, lui, n'est pas tout à fait comme les autres joueurs évoluant à son poste. Sa morphologie, son centre de gravité, sa qualité d'appuis et sa vitesse de jambes en font un élément pas loin d'être unique en Europe. À peu près tout le Vieux Continent connaît sa faculté à éliminer et, surtout, son dribble favori : un crochet extérieur du pied droit et une grosse accélération dans le pas qui suit. Mais personne n'a, pour l'heure, trouvé sa kryptonite.

Dans le dernier tiers, il est très spécial

"Je dirais que les ailiers que nous avions auparavant avaient beaucoup de qualités techniques mais pas la même vivacité que Leroy Sané ou Raheem Sterling par exemple, a confié le technicien espagnol il y a trois semaines. Jack est un peu plus mesuré. Il n'a pas la même vitesse en un contre un. [...] L'explosivité qu'a Jérémy sur les cinq ou six premiers mètres est similaire à celle de Leroy et Raheem. Dans le dernier tiers, il est très spécial. Et nous essayons de l'utiliser pour ça."

Avec l'international belge, Guardiola a adopté une approche totalement différente de celle qu'il avait choisie pour Jack Grealish. En deux ans, le manager des Cityzens a fait de l'ancien d'Aston Villa un joueur de système, bien plus complet tactiquement et clairvoyant la lecture du jeu, quitte à gommer certaines de ses aspérités balle au pied. Avec un objectif : avoir toujours plus de contrôle dans la moitié de terrain adverse.

Aux yeux de l'ancien coach du Barça, Doku ne doit pas être un joueur de contrôle mais de chaos. En provoquant le plus possible. Et tant mieux si cela rend l'équipe cityzen un peu moins "guardiolesque". "Il m'a dit que lors de mon premier match, j'avais été un peu trop timide", a récemment révélé l'ancien Rennais au micro de la Premier League.

Avec lui, ça penche à gauche
Parmi les joueurs ayant disputé plus de 360 minutes en championnat, Doku est celui qui tente le plus de dribbles par match en Angleterre (9,56) avec un taux de réussite élevé pour cet exercice (51%). Il est aussi l'élément offensif qui progresse le plus vers le but adverse et celui qui pénètre le plus dans la surface balle au pied. Bref, il est une arme de perturbations massives dans une équipe qui ne manquait pas de dangers.

Lorsqu'il est titulaire, les offensives des Skyblues penchent beaucoup à gauche (37%) que lorsqu'il ne l'est pas (33%) et sa faculté d'élimination pose beaucoup de problèmes aux entraîneurs adverses. Ces dernières semaines, Gary O'Neil (Wolverhampton) et même Roberto De Zerbi ont dû effectuer d'importants réajustements pour limiter l'impact de l'ancien Rennais. Le technicien de Brighton avait sorti James Milner dès le retour au vestiaire. Le vétéran anglais avait particulièrement souffert. Il n'était pas le premier. Et certainement pas le dernier.

Flavien Tait alerte sur le danger des réseaux sociaux et revient sur une rumeur insensée

En février dernier, l'ex joueur du Stade Rennais, Flavien Tait, a été la cible de rumeurs sur les réseaux sociaux concernant une histoire extraconjugale avec la femme de celui qui était alors son coéquipier, le Croate Lovro Majer. "Une rumeur insensée", sur laquelle il est revenu plus en détail, ce mercredi, dans Ouest-France, afin d'alerter sur le danger des réseaux sociaux pour la santé mentale des joueurs.
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"Ce sont des rumeurs insensées et qui peuvent faire très mal à une famille." Interrogé dans les colonnes de Ouest-France, ce mercredi 25 octobre, sur la santé mentale dans le football, l'ex-joueur d'Angers et du Stade Rennais, Flavien Tait, en a profité pour évoquer son cas et alerter en longueur sur les dangers des réseaux sociaux et la pression psychologique qu'y subissent les footballeurs.

En février 2023, pour expliquer son absence du groupe dans une rencontre face à Clermont, des internautes mal-intentionnées avaient publié sur les réseaux sociaux la rumeur d’une liaison extraconjugale entre le milieu de terrain français (qui évolue désormais à Samsunspor en Turquie) et la femme de son coéquipier, Lovro Majer. Huit mois après il témoigne des effets de telles accusations sur la santé mental d'un joueur.

Il faut que les gens se rendent comptent que ça peut avoir un impact incroyable
"Cette rumeur, c’était incroyable de sortir des choses comme ça. Franchement… Je me suis dit : "Ce n’est pas possible, qu’est-ce que j’ai fait pour mériter ça ?", se rappelle Tait avant de condamner, "des rumeurs insensées et qui peuvent faire très mal à une famille. Il faut que les gens se rendent compte que dire des choses comme ça, ça peut avoir un impact incroyable."

