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Retour sur l'histoire de Pfizer en Rouge et Noir

Le nom du laboratoire Pfizer a fait le tour du monde ces derniers jours, après l'annonce faite par le groupe d'avancées dans le test d'un vaccin "efficace à 90%" selon l'entreprise. Longtemps, le nom de Pfizer a été associé en Bretagne à celui du Stade Rennais. On vous explique pourquoi.
DS 0181aPendant onze saisons, de 1982/1983 à 1992/1993, le nom du laboratoire Pfizer s'est affiché en toutes lettres sur le maillot du Stade Rennais. Mais les relations entre le groupe pharmaceutique et le club allaient bien au-delà d'un simple sponsoring maillot. Explications.

Pourquoi Pfizer a choisi de sponsoriser le Stade Rennais
Au début des années 1980, Pfizer développe via sa branche vétérinaire le Mecadox, un médicament animal à destination principale des porcs. La Bretagne étant une très grande région d'élevage porcin, Pfizer choisit donc de sponsoriser le Stade Rennais, pour augmenter sa visibilité dans la région. D'ailleurs, jusqu'en 1989/1990, c'est Pfizer Mecadox qui s'inscrit sur le maillot rennais, avant que la mention Mecadox ne disparaisse sur les trois dernières saisons du partenariat. "Je me rappelle qu'on invitait 400 à 500 personnes par match, toutes issues du monde agricole. Ce n'était pas un hasard, c'était parce qu'on était en Bretagne, parce que le monde porcin se développait. D'ailleurs au début sur les maillots c'était la mention Mecadox qui apparaissait avant Pfizer" témoigne Georges Bartel, ancien directeur commercial du Stade Rennais recruté en 1989 et témoin de cette époque.
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Des liens très étroits entre Pfizer et le club
Sponsor principal, à une époque où la mairie était actionnaire majoritaire du Stade Rennais avant l'arrivée des Pinault, Pfizer a même poussé son influence jusqu'à obtenir la nomination à la tête du club de Jean-Raphaël Soucaret, qui n'était ni plus ni moins que le président de Pfizer France. Il effectuera deux mandats à la tête du club entre 1987 et 1990. Entraîneur adjoint du Stade Rennais sous sa présidence, Jean-Marc Mézenge garde un bon souvenir de M. Soucaret : "C'était un homme avec beaucoup d'élégance, beaucoup de culture. C'était un chef d'entreprise de très haut niveau. Il défendait les intérêts de Pfizer, quelquefois ça pouvait paraître incohérent au regard de l'importance de la mairie dans le capital du club, mais il était toujours à l'écoute du sportif. Il avait beaucoup d'affection pour l'entraîneur Raymond Kéruzoré. Il nous laissait travailler, il n'était pas du tout interventionniste."
DS 0181dMalgré le départ de Jean-Raphaël Soucaret à la fin de l'année 1990, remplacé par René Ruello, Pfizer restera sponsor maillot jusqu'en 1992-1993. Le président de Pfizer France tentera même un retour au club quelques mois après son éviction, sans succès. Il évoquait son possible retour dans cette interview à Ouest-France :
DS 0181ePfizer perdra son influence au Stade Rennais dès l'arrivée du Groupe Pinault, en 1993 comme sponsor maillot, puis comme actionnaire principal en 1998.

Mario Melchiot : "on m’a traité comme un membre de la famille"

L’international néerlandais n’est resté qu’un an en France et pourtant il a marqué les esprits de ceux qui ont eu la chance de le voir évoluer sur les bords de Vilaine. Avant le déplacement des Rouge et Noir à Londres, Mario Melchiot, ancien défenseur de Chelsea où il a joué 164 matchs, revient sur son passage en Bretagne.
DS 0180Mario, pourquoi avez-vous choisi de jouer au Stade Rennais F.C il y a 14 ans ? Un choix qui a pu paraître étonnant à l’époque.
Je voulais venir en France car, en tant que joueur, j’étais un grand fan de Zinédine Zidane.
Au début de ma carrière, j’ai joué contre lui quand j’étais à l’Ajax en demi-finale de la Ligue des Champions. Grâce à des relations que j’avais en France, j’ai eu l’opportunité de découvrir ce championnat. Je savais que le football français, c’était du très haut niveau physiquement et tactiquement. Je voulais montrer à certaines personnes de quoi j’étais capable dans un nouveau championnat. En quatre ou cinq mois, j’ai prouvé et d’autres clubs français me sollicitaient déjà.

