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Les supporters Rennais également de déplacement à Toulouse

De la même manière que les supporters brestois, les supporters du Stade Rennais ont été interdits de déplacement pour le match à Toulouse, dimanche.

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À l’instar des supporters brestois, interdits de se déplacer à Nantes, dimanche, les supporters du Stade Rennais n’auront pas l’autorisation de se rendre à Toulouse, dimanche également (15 h), dans un match pourtant crucial pour les hommes de Julien Stephan en Ligue 1.

Des relations "empreintes d’animosité"
Cette interdiction provient ainsi d’un arrêté du ministère de l’Intérieur délivré le 12 décembre au Journal officiel, et justifiant que "les relations entre les supporters du Toulouse Football Club et du Stade Rennais Football Club sont empreintes d’animosité et que cet antagonisme s’est traduit par plusieurs affrontements nécessitant l’intervention des forces de l’ordre".

Comme pour les Brestois, les associations de supporters rennaises peuvent toutefois contester juridiquement la décision auprès du tribunal administratif pour espérer assister au match.

Arnaud Kalimuendo insulté par des supporters rennais en plein match

Remplacé lors de la défaite du Stade Rennais face à l'AS Monaco ce samedi (1-2), Arnaud Kalimuendo a été pris à partie par des supporters rennais au moment de rejoindre le banc.

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C'est une des images fortes de cette 15ème journée de Ligue 1, Arnaud Kalimuendo a été insulté par des supporters de son propre club au moment de sa sortie. Remplacé lors du match du SRFC face à l'AS Monaco (1-2, analyse et notes), l'attaquant international espoirs a été pris à partie par des supporters bretons, visiblement remontés contre lui, au moment de rejoindre le banc de touche. Dans des images diffusées par Canal+, on entend les insultes fuser contre le Rennais.

Bouge ton cul putain
Un premier supporter rennais lance à deux reprises "feignasse !" au joueur du SRFC qui se retourne vers le supporter en question qui rajoute ensuite "bouge ton cul putain !". Arnaud Kalimuendo ne répond pas et s'assoit ensuite sur le banc de touche, protégé par plusieurs membres du staff. En revanche, la crise de confiance continue pour celui qui n'a plus trouvé le chemin des filets en Ligue 1 depuis le 1er octobre dernier. C'était à l'occasion du derby face au FC Nantes (3-1, J07 Ligue 1).

Enzo Le Fée remonté après la défaite contre Monaco

Énervé mais pas abattu après la deuxième défaite d'affilée du Stade Rennais face à Monaco (1-2), samedi en Championnat, Enzo Le Fée a tenté de secouer les troupes bretonnes. Désormais plus concernées par ce qui se passe en bas qu'en haut en Ligue 1.
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Motivé par des ambitions européennes en début de saison, le Stade Rennais doit plutôt se soucier de ce qui se passe vers le bas du classement désormais. Douzièmes de Ligue 1 après bientôt une moitié de Championnat, provisoirement à trois points seulement du premier non relégable Lorient (qui joue dimanche soir), les Bretons ont le vent contraire.

Le souffle nouveau initié par le retour de Julien Stéphan mi-novembre aura été bref: aux deux premières victoires ont suivi deux défaites, les Rennais retombants dans leurs travers samedi à domicile (1-2) face à des Monégasques pourtant réduits à 10 une demi-heure.

On n'est pas là où on voulait être, mais on est là où on doit être
"Les mots ne sont pas faciles car chaque week-end, on se dit qu'on va réagir. Mais au final c'est toujours la même chose, pestait Enzo Le Fée au micro de Prime Video. Il ne faut pas baisser les bras, la saison est encore longue. On n'est pas là où on voulait être, mais on est là où on doit être."

Des mots durs qui traduisent l'état d'esprit d'un club frustré par la situation. Car conscient que l'armada qui la compose peut, doit même, faire bien mieux pour se donner les moyens de ses ambitions.

