Le milieu de terrain gallois Jordan James, arrivé en Bretagne lundi 12 août, a pris la parole pour la première fois devant les médias ce mardi 20 août. Le joueur de 20 ans a exprimé son envie de vite démarrer sa saison avec le Stade Rennais.
Arrivé en Bretagne depuis une semaine pour un peu plus de 5 millions d’euros, le milieu de terrain gallois Jordan James n’a pas encore disputé ses premières minutes avec sa nouvelle équipe. Mais à 20 ans, le transfuge de Birmingham (League One, troisième division anglaise) a hâte d’intégrer le groupe de Julien Stéphan, victorieux de l’Olympique Lyonnais (3-0) dimanche 18 août.
À Rennes comme au Pays de Galles : une ambiance passionnée
"Le groupe m’a bien accueilli. Je me sens déjà bien ici, et je suis prêt à jouer" a commencé par assurer Jordan James, qui se présente sous le surnom de "JJ" (prononcer Jey-Jey"). Lors de sa présentation à la presse, le milieu box-to-box, comme il se définit, est apparu souriant, et pressé de se lancer dans le grand bain de la Ligue 1.
"J’ai envie d’aider le club dans ses objectifs, et atteindre les places que l’on vise. Je connaissais le Stade Rennais et j’en avais une bonne image. C’est un bon club dans lequel les joueurs peuvent se développer. C’est un bon endroit pour montrer ce que l’on peut faire en tant que jeune" a-t-il poursuivi.
Séduit par le premier match de ses nouveaux partenaires face à Lyon (3-0), Jordan James trépigne d’impatience à l’idée de jouer devant le public du Roazhon Park : "Ici, les supporters sont passionnés. Ils aiment le club, c’est la même chose dans le football gallois. Rennes est une petite ville, le Pays de Galles est un petit pays, mais quand les gens se rassemblent, l’atmosphère est incroyable."
"Quand nous avons pris cette décision, avec ma famille, nous avons vu l’opportunité pour moi de m’exprimer dans une autre culture, a ensuite expliqué la recrue rouge-et-noir. Ce n’est pas une petite décision de quitter le Royaume-Uni. Venir jouer ici est un honneur, je ne pouvais pas refuser, j’ai vraiment hâte de démarrer. Dans une équipe en reconstruction il va falloir apprendre à se connaître. Cela peut prendre un peu de temps mais je pense qu’on pourra vite comprendre les qualités de chacun et s’habituer les uns aux autres. Nous avons déjà une très bonne équipe, jeune, dont on pourra tirer le plus grand bénéfice."