"j’ai aimé la chaleur qu'il y avait dans le club"
Que retenez-vous de votre passage à Rennes ?
Ce sont des souvenirs d’équipe que je garde. J’ai eu la chance de jouer avec ce groupe et il y a deux joueurs clés qui m’ont vraiment fait sentir chez moi. Bruno Cheyrou et Jacques Faty. Ils ont pris soin de moi. J’ai joué contre Bruno quand il était à Liverpool. Jacques m’a aidé à trouver une maison, il venait me chercher pour aller à l’entraînement. Il m’a même aidé à porter un frigidaire chez moi. Ça te montre la valeur des personnes. Je discute encore avec eux aujourd’hui.

Quand je suis venu à Rennes, j’ai aimé la chaleur qu'il y avait dans le club. On s’occupait bien de nous. On nous faisait sentir que l’on était au bon endroit. Au Stade Rennais F.C., on m’a traité comme un membre de la famille.

Votre transfert à Rennes a été une grande réussite. Vous étiez l’un des meilleurs défenseurs du championnat…
Le succès, c’est la détermination. Lorsque les entraînements commençaient à 9h du matin, à 7h j’allais faire un footing avant les séances. Personne ne le savait dans le vestiaire. J’avais 30 ans et je voulais m’assurer d’avoir la même condition physique que les autres joueurs de l’équipe et ensuite apporter mes qualités de footballeur.

Vous aussi très vite devenu un cadre malgré la barrière de la langue…
Beaucoup de joueurs dans l’équipe étaient intéressés par le football anglais. J’ai eu la chance d’y jouer longtemps. Ça nous faisait un sujet de conversation. On est devenu proche dans le vestiaire et on se motivait les uns les autres. Pierre Dréossi m’a dit un jour où nous avions des difficultés en championnat : "Parle aux joueurs ! Je suis sûr qu’ils vont t’écouter et te suivre". Il voulait que je transmette certains messages. À partir de ce moment, l’objectif était d’apprendre le français le plus vite possible.

On vous voit parfois commenter l’actualité du club sur les réseaux sociaux. Vous vous êtes attaché au club ?
Quand les gens vous accueillent bien, vous ne pouvez que garder de bons souvenirs. Je me rappelle du jour où le propriétaire du club Monsieur François Pinault est venu me voir et m’a remercié d’avoir rejoint le club. Il a été très classe.

Vous imaginiez à l’époque un tel destin pour les Rouge et Noir ?
Lors de ma saison à Rennes, on jouait pour la 3e place. Je ne suis pas surpris. C’est un bon club qui forme de grands joueurs. De l’intérieur, ça a toujours très bien travaillé. Ce que j’aime avec ce club, c’est qu’il ne fait pas de bruit mais il est capable de réaliser des choses dingues. Il y a beaucoup de qualité, du goal jusqu’aux attaquants.

Quelles seront les chances du Stade Rennais F.C. à Londres mercredi ?
Le Stade Rennais F.C. est très bon techniquement, également dans les transitions. C’est un des points forts en France. Quand l’équipe gagne le ballon, il le remonte très vite. Si Chelsea joue compact, ce sera un match très rugueux pour Rennes. Si Chelsea ouvre les espaces quand il attaque et que le Stade Rennais est bien organisé, il y aura des opportunités. Il faudra défendre en équipe. Chelsea part favori mais ce n’est pas grave. Si les Rennais y croient, se battent et s’organisent bien pour boucher les espaces et resserrer les lignes, ce sera aussi difficile pour Chelsea. Il faudra bien jouer les contre-attaques.