"Si on veut, on se dit que tout est fini et on continue la saison comme ça. Et au final, on va couler, enchaîne Le Fée. Mais ce n'est pas l'esprit du groupe, on a tous envie de rebondir et de regagner des matches. (...) Il nous manque du caractère. Même si parfois on en montre, ce n'est pas assez. On doit porter nos couilles, venir chercher le ballon et essayer de jouer. On doit retrouver cet esprit de gagnants."

Cela tombe bien puisque les Rennais vont retrouver, jeudi prochain au Roazhon Park, un terrain de jeu qu'ils maîtrisent bien mieux cette saison: celui de la Ligue Europa, face à Villarreal (18h45, sur RMC Sport 1).

Les joueurs passés par l'OM et le Stade Rennais

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  • Ismaïla Sarr Rennes (2017-19), OM (2023-...)
  • Foued Kadir OM (2013), Rennes (2013-14)
  • Romain Alessandrini Rennes (2012-14), OM (2014-17)
  • Morgan Amalfitano OM (2011-13), Rennes (2017-18)
  • Alou Diarra OM (2011-12), Rennes (2013)
  • Jérémy Morel OM (2011-15), Rennes (2019-20)
  • Hatem Ben Arfa OM (2008-10), Rennes (2018-19)
  • Djimi Traoré Rennes (2008), OM (2011-12)
  • Rod Fanni Rennes (2007-10), OM (2010-15, 2016-17)
  • Steve Mandanda OM (2007-16, 2017-22), Rennes (2022-...)
  • Mickaël Pagis OM (2006-07), Rennes (2007-10)
  • Stéphane Mbia Rennes (2005-09), OM (2009-12)
  • Bruno Cheyrou OM (2004-05), Rennes (2006-09)
  • Jacques Faty Rennes (2003-07), OM (2007-08)
  • Toifilou Maoulida Rennes (2002-05), OM (2006-07)
  • Laurent Batlles Rennes (2002), OM (2004-05)
  • Cyril Chapuis Rennes (2000-01), OM (2002-03)
  • Jérôme Leroy OM (2000-01), Rennes (2007-11)
  • Stéphane Dalmat OM (1999-2000), Rennes (2010-11)
  • Édouard Cissé Rennes (1998-99), OM (2009-11)
  • Kaba Diawara Rennes (1998), OM (1999)
  • Fabrice Fernandes Rennes (1998-2001), OM (2001)
  • David Sommeil Rennes (1998-2000), OM (2004)
  • Olivier Echouafni OM (1996-98), Rennes (2000-03)
  • Jean-Pierre Cyprien Rennes (1995-96), OM (2000)
  • Sylvain Wiltord Rennes (1994-97, 2007-08), OM (2009)
  • Pascal Fugier OM (1993-94), Rennes (1994-96)
  • Jean-Christophe Thomas OM (1992-94), Rennes (1994-96)
  • Jocelyn Gourvennec Rennes (1991-95, 2000-02), OM (1998-99)
  • Pascal Rousseau OM (1990), Rennes (1991-95)
  • François Omam-Biyik Rennes (1990-91), OM (1992)
  • Blaž Sliškovic OM (1986-87), Rennes (1991-92)
  • Jocelyn Angloma Rennes (1986-87), OM (1991-94)
  • Henri Zambelli OM (1979-80), Rennes (1986-87)
  • Jean-Yves Kerjean Rennes (1976-77), OM (1984-85)
  • Patrick Delamontagne Rennes (1974-87, 1988-91), OM (1987-88)
  • Raymond Keruzore Rennes (1969-75), OM (1973-74)
  • Jean-Paul Escale OM (1962-71), Rennes (1973)
  • Joseph Brotons Rennes (1960-61), OM (1966-67)
  • Alphonse Le Gall Rennes (1951-53), OM (1954-55)

Face à Reims, un Martin Terrier moteur avec le Stade Rennais

L’attaquant rennais, revenu de blessure il y a quelques semaines, a été l’un des meilleurs animateurs offensifs face à Reims, ce dimanche.