"Je savais que tout était faux". Alors que les rumeurs sont relayées en masse sur les réseaux sociaux, le Français se souvient être resté lui même malgré tout continuant à entretenir les bonnes relations qu'il avait avec son coéquipier croate, qu'il qualifie comme l'un de ses "meilleurs amis à Rennes", de l'époque.

Face à la viralité de la rumeur, le milieu de terrain avait décidé de réagir directement en story Instagram qualifiant ces accusations d'"inadmissibles, inacceptables et honteuses". Il avait alors indiqué qu'il n'hésiterait pas à "porter plainte contre X pour diffamation (passible d'une amende de 12 000 euros)".

Le joueur de 30 ans est également revenu, ce mercredi, sur les raisons de son écartement du groupe à l'époque. Une mise à l'écart à l'origine de toute cette polémique: "C’était un choix du coach, il y a eu une petite embrouille. Le coach et moi, on a le même caractère donc parfois…(rires). Ce jour-là, j’ai abusé et c’est pour cela qu’il m’a puni en ne me mettant pas dans le groupe. C’était une période plus compliquée pour nous, ça ne tournait pas pour moi, pour l’équipe. Je n’ai pas Twitter. J’étais au match en tribunes et à la fin, on m’envoie un message en me disant que cette rumeur est sortie pour expliquer mon absence et je me dis : Mais ce n’est pas possible !"

Les réseaux sociaux sont devenus un défouloir, je n'y prête plus attention parce que ça peut faire très, très mal.
Les rumeurs qui ont eu comme effet, pour l'ancien joueur rennais, de lui faire revoir radicalement son utilisation des plateformes: "Désormais, je n’y prête plus attention. Quand j’ai connu une période délicate à Rennes, je regardais par curiosité, mais je n’y prête plus attention parce que ça peut faire très, très mal." Il appelle également ses coéquipiers et l'ensemble des joueurs professionnels à repenser leur rapport à ces outils.

"Nous, les réseaux sociaux, on s’en sert pour montrer notre vie aux gens qui nous suivent. Si je n’étais pas footballeur, je n’aurais pas de réseaux sociaux. On met des photos, on montre certaines choses de notre vie pour les gens qui nous suivent et c’est agréable. Mais certains s’en servent de défouloir. Un conseil que j’ai, c’est de banaliser tout ça (l'utilisation des réseaux)"

Le joueur s'en prend aussi aux comportements disproportionnés que les fans peuvent avoir sur la toile: "Les réseaux sociaux sont devenus un défouloir. Les gens sont derrière leur écran, vous donnent des leçons et vous insultent parce que vous n’avez pas été bon. Ce n’est que du football, il y a des choses plus graves dans la vie, et on le voit avec les sujets actuels."

Pokou, un ballon en hommage à la légende ivoirienne

Le ballon officiel de la CAN 2023, programmée en janvier-février 2024, a été baptisé Pokou, en hommage à la star ivoirienne des années 1970, Laurent Pokou.

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Le voile est levé sur le ballon officiel de la prochaine CAN. Présentée par la Confédération africaine de football (CAF) et l'équipementier Puma, la sphère reprend les trois couleurs principales du drapeau de la Côte d'Ivoire (blanc, orange et vert) et porte le nom de "Pokou", comme le regretté attaquant ivoirien Laurent Pokou (1947-2016), passé longuement par le Stade Rennais au cours de sa carrière. Celui qui a également donné son nom au stade de San Pedro avait fait ses débuts internationaux contre le Ghana lors d'un match amical en 1967, avant de devenir le meilleur buteur des Coupes d'Afrique des Nations de 1968 et 1970. Ses 14 buts en phase finale ont constitué le record du tournoi jusqu'en 2008, année où le Camerounais Samuel Eto'o l'effaça des tablettes.

Pokou, l'homme d'Asmara et du Stade Rennais
"Le ballon, qui sera utilisé au cours de la 34e édition du plus grand événement sportif sur le sol africain, a été nommé en hommage à la légende ivoirienne Laurent Pokou. En 1970 face à l'Éthiopie, le joueur des Éléphants avait réalisé un quintuplé et qualifié son pays, en battant au passage le record du nombre de buts marqués par un joueur lors d'un match de phase finale de Coupe d'Afrique des Nations", indique la CAF sur son site officiel.