Que représente Chelsea pour vous ?
Comme Rennes, c’est l’un des meilleurs choix de ma carrière.
"la pression est sur Chelsea"
Quel est leur potentiel ?
Ils ont dépensé beaucoup d’argent pour en arriver là mais c’est aussi un club qui sait former les jeunes pour le haut niveau. Ça apporte de la concurrence. Ils essaient aujourd’hui de reconstruire l’équipe. Ils peuvent faire de grandes choses. Chelsea est le plus gros nom du groupe E. Ils n’ont pas remporté de trophée la saison dernière. Avec leurs ambitions, ils doivent finir premiers du groupe. Ils ont beaucoup d’expérience européenne, le club plus que l’équipe. Dans ce groupe, il n’y a pas d’équipe qui a une plus grande expérience en Ligue des Champions, la pression est sur eux.

Lors de votre saison à Rennes, Romain Danzé faisait ses débuts avec l’équipe première. Vous vous souvenez de ces premiers pas ?
Bien sûr ! Il était timide au début mais il faisait des efforts. Il s’entendait bien avec tous les joueurs. Quand tu commences, tu es réservé et tu ne parles pas beaucoup mais il s’est affirmé sur le terrain et a montré ses qualités. J’ai beaucoup aimé sa progression dans la saison. Il a beaucoup travaillé. Sa carrière a été extraordinaire. Peu de joueurs peuvent dire qu’ils ont joué au haut niveau avec le même club.

Que faites-vous désormais ?
Je suis producteur de télévision et créateur de documentaires et de jeux télévisés. Je commente aussi des matchs de football. Je vis à Los Angeles.

Passé par le Stade Rennais et le Stade Brestois, il arrive libre à Fougères

Si une majorité du football amateur est à l'arrêt, l'AGL Drapeau Fougères compte une nouvelle arrivée pour renforcer son groupe N3 !
DS 0178Serial buteur au Stade Brestois en catégories jeunes avec plusieurs doublés consécutifs, Assadillahi Ahamada a également fréquenté les rangs du CPB Bréquigny en U17 DH ainsi que celles du CPB Blosne au tout début de sa formation. Rennais d’origine, l’ancien meneur de jeu brestois (21 ans) a également porté les couleurs du Stade Rennais pendant sa formation (2009 – 2014). Appelé en février 2018 pour honorer les couleurs de l’Equipe de France en U19, il intégrait le groupe professionnel et participait aux entraînements du Stade Brestois en compagnie de six autres pousses : Hianga M’Bock, Rafiki Saïd, Félix Menn, Eric Bocat, Idrissa Dioh et le gardien Titouan Guéguen c’est assurément un renfort de poids pour la N3 de l’AGL Drapeau Fougères alors qu’il arrive libre dans le groupe de Pierre-Yves David !

35 joueurs formés au Stade Rennais évoluent dans les meilleurs championnats d’Europe

DS 0175

  • Stade Rennais FC – Adrien Hunou
  • Stade Rennais FC – James Léa Siliki
  • Stade Rennais FC – Gerzino Nyamsi
  • Stade Rennais FC – Yann Gboho
  • Stade Rennais FC – Georginio Rutter
  • Stade Rennais FC – Eduardo Camavinga
  • Stade Rennais FC – Pépé Bonet
  • Stade Rennais FC – Adrien Truffert
  • Stade Rennais FC – Brandon Soppy
  • Everton FC – Abdoulaye Doucouré
  • Fulham FC – Maxime Le Marchand
  • FC Barcelona – Ousmane Dembélé
  • Granada CF – Dimitri Foulquier
  • Sevilla FC – Joris Gnagnon
  • AS Monaco – Sofiane Diop
  • Dijon FCO – Sacha Boey
  • FC Girondins de Bordeaux – Jimmy Briand
  • FC Lorient – Sylvain Marveaux
  • FC Lorient – Fabien Lemoine
  • FC Lorient – Pierre-Yves Hamel
  • FC Lorient – Armand Laurienté
  • FC Metz – Vincent Pajot
  • Montpellier Hérault SC – Damien Le Tallec
  • OGC Nice – Alexis Trouillet
  • SSC Napoli – Tiemoué Bakayoko
  • Royal Antwerp FC – Jérémy Gélin
  • PFK Beroe Stara Zagora – Steve Furtado
  • GNK Dinamo Zagreb – Kévin Théophile-Catherine
  • Aalborg BK – Timothé Nkada
  • Olympiacos FC – Yann M’Vila
  • PAS Lamia 1964 – Devis Epassy
  • Vitória SC Guimarães – Nicolas Janvier
  • Vitória SC Guimarães – Denis Poha
  • SC Astra Giurgiu – George Merloi
  • FC Lausanne-Sport – Lucas da Cunha

Bensebaini, la surprise à 25 ME du mercato ?