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Impliqué sur les deux premiers buts rennais, Martin Terrier a signé sa meilleure prestation depuis son retour, début octobre. Lui, le symbole de l’ère Genesio (38 buts, 17 passes, malgré une absence de dix mois) a porté, par son engagement, ce nouveau Rennes, désormais aux ordres de Stephan. Évidemment, tout n’est pas encore parfait pour lui. Sa fin de match a été plus effacée, ce qui lui a valu de louper deux occasions dans la même minute (69’), avant de rejoindre le banc (72’). Sa qualité technique n’est pas encore totalement revenue. Ce qu’il faut surtout retenir, au-delà de sa passe décisive pour Bourigeaud (46’) - sa première depuis un voyage à… Reims la saison passée -, c’est son abnégation retrouvée.

Julien Stéphan a fait polémique après Reims

Quelques secondes après le coup de sifflet final de Stade Rennais - Stade de Reims (3-1), Julien Stéphan a provoqué une polémique.

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Pour son premier match depuis son retour sur le banc de Stade Rennais, Julien Stéphan a vu son équipe s'imposer ce dimanche face au Stade de Reims (3-1). Après la rencontre, le nouvel entraîneur rennais a fait polémique, manquant ou snobant la poignée de main avec son homologue rémois, Will Still.

Still s'est exprimé à ce sujet, pas Stéphan
Au micro de Canal+, le coach belge est revenu sur cette scène, laissant planer le doute sur les raisons de cette poignée de mains manquée. "Je ne sais pas. S’il ne veut pas me serrer la main, je ne vais pas lui serrer la main. Il n’y pas de problème. Je voulais le féliciter pour son match et sa victoire mais ce n’est pas grave." Julien Stéphan n'a, lui, pas été interrogé sur cet épisode que ce soit au micro de Canal+ ou en conférence de presse d'après-match.

Convalescent, le Stade Rennais s’est imposé contre Reims

Les Rennais ont renoué avec le succès en Ligue 1, ce qui n’avait plus été le cas depuis le 1er octobre (3-1, Nantes). Mais le onze de Stephan demeure fragile.

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L’urgence était comptable autant que mentale. Pour son retour, Julien Stephan le savait. En quelques jours, son message n’avait pas eu le temps d’infuser. Il n’avait distillé que quelques éléments forts : pressing et lignes plus resserrées dans un schéma en 3-4-3. Avec la réussite dans les deux surfaces, celle qui fuyait tant le club ces dernières semaines, la victoire est là. Rennes a 15 points et souffle. "Très clairement, la priorité était de prendre des points. On voulait gagner, absolument gagner, peu importe la manière. À choisir entre gagner et bien jouer, le choix est vite fait… C’est un retour heureux, oui. C’est une bonne base", savourait le technicien, satisfait, notamment, de la joie exprimée par ses défenseurs à chaque trajectoire coupée. "J’ai adoré ces comportements. Ces interventions sont aussi riches qu’un but, elles apportent une énergie folle."

Pour le retour de Stéphan sur le banc, les Rennais retrouvent le goût de la victoire

Pour le retour de Julien Stephan sur le banc du Stade Rennais, les Bretons se sont imposés ce dimanche à domicile face à Reims (3-1). Un bol d’air avant de retrouver la Ligue Europa.
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Y a-t-il déjà un effet Julien Stéphan à Rennes? Pour le premier match depuis le retour du technicien, les Bretons ont retrouvé le goût de la victoire et cassent leur inquiétante série de quatre défaites sur les cinq derniers matchs de Ligue 1 (3-1). Trois points cruciaux qui relancent le club dans la course à l’Europe.

Un nouveau système à apprivoiser
Poussés par plus de 28.000 spectateurs au Roazhon Park, les Rennais ne pouvaient pas mieux débuter le deuxième acte de l’ère Julien Stéphan. Dès la 4e minute, Amine Gouiri a fait chavirer les supporters bretons en profitant d’un cafouillage pour ouvrir le score. Son 40e but dans l’élite lui permet de devenir le deuxième joueur né en 2000 ou après à atteindre cette marque après Jonathan David (54) selon Opta. Auteurs d’un bon début de match, les Bretons ont tenté d’assimiler le 3-4-3 mis en place par leur coach, à commencer par Benjamin Bourigeaud, titularisé à un poste inhabituel de piston droit. Mais Kalimuendo a perdu son duel face à Diouf.