"C'est un moment émouvant pour ma famille. C'est un grand honneur pour mon défunt père, qui a consacré sa vie au football ivoirien, de voir que le ballon officiel de la CAN en Côte d'Ivoire porte son nom, déclaré Erwan Pokou, fils de la légende. La famille apprécie les engagements de la CAF et du COCAN dans cette célébration des héros et des héroïnes du football africain. Cela va motiver et inspirer les générations futures à suivre leur exemple." Pour rappel, la CAN 2023 se déroulera du 13 janvier au 11 février 2024 dans les villes d'Abidjan, Bouaké, Korhogo, San Pedro et Yamoussoukro.

À Rennes, on arrivait à la fin d’un cycle

Le milieu offensif Flavien Tait a quitté le Stade Rennais cet été, après avoir été libéré de sa dernière année de contrat, direction la Turquie et Samsunspor. Dans un entretien accordé à Ouest-France, Tait revient sur ses quatre riches années en Bretagne, parle de son choix de partir, et évoque sa nouvelle vie turque.

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Flavien Tait a fait ses valises en fin de mercato cet été, direction la Turquie et Samsunspor, après quatre années au Stade Rennais où il aura tout connu et découvert les trois compétitions européennes (Ligue des champions, Ligue Europa et Conference League). Le milieu de 30 ans s’est confié sur ce départ et sa nouvelle vie turque dans un entretien accordé à Ouest-France.

Vous êtes parti tardivement de Rennes cet été. Mais vous étiez au courant tôt que vous partiriez ?

Oui, mais on ne sait jamais dans le foot, donc je me suis préparé comme si j’allais faire la saison avec Rennes. Le mercato s’active souvent au dernier moment, c’est ce qu’il s’est passé pour moi. Malheureusement, on arrivait à la fin d’un cycle, de nouveaux joueurs sont arrivés et je savais que ça allait être compliqué pour moi au niveau du temps de jeu. C’est pour cela que j’ai pris la décision de partir.

En aviez-vous parlé avec le coach ?

Oui, il m’avait dit que j’aurais sûrement moins de temps de jeu par rapport au recrutement. Il pensait qu’on arrivait à la fin d’un cycle. Cela s’est fait naturellement, je l’ai compris tout de suite. Au début, j’étais déçu, mais ça fait partie du football. J’avais fait mon truc à Rennes et je sentais que ça s’étouffait un petit peu. De nouveaux joueurs plus jeunes sont arrivés, avec une plus-value pour le club. Ils ne m’ont pas mis dehors, ils ont même toujours voulu faire les choses bien avec moi, parce qu’ils savent que j’ai compté pour le club. Cela a été une discussion très professionnelle et avec toujours une bonne relation avec le coach.

Avez-vous envisagé d’aller au bout de votre contrat ?

Si on m’avait dit que rien ne changeait et que j’allais jouer, oui. Mais j’estime qu’à mon âge, j’ai besoin de jouer.

Je voulais voir un autre football
Tout le monde a été surpris par la destination, la Turquie…

(Il s’esclaffe) Tout le monde me dit ça ! On est rentrés dans une phase où le foot a changé. J’ai eu beaucoup d’intérêts de clubs, mais je voulais rester en Europe et continuer d’évoluer dans un club avec des ambitions. Malheureusement, il n’y a pas eu ce que je voulais. Samsunspor m’a montré un intérêt vraiment fort. J’ai senti que j’étais désiré et ça m’a fait du bien. Des offres sur la table, je n’en avais pas 150 000. J’aurais pu attendre un peu, mais c’était compliqué par rapport à ma famille. Mais ça n’a pas été un choix par défaut. Le championnat turc se développe, il y a beaucoup de joueurs passés par la Ligue 1. J’ai senti que j’allais être une pièce maîtresse de leur projet.

Aucun club de L1 n’avait envie de vous faire venir ?

Si, si, j’avais des clubs, mais mon choix numéro 1 c’était d’aller à l’étranger. Je voulais voir un autre football.

Et vous vous plaisez en Turquie ?

Oui, c’est un très beau pays. La ville est en bord de mer, le cadre est agréable, les gens sont cool.

Sur le plan sportif, ce n’est pas le début de saison idéal en revanche

Bien sûr. Il y a plein de nouveau joueurs, un nouveau coach. Je sens que ça va prendre forme et que ça va être plus structuré. On a très mal commencé, on le sait, mais le championnat est loin d’être fini. Il y a moyen de viser plus haut.

Je n’ai pas souvenir qu’une équipe joue aussi bien que Rennes en 2021-2022

Quel moment gardez-vous de Rennes ? Le plus fort ?