Mi-septembre, le PSG apprenait une terrible nouvelle avec la rupture des ligaments croisés de Juan Bernat.
DS 0164Titulaire indiscutable du Paris Saint-Germain au poste de latéral gauche, le défenseur espagnol manque cruellement à Thomas Tuchel. Certes, le champion de France en titre compte deux autres joueurs à ce poste, à savoir Layvin Kurzawa et Mitchel Bakker. Mais pour l’heure, ni l’international français ni l’ancien joueur de l’Ajax Amsterdam ne parviennent à faire oublier Juan Bernat. Ainsi, il serait judicieux de recruter un latéral gauche lors du mercato hivernal. Mais comme cet été, les moyens seront limités pour Leonardo. Il faudra ainsi se creuser la tête et selon Don Balon, une piste totalement inattendue est étudiée par l’état-major du PSG.

Cette piste mène à un ancien joueur de Ligue 1, à savoir Ramy Bensebaini. Excellent depuis son départ de Rennes pour le Borussia Mönchengladbach, l’international algérien figure sur les tablettes de plusieurs clubs européens. A en croire le média espagnol, l’Atlético de Madrid et la Juventus Turin ont également coché le nom de l’ancien défenseur de Rennes, capable d’évoluer en défense centrale mais qui s’est spécialisé au poste de latéral gauche depuis de longs mois. De plus en plus à son aise en Bundesliga, Ramy Bensebaini ne sera toutefois pas bradé par le Borussia Mönchengladbach au mercato hivernal. Et pour cause, le média affirme que le club allemand souhaite au minimum récupérer 25 ME en cas de départ de l’ancien Rennais. Un tarif bien élevé pour le Paris Saint-Germain, qui s’est contenté de prêts avec option d’achat lors du mercato estival, et qui n’aura sans doute pas la volonté de faire des folies au mois de janvier…

Retour aux sources pour Asamoah Gyan

L'attaquant international ghanéen Asamoah Gyan a décidé de poursuivre sa carrière à Legon Cities, dans son pays natal.
DS 0162Libre depuis la fin de son bail au NorthEast United FC (Super League indienne) en janvier dernier, Asamoah Gyan a choisi de revenir aux sources. 17 ans après son départ, l’attaquant international ghanéen s’est officiellement engagé en faveur du club ghanéen de Legon Cities FC (ex-Wa All Stars FC) pour une durée d’un an ce dimanche. Un gros coup pour cette formation basée à Accra et modeste 15eme du dernier championnat.

"Je suis heureux de rejoindre ce club, qui a un projet pour l’avenir du football ghanéen", a écrit Gyan après sa signature. Passé par l’Udinese, Rennes ou Sunderland, le Black Star, meilleur buteur africain de l’histoire en Coupe du monde (6 buts), avait évolué par la suite à Al-Ain (Emirats arabes unis), au Shanghaï SIPG ou encore à Kayserispor lors de sa longue carrière.

Un ancien Rennais colle un tacle à Christian Gourcuff

L'attaquant brésilien Luis Fabiano avait été recruté en grands pompes par le Stade Rennais à l'été 2000. Ce fut un échec total que le joueur impute à Christian Gourcuff, aujourd'hui à Nantes.
DS 0155Avant de devenir l'un des très bons clubs de Ligue 1, le Stade Rennais a pas mal vivoté. Il a souvent emprunté l'ascenseur entre l'élite et la L2 dans les années 80-90 avant de se stabiliser après l'arrivée aux commandes de la famille Pinault. Mais au début, cette dernière s'est dit qu'attirer des stars pourrait fonctionner. Elle a donc sorti le carnet de chèques, notamment à l'été 2000 pour attirer de nombreux talents, dont le Brésilien Luis Fabiano, qui fut un flop.