Pourtant, les maux rennais n’ont pas totalement disparu d'un claquement de doigt, et Reims s’est réveillé en fin de première période. Sans être ultra dangereux, les protégés de Will Still sont finalement revenus avant la pause. Sur un corner joué en deux temps, Ito a trouvé la tête de Diakité sur l’égalisation (45+1). Un but validé en deux temps après intervention de la VAR.

Reprise canon
La mi-temps a fait du bien aux Rennais, qui n’ont mis que 18 secondes pour reprendre l’avantage grâce à Benjamin Bourigeaud, à la finition d’une très belle action collective initiée par Terrier (46e). Dépossédé du brassard en milieu de semaine, le milieu n'a pas semblé perturbé et a livré une copie très propre, avec un but et une passe décisive. Sonnés, les Rémois ont amorcé la révolte mais sont tombés sur un Mandanda solide devant Teuma et Abdelhamid.

Le bel hommage du kop rennais pour Bruno Genesio
S’ils ont su faire le dos rond, les Rennais ont aussi su être efficaces dans les moments clés pour faire le break. Sur un caviar de Bourigeaud, Theate s’est parfaitement déplacé pour offrir le troisième but à son équipe sur son cinquième tir cadré (66e). À quelques jours d’un rendez-vous décisif avec le Maccabi Haïfa en Ligue Europa, Rennes retrouve des couleurs même si les axes d’amélioration sont encore nombreux. Désormais 10es de Ligue 1, les hommes de Julien Stephan reviennent à cinq points de la 5e place, occupée par… Reims. Auteurs d’un bon début de saison, les Champenois concèdent leur cinquième revers en 13 rencontres.

Le Stade Rennais sans Omari, ni Guéla Doué pour la réception de Reims, Mandanda nommé capitaine

Pour le retour de Julien Stephan sur le banc du Stade Rennais, le technicien devra se passer des défenseurs Warmed Omari et Guéla Doué, suspendus.

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Ligue 1 (13e journée). Stade Rennais - Reims (dimanche, 17 h 05)
Suspendus, Warmed Omari et Guéla Doué seront absents pour le retour sur le banc de Julien Stephan, dimanche contre Reims. Le technicien a décidé de changer le capitanat. Benjamin Bourigeaud cède son brassard à Steve Mandanda. « Par son expérience, le nombre d’années où il a été capitaine à Marseille, ça se fait de manière très naturelle. Il n’y a pas de volonté de rupture, mais une analyse de la situation. Bourigeaud et Matic seront les capitaines du terrain », a noté le coach, qui n’a pas voulu dévoiler s’il allait positionner son onze en 5-3-2 comme avec Strasbourg ou en 4-3-3.

La composition probable

Mandanda (cap.) - Assignon, Wooh, Théate, Truffert - Le Fée, Matic - Bourigeaud, Blas, Terrier - Kalimuendo (ou Gouiri).

Les arbitres de la 13ème journée

Découvrez les arbitres qui officieront lors de la 13ème journée de Ligue 1 Uber Eats.

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Stade Rennais FC – Stade de Reims (dimanche, 17h05)
Arbitre principal : Ruddy BUQUET
Arbitres assistants : Guillaume DEBART et Julien PACELLI
4ème arbitre : Marc BOLLENGIER
Arbitres assistants vidéo : Gaël ANGOULA et Florent BATTA

Une décision du club fait polémique après la défaite contre Lyon

Hier, le Stade Rennais recevait l’Olympique Lyonnais pour le compte de la 12e journée de Ligue 1 Uber Eats. Deux formations en difficulté en championnat, où Lyon en est finalement sorti vainqueur.

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Rapidement réduits à 10, les Rouge et Noir ont retenu plus d’une heure avant de concéder le seul et unique but de la rencontre, inscrit par O’Brien (67’, 0-1). Une défaite, la deuxième de suite, la quatrième lors des 5 derniers matchs en championnat. Une situation qui inquiète de plus en plus, dont le club a pris une décision.