Ma saison 2021-2022. Pour moi, c’est la plus belle saison du Stade Rennais. Je n’ai pas souvenir qu’une équipe joue aussi bien. Chaque week-end on proposait des choses sur le terrain, moi j’ai pris un énorme plaisir à jouer dans cette équipe. Dans le contenu, avec les collègues, on se disait : « Mais tu peux nous ramener qui tu veux… » On avait une force collective incroyable.

Étiez-vous au top de votre carrière ?

Oui. J’avais un staff et un coach qui me donnaient beaucoup de confiance et les clés du jeu avec Lovro (Majer). On s’est régalé avec toute l’équipe. Le fait de jouer des Coupes d’Europe, des matches à enjeux… C’était magnifique.

Votre parcours a pourtant été cabossé à Rennes. À votre arrivée, vous prenez un carton rouge qui vous éloigne des terrains, ça ne clique pas tout de suite. Des doutes naissent autour de votre transfert et pourtant, vous inversez la tendance.

C’est l’histoire de ma carrière (rires). Rien n’a jamais été facile, mais avec le travail j’ai réussi. Je suis un joueur qui marche beaucoup à l’affectif et à la confiance. Mes débuts n’ont pas été chaotiques mais… Je sortais d’une grosse saison avec Angers, il y avait beaucoup d’attentes, des choses à digérer pour moi, parce que cela changeait pour moi au niveau de mon football. Il fallait s’adapter, mais j’ai beaucoup appris, ça m’a renforcé. Grâce à cette période, où j’ai vécu des moments difficiles, plus rien ne m’affecte. Être critiqué, sifflé, ce n’était pas facile. Mais c’est devenu une force, de montrer que les gens s’étaient trompés. Et puis, l’arrivée du coach Genesio m’a beaucoup aidé.

Justement, l’arrivée de Bruno Genesio à la tête de l’équipe a changé votre passage à Rennes ?

Oui, en fin de saison, on décroche la Ligue Europa Conférence alors qu’on partait de très loin. Au bout du deuxième match contre Strasbourg, qui est capital, il me fait jouer parce qu’il estime qu’à l’entraînement je montre des belles choses. Et à partir de là, je ne sors plus de l’équipe. J’ai été bon au bon moment, donc c’est une fierté pour moi.

Au fil du temps, j’ai senti un amour profond

Votre relation avec les supporters s’est bonifiée avec le temps ?

Beaucoup. Elle a mal commencé (rires), ça m’a affecté parce que Rennes sans son public, ce n’est pas Rennes. Et au fil des matches et des saisons, j’ai senti un amour profond. Quand je suis parti, j’ai reçu beaucoup de messages qui m’ont touché : « on aurait dû le garder », « on t’aime Flavien »… Je les remercie. Je n’ai qu’un seul regret : c’est de ne pas avoir eu l’opportunité de dire au revoir aux supporters aux Roazhon Park.

Cela a-t-il été difficile de quitter la ville de Rennes ?

Oui, ça restera gravé à jamais dans mon cœur. Pour le football, la vie, ma fille y est née, il y a beaucoup de choses qui s’y sont passées. J’essayais de consommer la ville, c’était important d’aller manger au restaurant, d’aller voir un verre après certains matches. C’était bon enfant et dans ces moments-là, on a beaucoup de proximité avec les supporters, et c’est cool.

Vous regardez toujours à distance ?

Oui, je regarde tout, quand je peux ! J’ai regardé Nantes, Villarreal, Paris… J’avais des frissons quand Martin (Terrier) est rentré sur le terrain après tout ce qu’il a vécu.

Quel message souhaiteriez-vous envoyer aux supporters rennais ?

Je leur dirais que je suis désolé pour mes débuts (rires). Mais merci pour tout, pour tous ces grands moments que j’ai pu vivre au Roazhon Park, même à l’extérieur. J’ai vécu des soirées européennes incroyables. Ce stade, le Roazhon Park, quand vous y jouez et que vous faites partie de ce club, il y a une atmosphère particulière. Donc merci pour votre soutien tout au long de ces années. Je ne souhaite que le meilleur à Rennes et je continuerai à suivre le club. Et puis, avoir fait quatre années à cette période du Stade Rennais, c’est une victoire. Je n’aurai pas ma statue comme Bourigeaud, mais c’étaient vraiment de belles années !

Yann M’Vila à Lyon

Sans club depuis son départ de l’Olympiakos, Yann M’Vila (33 ans) ne signera pas à l’Atlético Madrid malgré de réelles connexions et continue de à s’entretenir du côté de Lyon.

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Non, Yann M’Vila ne signera pas à l’Atlético Madrid. Malgré des rumeurs persistantes tout au long du week-end, et une réelle connexion entre les deux parties, l’ancien milieu de terrain de l’ASSE restera libre jusqu’à sa prochaine destination. Pour l’heure et afin de mieux peaufiner sa réflexion personnelle, le joueur de 33 ans a choisi de s’entretenir du côté de Lyon depuis quelques jours.