"Gourcuff n'a pas voulu m'aider"
Celui qui a ensuite rencontré le succès avec le FC Séville de 2005 à 2011 a accordé une longue interview à Ouest France dans laquelle il est revenu sur ses déboires sportifs en Bretagne. S'il a apprécié la vie en dehors, notamment les restaurants Hippopotamus, il a beaucoup aimé côtoyer Christian Gourcuff, qui a succédé à Paul Le Guen en 2001.
"Le Guen a été très important pour moi. Il me disait la vérité, il m’aidait beaucoup. Il connaissait mes qualités, savait que j’étais jeune, que j’avais une marge de progression. Il a vraiment été important pour moi. Gourcuff n’aimait pas mon profil, il n’a pas voulu m’aider et je suis donc rentré au Brésil (en prêt à Sao Paulo)." Les deux passages du technicien breton au Stade Rennais (2001/02 et 2016/17) furent aussi brefs que décevants.

Isidore Odorico

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Isidore Odorico ancien président du Stade Rennais Université Club (1931-38) est né un 30 octobre.

Son nom a été donné à la structure scolaire qui soutient le centre de formation du Stade rennais : l'École technique privée Odorico.

Luis Fabiano : J’aimerais bien revenir à Rennes, ce n’est plus la même ville

DS 0140 Ce mercredi, le SRFC se déplace à Séville en Ligue des champions (21 h). Arrivé au Stade Rennais à 19 ans, l’attaquant brésilien Luis Fabiano (40 ans le 8 novembre) ne s’est jamais imposé. Il est ensuite devenu une idole au Séville FC, où il a empilé les titres.

Jimmy Briand a inscrit le 100e but de sa carrière

Jimmy Briand a inscrit ce dimanche avec Bordeaux le centième but de sa carrière en Ligue 1. L’attaquant de 35 ans, passé notamment par Rennes et Guingamp, continue de marquer les esprits, partout où il passe.
DS 0131L’attaquant de Bordeaux Jimmy Briand a inscrit son 100e but en Ligue 1, sur penalty, lors de la réception de Nîmes, dimanche, à l’occasion de la 8e journée. Briand, 35 ans, attaquant polyvalent à ses débuts, aura mis 449 matches pour atteindre cette barre symbolique, devenant le 88e joueur de l’histoire à réaliser cette performance.

Depuis ses débuts en mai 2003, l’international aux 5 sélections a inscrit 33 buts avec Rennes, son club formateur, puis 22 buts avec Lyon, 30 buts avec Guingamp et enfin 15 buts avec Bordeaux, son quatrième club en L1 qu’il a rejoint en 2018.

Édouard Mendy sera le gardien numéro 1

DS 0128Frank Lampard annonce qu'Édouard Mendy sera le gardien numéro 1 de Chelsea cette saison !.
Dire qu'il était au chômage il y a 5 ans et encore en Ligue 2 il y a un peu plus d'un an

L’incroyable faute de Bordeaux avec Ben Arfa

Une semaine après sa défaite contre l’OM au Vélodrome, les Girondins de Bordeaux affrontent Nîmes au Matmut Atlantique ce samedi après-midi.

DS 0127A cette occasion, Hatem Ben Arfa va fêter sa seconde titularisation sous le maillot aquitain. Auteur d’une bonne première mi-temps contre Marseille samedi soir, l’international français a déjà l’étiquette de l’arme offensive n°1 des Girondins sur le front. Malgré sa notoriété, Hatem Ben Arfa a eu une drôle de surprise ce dimanche après-midi en débarquant dans le vestiaire de Bordeaux puisque son nom a été mal orthographié au-dessus de sa place dans le vestiaire. Une incroyable faute de la part des dirigeants girondins, qui n'a pas manqué de faire le buzz sur les réseaux sociaux. D’autant plus que la photo en question a été postée par le compte officiel des Girondins de Bordeaux… avant d’être supprimée.