Bruno Génésio remis en cause ?

Avec seulement deux succès cette saison, un de plus que l’OL, dernier du championnat, le Stade Rennais ne possède qu’un point d’avance sur la place de barragiste, et occupe la 13e place. Des résultats inquiétants, malgré la bonne dynamique en Europa League, qui semble masquer les difficultés du club, le temps d’une soirée.

La question, qui revient ces derniers temps, est simple : Génésio doit-il rester à la tête du club ? Une question qui divise toujours autant les supporters rennais. Selon les informations d'Ouest France, l’avenir du coach ne serait pas menacé, et ce, malgré la défaite hier soir face à la lanterne rouge.

Il faut tout de même rappeler que Bruno Génésio a réalisé, depuis son arrivée, les deux meilleures saisons du club en championnat. Vouloir se séparer de lui peut être une solution, mais pour récupérer qui ? Les dirigeants rennais voient sur le long terme et espèrent que la situation tournera en leur faveur. D’autant plus que le marché des entraîneurs restent tout de même fermé, notamment pour ce qui est des entraîneurs français, ce qui compte énormément pour le propriétaire du club, François-Henri Pinault.

Un autre homme du club est pointé par les supporters bretons, et légitimement. Il s’agit de Florian Maurice, directeur sportif. On reproche à ce dernier de ne pas avoir fait le nécessaire dans le recrutement, notamment dans le secteur défensif. Ce dernier avait assumé ce choix en voulant faire confiance à la jeunesse. Le résultat est pour le moment négatif, entre erreurs, csc et cartons rouges. En l’espace d’une semaine, Rennes a disputé 3 matchs et a vu rouge à chaque rencontre. Omari (23 ans) à Nice, Belocian (18 ans) face au Panathinaikos et Guela Doué (21 ans) hier face à Lyon.

On s’est mis dans la merde ensemble, on en sortira ensemble

Battu par Lyon ce dimanche à domicile (0-1), le Stade Rennais a poursuivi sa triste série en L1. Malgré leur sursaut en Coupe d'Europe, les Bretons sont à la peine en championnat où ils n'ont signé que deux victoires depuis le début de la saison. Un bilan loin des attentes, qui a poussé le milieu rennais Benjamin Bourigeaud à monter au créneau.

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Ce n'est pas le début de saison qu'espérait le Stade Rennais. Les Bretons pointent à une triste 13e place en L1 après 12 journées, avec seulement deux petites victoires au compteur. Et leur série de quatre défaites et un nul sur leurs cinq dernières sorties en championnat plombe l'atmosphère en Ille-et-Vilaine. "Quand on a des contre-performances récurrentes, ça casse la tête", a résumé Benjamin Bourigeaud sur Canal+ après cette nouvelle désillusion face à Lyon (0-1).

Alors bien sûr, il y a des circonstances atténuantes. Dimanche, les Bretons ne se sont pas facilité la tâche. L'expulsion de Guéla Doué dès la cinquième minute pour un excès d'engagement a tout changé à ce match. "Évidemment qu'on est déçus, frustrés, en colère mais c'est le football, le carton rouge est justifié, il n'y a rien à dire. Jouer deux matches en trois jours à 10 contre 11, quasiment tout le match, c'est compliqué", a lâché Bruno Genesio.

Vous savez que vous êtes en danger
Après leur joli succès au forceps mais précieux contre le Panathinaïkos (3-1) jeudi, en Ligue Europa, les Rennais n'ont en effet pas eu les ressources pour remettre ça. "On a fait un bon match jeudi et on pensait avoir entamé une dynamique. Et malheureusement, le fait d'être à 10 nous a empêchés de développer notre jeu et de prendre des points ce soir", a glissé Baptiste Santamaria sur Canal+. Malgré la bouffée d'oxygène européenne, c'est donc une série noire qui se poursuit en L1.