M'Vila travaille deux fois par jour à Lyon
"Yann M'Vila est prêt pour un nouveau chapitre car il est toujours disponible en tant qu'agent libre mais pas de discussions avec l'Atléti malgré les liens mais ouvert à de nouvelles opportunités, affirme Fabrizio Romano sur Twitter. Il s'entraîne tous les jours depuis qu'il a quitté l'Olympiacos et travaille désormais deux fois par jour à Lyon, prêt à rejoindre un nouveau club dès que possible."

On sait qu’à la CAN, on doit battre les plus grosses nations

Le portier des Lions, auteur d’une rencontre tranquille, a évoqué le succès du Sénégal en amical, devant le Cameroun ce lundi.

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Edouard Mendy après la victoire du Sénégal face au Cameroun :

"On sait qu’à la CAN, on doit battre les plus grosses nations. On sait maintenant contre qui on va jouer. On doit juste continuer d’évoluer dans notre projet de jeu et aller en Côte d’Ivoire avec la confiance, plein d’humilité et tout donner avec notre pays pour conserver ce sacre. Il faut un peu de tout (pour garder le titre continental), avec le curseur un peu plus haut.

Tout le monde nous attend et il va falloir qu’on réponde de la manière la plus calme possible. On a engrangé de l’expérience. Il faut espérer que l’équipe soit au complet pour qu’on évolue et qu’on produise une belle Coupe d’Afrique."

La folle rumeur concernant Serhou Guirassy

Serhou Guirassy est probablement un joueur qui doit laisser de gros regrets à Florian Maurice et Bruno Genesio. Prêté la saison dernière au VfB Stuttgart puis transféré définitivement dans le club allemand, cet été, pour 9 millions d'euros, l'attaquant guinéen de 27 ans réalise un début de saison tonitruant. En effet, l'ex attaquant de Rennes en est déjà à 14 buts en 8 matches toutes compétitions confondues cette saison.

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Pas la peine de préciser que le VfB a réalisé un énorme coup en ne dépensant que 9M€ pour Guirassy. A contrario, au Stade Rennais ont doit amèrement regretter d'avoir cédé le buteur guinéen à ce tarif. Un choix d'autant plus incompréhensible que Serhou Guirassy avait réalisé deux saisons plutôt correcte au SRFC avec 28 buts au compteur.

Le natif de Arles fait donc désormais le bonheur du VfB Stuttgart, mais encore pour combien de temps ? Une question légitime, car l'attaquant international guinée est désormais surveillé de près par plusieurs grosse écuries européennes. Selon Defensa Central, le Real Madrid ferait partie de ces clubs intéressés.

Une information qui a de quoi surprendre, même si le Real manque clairement d'alternative sur le front de son attaque depuis le départ de Karim Benzema. Un départ qui a été compensé par Joselu. Ce qui semble un peu léger, sachant que le buteur espagnol de 33 ans est le seul véritable avant-centre du Real. De ce fait, un renfort lors du prochain mercato n'est pas à exclure.

Néanmoins, il y a peu de chances de voir Serhou Guirassy débarquer au Real Madrid lors du prochain mercato, et cela pour deux raisons. La première est que l'ex attaquant du Stade Rennais a récemment confié vouloir au moins terminer la saison au VfB Stuttgart. La seconde est que le club allemand ne lâchera pas son attaquant en cours de saison, sauf offre impossible à refuser. Certaines rumeurs parlent de 50 millions d'euros. Un montant que le Real Madrid ne mettra pas sur la table pour Serhou Guirassy.

La donne pourrait toutefois être différente à l'issue de la saison, même si l'objectif de Florentino Perez est de recruter un top buteur de classe mondiale.

La reconversion inattendue et réussie de Petr Cech dans le hockey sur glace

Ancienne gloire de Chelsea et du football tchèque, Petr Cech est l’un des meilleurs gardiens du 21e siècle. Un poste auquel il conserve de bons restes puisqu’il continue de s’y produire à 41 ans. Cependant, il a troqué les crampons pour les patins et continue d’impressionner en effectuant du hockey-sur-glace à un niveau semi-professionnel.
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Avec 783 matches en carrière dont 124 avec l’équipe A de la Tchéquie, Petr Cech est un monument dans son pays, mais aussi au poste de gardien de but. Passant le plus gros de sa carrière à Chelsea entre 2004 et 2015, il y a remporté la Ligue des Champions (2012), la Ligue Europa (2013), la Premier League (2005, 2006, 2010 et 2015) la FA Cup (2007, 2009, 2010 et 2012) ainsi que la Coupe de la Ligue Anglaise (2005, 2007 et 2015). Auparavant révélé à Rennes où il a laissé de jolis souvenirs en France, le gardien qui ne quitte pas son casque depuis 2007 - et une lourde fracture au crâne quelques mois plus tôt - a terminé sa carrière en 2019 après une belle pige de 4 ans à Arsenal. Malheureusement pour lui, son dernier match est la finale de la Ligue Europa 2019 perdue par les Gunners… contre Chelsea (4-1).