Chris Mavinga : "un championnat très physique"

L’ancien latéral Rouge et Noir, de 2011 à 2013, a joué 15 matchs avec le club russe du Rubin Kazan. Avant la réception de Krasnodar au Roazhon Park ce mardi en UEFA Champion’s League, Chris Mavinga revient sur son expérience au pays des Tsars.
ds 0323Chris, que peux-tu nous dire sur le football russe ?
C’est un championnat particulier qui n’est pas évident à jouer. Ce ne sera pas un match facile pour le Stade Rennais. Il faudra jouer le match à fond parce que Krasnodar est une très bonne équipe en Russie, elle a terminé 3e de son championnat derrière le Zénith Saint-Pétersbourg et le Lokomotiv Moscou. Et parce qu’il y aussi Rémy Cabella qui est en grande forme dans cette équipe. Il faudra faire attention. Elle peut paraître comme un adversaire plus méconnu que d’autres pour les Rennais mais c’est le genre d’équipe qui performe souvent en coupe d’Europe. Dans la "Premier-Liga" russe, les équipes doivent aligner au maximum 8 joueurs étrangers sur 25. On ne peut donc pas préparer les matchs en ne visualisant que des rencontres de championnat, il y a des fois des différences de composition d’équipe entre les différentes compétitions. Au match retour, il faudra prendre en compte les conditions climatiques qui sont parfois rudes.

Qu’as-tu découvert lors de ton expérience au Rubin Kazan ?
C’est un championnat très physique avec des joueurs qui ont une grosse mentalité. Ils ne lâchent jamais. On retrouve dans leur effectif des joueurs avec des bons CV, avec une grosse expérience et capables de faire la différence. Il y a beaucoup de qualité technique et ça se verra en Ligue des Champions.

"C’est un championnat qu’il ne faut pas prendre à la légère."

Que tu retiens-tu de ton passage là-bas ?
Je n’ai pas beaucoup joué mais j’ai passé beaucoup de temps. Le coach qui m’avait recruté s’est fait licencier six mois après mon arrivée. Ça a freiné ma progression. J’aurais pu rester car j’étais dans un bon club avec une bonne organisation. J’étais entouré de bons joueurs. Je prenais beaucoup de plaisir mais ça a été écourté. C’est un championnat qu’il ne faut pas prendre à la légère. Les clubs russes peuvent créer la surprise, comme le Stade Rennais F.C.

Selon toi, comment les Rennais doivent-ils s’y prendre ?
À la maison, il faut prendre le maximum de points, être sérieux et concentré. Krasnodar est le plus abordable des clubs de la poule. Il faut jouer le match à fond. Jouer en Champion’s League, c’est quelque chose de magnifique et de beau. Il faut profiter de ces instants et engranger le maximum d’expérience dès le départ.

Sur le match retour, même s’il fait moins froid qu’à Moscou ou Kazan, la température peut-être un avantage pour Krasnodar. Quand les équipes venaient jouer contre nous, ça leur faisait bizarre de jouer par -15°. On avait l’habitude, alors que nos adversaires avaient du mal à bouger leurs membres. C’est parfois profitable pour les clubs russes. Il faudra être sérieux lors de l’échauffement sur le match retour. Le voyage sera long. Les terrains sont plutôt bons maintenant grâce à la Coupe du Monde. Il y a de belles installations en Russie. À mon époque, c’était en fin de construction mais j’ai vu qu’ils faisaient des stades de top niveau.

As-tu ressenti une envie plus particulière d’exister chez les clubs russes, éloignés du football de l’ouest européen ?
C’est un championnat assez méconnu. C’est difficile de voir un match du championnat russe. La coupe d’Europe est une occasion pour eux de montrer leurs qualités. Les joueurs qui rejoignent les grands clubs des pays de l’Est veulent aussi montrer qu’ils ne sont pas partis là-bas pour les vacances. Quand je jouais l’Europa League avec le Rubin, on voulait montrer que l’on était un bon club qui progressait et capable de bien jouer.