Avec un point pris sur leurs cinq dernières sorties sur la scène domestique, les Rouge et Noir sont à l'arrêt. Et voient leurs objectifs du début de saison s'éloigner. Avant cette trêve internationale, le club breton pointe ainsi à 12 longueurs du podium. Et n'a qu'un petit point d'avance seulement sur Lorient (16e). De quoi placer Bruno Genesio dans une position inconfortable. "Quand vous avez deux victoires en douze matches, vous savez que vous êtes en danger. C'est le métier d'entraîneur qui veut ça", a reconnu le coach breton sur Prime Vidéo.

On ne lâchera pas
En attendant de voir si l'entraîneur rennais est vraiment en danger, Benjamin Bourigeaud est lui monté au créneau. "On n'est pas au Stade Rennais pour jouer la 10e place. Ça fait sept ans que je suis là, j'ai toujours eu la chance de me qualifier pour la Coupe d'Europe. Là, il faut revenir aux bases. Et ne pas se polluer la tête avec le fait de devoir finir dans les trois premiers. Nous aussi, on est fatigués de faire ce genre de match. On fait beaucoup d'efforts, de sacrifices mais il nous manque quelque chose. On ne peut que fermer nos gueules et continuer de travailler", a lancé le fidèle milieu rennais avant de compléter en zone mixte : "On ne lâchera pas. Je vous promets qu’on ne lâchera pas. Le staff, les joueurs, on est ensemble. On s’est mis dans la merde ensemble, on en sortira ensemble."

Un discours fédérateur qui peut faire du bien. Tout comme peut-être l'état d'esprit démontré cette semaine. Car dimanche tout comme jeudi dernier, les Rouge et Noir ont essayé de se battre malgré les vents contraires avec ce rouge si précoce. "Je n'ai pas vu de joueurs tricher ou ne pas être à 100% dans tout ce qu'il fallait faire. C'est la base pour avoir des résultats et si on avait affiché le même genre d'état d'esprit depuis le début de saison que sur ces deux matches, on n'en serait pas là", conclut Genesio.

Farioli calme l’euphorie, Genesio déjà tourné vers le Pana et l’OL

Sur Prime Vidéo, Francesco Farioli et Bruno Genesio sont revenus sur le match de ce dimanche soir entre Nice et Rennes (2-0).

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Farioli : Pas une équipe de rêveurs, une équipe de travailleurs
"On a été très solide. On a fait beaucoup de bonnes choses, notamment en première période quand nous avions le ballon. On a touché 36-37 fois le ballon dans la surface adverse. Ce qui est pourtant très difficile. On concède très peu d’occasions. Ce soir, même quand on était 10 sur le terrain, les efforts ont été fantastiques.

Bulka ? Marcin est un joueur qui a beaucoup de talents, beaucoup d’ambition et beaucoup de possibilités devant lui. Il a très bien commencé la saison avec un super état d’esprit et l’envie d’être numéro 1. C’est aussi l’une des raisons pour lesquelles j’ai pris la décision de démarrer avec lui. Aujourd’hui, il a ce qu’il mérite. Tous les jours, c’est lui le dernier à quitter la pelouse, toujours faire un tir de plus… Il peut encore s’améliorer mais il est sur le bon chemin.

Boga ? Je ne sais pas si c’est son meilleur match mais c’est sans doute l’un des meilleurs. Ce qu’il fait en un contre un, sa capacité à rentrer dans la défense adverse, les efforts qu’il fait… Il ne faut pas perdre ce travail fait pour l’équipe. Ok, on a beaucoup parlé de Boga mais on va aussi parler de Diop, qui a défendu en temps que latéral avant d’attaquer. Si on a tous ces résultats, c’est par le talent des joueurs mais aussi parce qu’ils font un énorme travail sur le terrain.