Une reconversion express
Une carrière remplie et éclatante pour le natif de Plzen dont les performances sont unanimement reconnues comme celles de l’un des tout meilleurs gardiens de l’histoire du football. Après sa carrière, il a eu un rôle de dirigeant à Chelsea entre 2019 et 2022, mais il a quitté ce poste suite à l’arrivée de Todd Boehly à la tête du club londonien. Mais le football n’est pas la seule passion de Petr Cech qui, en tant que sportif accompli, s’adonne désormais au hockey-sur-glace. En effet, en octobre 2019, juste quelques semaines après la fin de sa carrière professionnelle dans le football, il s’est engagé avec le club des Guildford Phoenix en quatrième division anglaise de hockey-sur-glace. "Nous sommes très excités de la venue de Petr dans cette équipe des Phoenix et nous avons hâte de le voir en action ce week-end. Il s’est beaucoup amélioré depuis que je l’ai vu pour la première fois sur la glace et j’ai hâte de le voir jouer" s’enthousiasmait son coach Milos Melicherik à l’époque.

Le principal intéressé avait lui hâte de se lancer dans cette nouvelle aventure : "je suis ravi d’avoir l’opportunité de jouer avec Phoenix pour acquérir de l’expérience de match. J’espère pouvoir aider cette jeune équipe à atteindre ses objectifs de la saison et essayer de gagner autant de matchs que possible lorsque j’ai la chance de jouer. Après 20 ans de football professionnel, ce sera pour moi une expérience merveilleuse de jouer au sport que j’adorais regarder et jouer quand j’étais enfant." Voulant s’amuser avant tout sur les terrains de hockey-sur-glace, Petr Cech a vite montré qu’il restait un compétiteur hors-pair.

Homme du match avec 62 arrêts
Homme du match après sa première rencontre de championnat, il a disputé six matches lors de sa première saison, mais avait refusé de prolonger dans un premier temps. La raison ? Chelsea l’avait inscrit dans sa liste de gardiens en Premier League lors de la saison 2020/2021. Finalement, il avait rechaussé les patins la saison suivante pour une deuxième aventure avec les Guildford Phoenix. Il y réalisera 14 matches cette fois et y fera un triplé. Il signera la saison suivante à l’étage supérieur du côté des Chelmsford Chieftains en troisième division.

"L’arrivée d’un gardien de la qualité et de l’expérience de Petr dans notre équipe est un énorme coup de pouce pour nous en ce moment. Il apporte une mentalité de gagnant, un désir de concourir à chaque fois qu’il est sur la glace, et nous avons hâte de le voir s’ajouter à notre groupe cette saison" déclarera son coach Mark Saunders. Une nouvelle saison qui se passera parfaitement pour Petr Cech qui continue d’évoluer dans cette Ligue, mais qui a changé de club encore cet été. Le portier qui a fêté ses 41 ans en mai dernier a rallié le club d’Oxford City Stars. "Je suis vraiment excité pour un nouveau chapitre avec Oxford City Stars. J’ai entendu de bonnes choses sur le club et j’ai hâte de rejouer avec certains de mes anciens coéquipiers."

"Il est clair qu’Oxford a de grandes ambitions et j’espère pouvoir les aider à y parvenir" a déclaré l’ancien Rennais à son arrivée. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il y arrive avec brio. Si son équipe est pourtant en difficulté à la dernière place du championnat après 5 matches disputés, Petr Cech a été essentiel lors de la dernière journée de championnat contre le deuxième, les Streatham Redhawks. Son équipe s’est imposée 3-2 et Petr Cech a été élu homme du match avec 62 arrêts sur 64 tirs subis. Une performance XXL pour le portier tchèque. Par exemple, en saison régulière de NHL (première division nord-américaine, le meilleur championnat du monde ndlr), le record de l’époque moderne revient à Ron Tugnutt qui avait réalisé 70 arrêts en 1991. Dans les buts de football ou de hockey, Petr Cech reste un patron.