"Quand un club est très bien géré, ça devient ensuite beaucoup plus simple pour les joueurs."

En parlant de progression, que penses-tu de celle de ton ancien club ?
Elle est exceptionnelle. Il faut mettre au crédit les dirigeants du club et le bon travail de Julien Stéphan. Quand un club est très bien géré, ça devient ensuite beaucoup plus simple pour les joueurs. Ils ont l’esprit tranquille et ça se voit dans les performances. Ce n’est pas que 11 joueurs sur le terrain. Autour, il y a des gens professionnels et sérieux. Ça suit sur le terrain. Je suis vraiment content et fier. Depuis que j’ai quitté le Stade Rennais, je suis devenu supporter. Je suis toujours à regarder les matchs du club quand c’est possible. Je suis heureux de les voir jouer les premiers rôles. Je pense que ce sera une belle saison pour eux.

Tu as aimé tes deux années à Rennes ?
J’ai passé deux belles saisons au Stade Rennais, on a parfois l’impression que j’y ai passé plus de temps. C’est le club qui m’a donné l’opportunité de jouer en Ligue 1. J’étais jeune, j’avais 20 ans. Le Stade Rennais garde une grande place dans mon cœur. Chaque année, j’essaie de venir voir des matchs au Roazhon Park. Je programme toujours au moins un déplacement à Rennes dans la saison. C’est le club que je suis le plus aujourd’hui.

Tu as aussi joué l’Europe avec les Rouge et Noir ! En Europa League…
On avait un bel effectif. La réputation du Stade Rennais F.C. est toujours la même. Un bon groupe de jeunes joueurs avec des éléments expérimentés. C’est ce qui fait la force du club. On voit qu’il y a encore une bonne cohésion aujourd’hui sur le terrain et en dehors. C’est un net avantage pour le club.

"l’insouciance de la jeunesse peut permettre de créer des surprises"

Comment vois-tu le Stade Rennais F.C. dans cette compétition qui sera une première pour le club ?
Je ne suis pas un bon pronostiqueur mais l’insouciance de la jeunesse peut permettre de créer des surprises, pourquoi pas. Il ne faut pas calculer. Chelsea et Séville ont l’habitude de jouer ces compétitions mais on l’a vu avec l’Ajax et Leipzig qui ont des groupes avec de jeunes joueurs, ils ont joué les coups à fond. Ils sont allés loin. Il faut se dire : "J’entre sur le terrain et je profite à fond de ce que je vis". Ce n’est pas tous les jours. Il faut juste tout donner et ne pas voir de regret à la fin.

Tu évolues à Toronto où tu as trouvé la stabilité.
C’est ma 4e année ici. Je suis un peu arrivé sur la pointe des pieds. Depuis, j’ai gagné des titres avec Toronto, nous sommes premiers de la Major League Soccer. Je suis dans un club qui tourne assez bien. Ma famille et moi sommes heureux. On continue, on ne lâche pas. La vie est un peu différente de l’Europe, avec une autre culture. Après les dimensions du terrain sont les mêmes, le ballon est le même. Le championnat américain copie un peu le football anglais, c’est du "box to box". On ne joue pas pour fermer et ne pas prendre de but. J’aime cette mentalité. La MLS est peut-être moins tactique mais elle est spectaculaire.

La ville de Toronto est magnifique. Je ne connaissais pas du tout le Canada. Je connaissais Montréal de loin mais je suis arrivé dans une super grande ville de 3 millions d’habitants. C’est très agréable d’y vivre. Je conseille. Je sortais de deux prêts en France qui ne s’étaient pas très bien passés. J’avais envie de changement et prendre du recul. Je pensais rester un an ou deux et j’entame ma 4e année. C’est une expérience de vie exceptionnelle pour ma famille et moi.

On le constate sur les réseaux sociaux, tu suis encore beaucoup le football européen…
Je regarde tout le temps du football. Le décalage horaire m’arrange beaucoup pour ça. Ça peut commencer le matin à 9h00 avec le championnat anglais puis vers 14h ou 15h, il y a le championnat de France. Je vis parfois des journées 100% foot.