Peut-on rêver plus grand ? Non, on en a déjà parlé dans le vestiaire. On va se mettre au travail dès demain matin.Il faudra déjà qu’on trouve une solution pour Montpellier après le carton rouge (de Youssouf Ndayishimyie). On n’est pas une équipe de rêveurs mais une équipe de travailleurs et c’est ce qui doit nous définir…"

Genesio : Il y a des périodes où rien ne va
"En première période, je pense qu’on a fait beaucoup de bonnes choses. Mais c’est un match qui ressemble aux 10 premiers où on a le contrôle du jeu, les meilleures occasions, mais où on rentre à la pause en étant mené parce qu’on fait trop d’erreurs.

Contre une équipe comme Nice, on ne peut pas. On les a mis dans leurs meilleures dispositions… Dans le foot, il y a des périodes où rien ne va. Forcément, cela fragilise les esprits. Il faut faire le dos rond, s’accrocher. Je pense qu’on a montré de bonnes choses dans ce match. On a eu des occasions nettes qu’on doit convertir. Sur ce genre de rencontres, c’est tellement important…

L’aventure en Europa League peut nous amener une petite bouffée d’air frais. On rejoue dès jeudi devant notre public. Cela peut être fédérateur et puis il y a cette réception dimanche de Lyon avant la trêve. Il faut qu’on relève la tête, qu’on gagne !"

Génésio a pris une leçon par Nice

En clôture de la 11e journée de Ligue 1, le Stade Rennais s'est incliné sur la pelouse de l'OGC Nice (0-2) dimanche. En conférence de presse, l'entraîneur du club breton Bruno Génésio a évoqué une leçon d'efficacité donnée par les Aiglons.

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"On voulait avoir un équilibre supérieur, on savait qu'il fallait être très patient face à cette équipe de Nice, ne pas trop se livrer. Cela a plutôt bien fonctionné en première période. Mais dans le foot de haut niveau, il faut concrétiser. Nice nous a donné une leçon d'efficacité et de solidité, sur tout ce qui nous manque depuis le début de saison. Manque de lucidité, d'agressivité, on a été défaillant sur les duels, dans certaines situations. Je ne peux pas blâmer mes joueurs, dans l'investissement, ils font le maximum je les ai vus très touchés à la fin du match. Le staff doit trouver de solutions, si l'équipe ne les trouve pas depuis le début de saison, c'est en grande partie notre responsabilité", a assumé l'ancien coach de l'Olympique Lyonnais.

Nice repasse en tête et enfonce Rennes

Le Stade Rennais a été battu sur la pelouse de l’OGC Nice (2-0), nouveau leader après cette 11e journée de Ligue 1, ce dimanche 5 novembre. Cette nouvelle défaite enfonce un peu plus les Rouge et Noir, douzièmes à deux points de Metz, barragiste.

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Sur des dynamiques inverses au coup d’envoi, l’OGC Nice et le Stade Rennais ont chacun poursuivi leur trajectoire au coup de sifflet de la 11e journée de Ligue 1. Grâce à sa victoire ce dimanche (2-0), le Gym reprend la tête du championnat au Paris Saint-Germain, tandis que les Rouge et Noir plongent un peu plus vers les abysses. Ils sont désormais douzièmes, à deux points de Metz, barragiste.

Deux nouvelles erreurs individuelles
"On ressort frustrés, comme d’habitude. Les matches se ressemblent pour nous depuis le début de saison. On a l’impression de mettre tous les ingrédients pour rien n’avoir au final, déplorait le milieu rennais Enzo Le Fée, au micro de Prime Video. Si on arrive à 0-0 à la mi-temps, ce n’est pas le même match. Il faut régler ces petits détails sinon la saison va être longue."

L’équipe de Bruno Genesio se mord à nouveau les doigts après avoir concédé l’ouverture du score avant la pause sur une nouvelle erreur individuelle. En manquant son dégagement dans la surface, Assignon a laissé Boga seul pour mitrailler Mandanda à bout portant (45’).

L’expulsion de Ndayishimiye (75') aurait pu relancer ce match peu emballant, mais une nouvelle erreur individuelle a coûté cher aux Bretons. Omari a été à son tour expulsé pour une intervention illicite en tant que dernier défenseur. Sur le coup franc suivant, Diop a fait le break avec l’aide du dos de Mandanda (87').

S.G.S.B.

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