Camavinga en a déjà ras-le-bol

Ce mardi soir, l'équipe de France recevra l'Ecosse en match amical. Eduardo Camavinga devrait avoir pas mal de temps de jeu.

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L'équipe de France a validé son billet pour l'Euro 2024 en battant les Pays-Bas vendredi soir dernier. Les hommes de Didier Deschamps vont donc pouvoir jouer relâchés contre l'Ecosse mardi soir en match amical. Le sélectionneur des doubles champions du monde devrait faire pas mal tourner, comme il l'a récemment indiqué à la presse. Eduardo Camavinga, qui n'a pas eu de temps de jeu contre les Bataves, en aura en revanche contre l'Ecosse. Présent en conférence de presse ces dernières heures, le joueur du Real Madrid a pu aborder la rencontre mais aussi son utilisation par Didier Deschamps... et Carlo Ancelotti.

Camavinga s'agace

D'ailleurs, Camavinga en a un peu marre de se faire questionner sur son poste de prédilection et n'a pas manqué de le dire. "On me pose tous les jours cette question ! Je suis quelqu'un qui joue pour l'équipe et quand on a besoin de moi. Je ne connaissais pas ce poste, j'y ai pris des repères que ce soit en équipe de France ou au Real Madrid. Mais je n'apprécie pas particulièrement cette position. Je pense que tout le monde est au courant. J'y vais même si ce n'est pas forcément avec plaisir. Je reste un milieu de terrain", a notamment indiqué Eduardo Camavinga qui a été sélectionné par Didier Deschamps pour ce rassemblement en tant que milieu de terrain. Couteau suisse depuis quelque temps, il dépanne sur le côté gauche avec un certain rendement qui impressionne. Malgré son jeune âge, Camavinga est en tout cas un joueur de caractère et le message est envoyé, aussi bien à la presse qu'à ses entraineurs respectifs.

M'Vila bientôt chez un géant de Liga ?

A 33 ans, et alors qu'il est sans club depuis cet été, Yann M'Vila, formé au Stade Rennais et notamment passé par l'ASSE, pourrait signer à l'Atlético Madrid.

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Libre de tout contrat après trois saisons à l'Olympiakos, Yann M'Vila a été annoncé du côté de l'OM cet été mais aussi de l'Arabie Saoudite. Mais il est toujours sans club à l'heure actuelle. D'après Ekrem Konur, ça ne devrait pas durer. Il devrait en effet s'engager prochainement avec... l'Atlético Madrid ! Une surprise dans la mesure où il est âgé de 33 ans et ne fréquente plus le très haut niveau depuis quelque temps déjà.

Une carrière loin des promesses initiales
Formé au Stade Rennais, où Frédéric Antonetti lui prédisait un brillant avenir avec ses "passes Ligue des champions", Yann M'Vila n'a jamais confirmé ses promesses, notamment à cause de choix de carrière hasardeux. Comme celui de partir au Rubin Kazan en janvier 2013, à seulement 22 ans. Il a ensuite passé six mois à l'Inter Milan en prêt, à Sunderland (également en prêt), avant de signer à l'AS Saint-Etienne en janvier 2018. Victime de la politique d'austérité imposée par Claude Puel, il n'est resté que deux ans et demi dans le Forez, avant de rebondir à l'Olympiakos. Il a porté le maillot de l'équipe de France à 22 reprises.

Très content après la victoire des Diables rouges

Jérémy Doku a réalisé un très bon match ce soir. Virevoltant il a créé de l’espace et donné notamment l’assist sur Romelu Lukaku pour le troisième but.
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La Belgique s’est qualifiée pour la septième phase finale du Championnat d’Europe de football de son histoire. Les Diables Rouges se sont imposés 2-3 en l’Autriche, vendredi, à Vienne, pour leur sixième match de qualification dans le groupe F.

Jérémy Doku a réalisé un très bon match en s’illustrant par de nombreux dribbles et de jolies remontées de balles : "c’était un match plein, très difficile. On est resté ensemble, soudés. On avait la mentalité pour jouer à 10 contre 11 même si je trouve qu’il n’y avait pas faute sur le deuxième carton d’Amadou."

Le jeune ailier de Manchester City est content mais souhaite terminer le travail lundi contre la Suède lors du prochain match : "on a bien joué, on a marqué des beaux buts et on a atteint notre objectif. Maintenant on va devoir bien récupérer et gagner contre la Suède lundi. Je pense qu’on avait bien préparé le match mais qu’on se positionnait trop bas. Après quelques changements on a réussi à jouer plus haut et presser, c’est là qu’on a su les mettre en difficulté."