Le parcours d'Edouard Mendy

ds 0324"J’avais 22 ans et mon contrat a expiré avec l’AS Cherbourg. Mon agent m’a dit que j’avais des offres pour rejoindre d’autres clubs. Plus tard, j’ai essayé de le contacter mais il n’a jamais répondu. Je n’ai rien entendu de sa part sauf un texto me souhaitant bonne chance pour l’avenir.

Je suis resté sans emploi. J’ai décidé d’arrêter, mais avec le soutien de mes parents et des membres de ma famille, j’ai décidé de donner une autre chance au football.

J’ai rejoint Le Havre et j’ai joué avec eux pendant un an sans salaire. Puis j’ai été sélectionné pour être le 3e gardien de Marseille GK"

Aujourd’hui Mendy est le gardien numéro 1 de Chelsea

Cédric Barbosa n'entraîne plus l'AS Rousson

L'ancien joueur du Stade Rennais, qui a terminé sa carrière à l'OAC en 2019, avait rejoint le club de Régional 1 durant l'hiver dernier.

DS 0117"L'objectif de la saison était de finir dans les cinq premiers. Je pars de l'AS Rousson alors que l'équipe est classée quatrième après quatre journées..."

Cédric Barbosa n'est pas homme à se défiler, ni à habiller de mots inutiles la réalité.

"Investi dans le club de Rousson (qu'il avait intégré durant l'hiver 2019, NDLR), cela faisait un mois et demi que je menais une réflexion par rapport à mon engagement", explique, mercredi 14 octobre, à Midi Libre, l'ancien joueur professionnel.

"Pour des raisons qui n'ont pas à être étalées..."
Lundi 12 octobre, après une ultime réunion en interne, il a confirmé à Mustapha Guiza, directeur sportif du club de Régional 1 (la dernière division avant le National 3), son intention de cesser sa collaboration.

"D'un commun accord, nous y avons mis fin pour des raisons que nous gardons entre nous et qui n'ont pas à être étalées...", explique Cédric Barbosa, qui a été suivi par deux membres de son staff, et, aussi, son fils Antoine.

Le jeune attaquant, auteur, dimanche 11 octobre, du troisième but de la victoire (la deuxième en quatre journées disputées, pour deux courtes défaites) de l'AS Rousson à Portiragnes (0-3), devrait retourner dans le club de Saint-Privat-des-Vieux. Où, la saison dernière, il joua avec son papa.

"Aucun contact avec l'OAC !"
Par un malin hasard, le retrait de Cédric Barbosa coïncide avec l'amère défaite subie, samedi 10 octobre, à domicile, par l'Olympique d'Alès en Cévennes (2-3) contre Agde.

Un résultat qui confirma le statut de leaders des Héraultais et, à l'inverse, repoussait les Cévenols à... l'avant-dernière place de la poule Occitanie de National 3.

Depuis, pullulaient les rumeurs du remplacement de Stéphane Saurat, entraîneur de l'OAC à seulement une victoire en cinq journées, par Cédric Barbosa, technicien désormais libre de contrat !

"Je n'ai aucun contact avec l'OAC !, précise l'intéressé. Ces rumeurs, c'est le métier qui veut ça. Le milieu du football aussi..."

Pas le diplôme pour entraîner en N3
Avant d'apporter de précieuses précisions : "En tant qu'entraîneur de Rousson, club de Régional 1, j'avais entamé une formation d'entraîneur, le BEF. J'avais une dérogation pour entraîner le temps de l'obtenir. Donc, non seulement je prends un risque, puisqu'il me faut retrouver un club pour continuer cette formation. Et, je ne dispose donc pas du diplôme nécessaire pour entraîner un club de National 3, le DES..."

"Il faut ôter de la tête des gens que j'ai quitté Rousson pour arriver à l'OAC", détaille, pour conclure, Cédric Barbosa.

Est-ce qu'il sera entendu par ceux qui souhaitent ardemment sa venue à l'OAC où, au printemps 2019, il avait conclu sa (longue) carrière professionnelle ?

C'est une autre histoire...

S.G.S.B.

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