"Je demandais à Theate de me la donner car comme ça je pouvais venir plus bas et je pouvais ressortir avec la balle en me donnant de l’espace et en créant. On a beaucoup de qualités et de talent et il faut l exprimer. On s’entraîne dur pour ça. Tout le monde était aujourd’hui au top et performant et je suis très content pour Dodi et Romelu ce soir.» assure l’ailier belge.

L'Allemagne et son rêve quasi impossible de sélectionner Mathys Tel

Le directeur sportif de la Fédération, Rudi Völler, a fait part de sa volonté de naturaliser l'attaquant français du Bayern Munich. Une vraie possibilité ?
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Rudi Völler a gardé des réflexes d'attaquant avec cette capacité à déstabiliser quiconque par des gestes improbables. Cette fois, le directeur sportif de la Fédération allemande a fait fort. Dans une interview à Bild TV, l'ancien joueur (63 ans) a soulevé l'hypothèse d'une naturalisation de la révélation française du début de saison, Mathys Tel (18 ans, 6 buts, 1 passe décisive en 11 matches avec le Bayern Munich) afin de le faire jouer pour l'équipe nationale allemande : "Bien sûr, c'est un grand attaquant. Nous allons certainement essayer de le naturaliser. Mais, à la fin, c'est le joueur lui-même qui décide, et bien sûr sa famille. Il ne faut pas sous-estimer cela. Ses racines sont très françaises. Nous savons tous que nous n'avons pas beaucoup d'attaquants de haut niveau en Allemagne. Il faut en tirer le meilleur."

Alors vraie idée ou simple songe ? En fait, cette hypothèse remonte à plusieurs semaines. Lors du rassemblement de septembre, alors que Tel commence à multiplier les entrées fracassantes avec le Bayern, ils sont quelques-uns à la Fédération allemande à remarquer que l'ancien Rennais n'est convoqué ni avec les Espoirs français, ni avec les moins de 20 ans, mais avec les moins de 19 au milieu de joueurs dont très peu ont du temps de jeu en équipe première. Un statut impensable pour ceux qui perçoivent le natif de Sarcelles comme un top potentiel.

Les textes allemands et le règlement de la FIFA comme obstacles
L'idée fait son chemin en interne, mais ne se traduit par une prise de contact directe avec l'entourage de Tel, appelé avec les Espoirs pour le stage d'octobre. Dans ce dossier, les dirigeants mesurent sans doute le chemin à parcourir. Si l'on se fie aux textes allemands, il faut que la personne, entre autres critères ("pouvoir assurer sa subsistance soi-même", "disposer de connaissances suffisantes en allemand"...), ait vécu depuis au moins huit ans dans le pays pour obtenir la naturalisation. Les autorités pourraient sans doute accélérer les étapes dans le dossier Tel.

Mais si le joueur, sans avoir de liens parentaux avec le pays, se lançait dans la procédure, il se heurterait au règlement FIFA, article 7, de "l'acquisition d'une nouvelle nationalité". Qui précise qu'un joueur qui a commencé à vivre dans le pays entre 10 et 18 ans - ce qui est le cas de Tel - doit y avoir passé cinq ans pour être autorisé à évoluer pour la sélection nationale, soit 2027. Joints, les représentants du Français n'ont pas souhaité apporter de commentaires. Mais voir Tel, qui a passé sa vie en région parisienne et dont la famille est originaire de Guadeloupe, porter le maillot de la Mannschaft est très improbable.

Avec son nouveau triplé, Serhou Guirassy brise un record

Encore buteur, et auteur de son second triplé de la saison avec Stuttgart, Serhou Guirassy est inarrêtable et c’est Wolfsburg qui en a fait les frais (3-1), ce samedi. Avec ces trois pions supplémentaires dans sa besace de buteur, il porte déjà son total à 13 réalisations en championnat, un record en Bundesliga après 7 journées. L’ancien Rennais explose donc la marque de Robert Lewandowski, qui avait sévi à 11 reprises en 7 rencontres, sous les couleurs du Bayern Munich, lors de la saison 2019-2020.

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Guirassy, qui a déjà dépassé son total de l’année dernière (11), n’est plus qu’à trois pions de mettre autant de buts que les deux derniers meilleurs buteurs de Bundesliga, Niklas Füllkrug et Christopher Nkunku. Grâce à l’attaquant le plus en forme d’Europe, Stuttgart figure en tête du championnat, avec six succès et une défaite, en attendant le résultat du Bayer Leverkusen face à Cologne, ce dimanche.

Il a mis plus de buts que Nice, Brest, Lille, Strasbourg, Le Havre, Montpellier, Toulouse, Marseille, Metz, Lens, Lorient, Clermont et Lyon.

S.G.S.B.

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